23 research outputs found

    Introduction

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    International audienceLa conception de systèmes passe d'ordinaire par une étape de modélisation, c'est-à-dire de cartographie des éléments, des ensembles et des flux permettant de saisir les relations qui régissent la systémique informationnelle. On retrouve également d'autres étapes de modélisation, ou d'utilisation de modèles, dans les différentes phases du cycle de vie d'un système : dans le cas notamment de sa construction (analyse des besoins, spécification fonctionnelle, conception), de sa maintenance (correction, évolution, réingénierie) et parfois même de son utilisation. Si ces différents systèmes sont souvent hétérogènes, structurés suivant plusieurs dimensions métiers et conséquemment de grande taille, force est de remarquer qu'ils atteignent aujourd'hui un seuil critique 1. Dès lors, à considérer qu'elle demeure opérante, la modélisation canonique des systèmes actuels souffre de n'être plus tout à fait efficiente. Nous soutenons que ce qui ferait ici sévèrement défaut ce ne sont pas, à proprement parler, les langages de modélisation eux-mêmes mais bien plutôt les représentations visuelles afférentes. En d'autres mots, si les logiques propres aux langages classiquement usités (tels qu'UML et BPMN) ne s'en trouveraient pas foncièrement remises en cause, ce serait bel et bien ici leurs syntaxes qui appelleraient des révisions et amendements majeurs. De ces modèles, il pourrait devenir presque impossible d'en retirer une lecture et compréhension claire ainsi qu'une vision globale ou vue d'ensemble. Or, les concepteurs élaborent des modèles sur lesquels ils sont a m e n é s à raisonner, formulant entre autres nombre d'inférences. Ils les définissent, les construisent puis les font varier, évoluer au gré de nouvelles expressions de besoins fonctionnels, au rythme du renouvellement des organisations et processus métiers dans l'entreprise par exemple 2. Ces changements et évolutions sont inéluctables et constituent la vie même de tout système. Les modèles existants ont été pensés et élaborés pour y répondre, s'y adapter. Reste que pour procéder à ces changements et transformations, le concepteur doit d'abord résoudre la simplification du phénomène ou cas étudié, statuer sur ce qui doit être tantôt amendé, changé tantôt enrichi, complété. Pour ce faire, il ne peut se couper d'une appréhension élargie du ou des modèles concernés. Malheureusement, c'est à cet endroit précis que des écueils se dressent désormais ; il en va là d'importants problèmes persistants relevant de la gestion des modèles autant que de la gérance des informations qu'ils contiennent. 1. Ce seuil se voit marqué principalement par une complexité élevée des systèmes, des quantités d'éléments inter-reliés devenues presque incommensurables, une très forte hétérogénéité des informations de nature extrêmement diverses, etc. 2. Mais aussi selon bien d'autres conversions encore

    SJS/TEN 2019: From science to translation.

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    Stevens-Johnson syndrome and toxic epidermal necrolysis (SJS/TEN) are potentially life-threatening, immune-mediated adverse reactions characterized by widespread erythema, epidermal necrosis, and detachment of skin and mucosa. Efforts to grow and develop functional international collaborations and a multidisciplinary interactive network focusing on SJS/TEN as an uncommon but high burden disease will be necessary to improve efforts in prevention, early diagnosis and improved acute and long-term management. SJS/TEN 2019: From Science to Translation was a 1.5-day scientific program held April 26-27, 2019, in Vancouver, Canada. The meeting successfully engaged clinicians, researchers, and patients and conducted many productive discussions on research and patient care needs

    Intégration de métriques de qualité des diagrammes et des langages dans l'outil ModX

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    National audienceFace au développement de nombreux langages spécifiques, leur qualité et celle des diagrammes qui en sont issus prennent une importance significative. Aussi nous nous posons la question de leur évaluation pour éventuellement les améliorer. Nous avons choisi une approche basée sur des métriques comme moyen d'évaluation autant des langages que des diagrammes. Nous souhaitons, en particulier, proposer des métriques portant sur la qualité des notations visuelles, aspect souvent négligé en ingénierie dirigée par les modèles. Cet article présente un premier pas vers de telles métriques en présentant les variables nécessaires à leur calcul ainsi que l'implémentation de l'une d'elles dans un outil de modélisation

    Intégration de métriques de qualité des modèles et des langages dans l'outil ModX

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    Session Réingénierie: papier court - Publication prochaine des actes (vol. journ. ECEASST - ref. ISSN).National audienceFace au développement de nombreux langages spécifiques, leur qualité et celle des diagrammes qui en sont issus prennent une importance significative. Aussi nous nous posons la question de leur évaluation pour éventuellement les améliorer. Nous avons choisi une approche basée sur des métriques comme moyen d' évaluation autant des langages que des diagrammes. Nous souhaitons, en particulier, proposer des métriques portant sur la qualité des notations visuelles, aspect souvent néglige en ingénierie dirigée par les modèles. Cet article présente un premier pas vers de telles métriques en présentant les variables nécessaires a leur calcul ainsi que l'implémentation de l'une d'elles dans un outil de modélisation

    Support for quality metrics in metamodelling

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    A paraîtreInternational audienceThe maturity of Model Driven Engineering facilitates the development of domain specific languages. The creation of the languages relies on the definition of metamodels, but also on their corresponding visual notations. But one can wonder what is the quality of a new language. It can result in inunderstandable diagrams with inappropriate notations. Then our goal is to evaluate the quality of metamodels and notations by metrics, which are integrated in a modeling environment named ModX. In this manner, ModX allows designers to calculate pre-defined metrics, but also to create new ones. We show the interest of this approach by propos- ing, into ModX, metrics about notations'quality (aspect of- ten neglected in the model-driven-engineering domain)

    Introduction

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    International audienceLa conception de systèmes passe d'ordinaire par une étape de modélisation, c'est-à-dire de cartographie des éléments, des ensembles et des flux permettant de saisir les relations qui régissent la systémique informationnelle. On retrouve également d'autres étapes de modélisation, ou d'utilisation de modèles, dans les différentes phases du cycle de vie d'un système : dans le cas notamment de sa construction (analyse des besoins, spécification fonctionnelle, conception), de sa maintenance (correction, évolution, réingénierie) et parfois même de son utilisation. Si ces différents systèmes sont souvent hétérogènes, structurés suivant plusieurs dimensions métiers et conséquemment de grande taille, force est de remarquer qu'ils atteignent aujourd'hui un seuil critique 1. Dès lors, à considérer qu'elle demeure opérante, la modélisation canonique des systèmes actuels souffre de n'être plus tout à fait efficiente. Nous soutenons que ce qui ferait ici sévèrement défaut ce ne sont pas, à proprement parler, les langages de modélisation eux-mêmes mais bien plutôt les représentations visuelles afférentes. En d'autres mots, si les logiques propres aux langages classiquement usités (tels qu'UML et BPMN) ne s'en trouveraient pas foncièrement remises en cause, ce serait bel et bien ici leurs syntaxes qui appelleraient des révisions et amendements majeurs. De ces modèles, il pourrait devenir presque impossible d'en retirer une lecture et compréhension claire ainsi qu'une vision globale ou vue d'ensemble. Or, les concepteurs élaborent des modèles sur lesquels ils sont a m e n é s à raisonner, formulant entre autres nombre d'inférences. Ils les définissent, les construisent puis les font varier, évoluer au gré de nouvelles expressions de besoins fonctionnels, au rythme du renouvellement des organisations et processus métiers dans l'entreprise par exemple 2. Ces changements et évolutions sont inéluctables et constituent la vie même de tout système. Les modèles existants ont été pensés et élaborés pour y répondre, s'y adapter. Reste que pour procéder à ces changements et transformations, le concepteur doit d'abord résoudre la simplification du phénomène ou cas étudié, statuer sur ce qui doit être tantôt amendé, changé tantôt enrichi, complété. Pour ce faire, il ne peut se couper d'une appréhension élargie du ou des modèles concernés. Malheureusement, c'est à cet endroit précis que des écueils se dressent désormais ; il en va là d'importants problèmes persistants relevant de la gestion des modèles autant que de la gérance des informations qu'ils contiennent. 1. Ce seuil se voit marqué principalement par une complexité élevée des systèmes, des quantités d'éléments inter-reliés devenues presque incommensurables, une très forte hétérogénéité des informations de nature extrêmement diverses, etc. 2. Mais aussi selon bien d'autres conversions encore

    Visualisation et manipulation de modèles complexes

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    International audienceLa conception de systèmes complexes passe d’ordinaire par une étape de modélisation, c’est-à-dire de cartographie des éléments, des ensembles et des flux permettant de saisir les relations qui régissent la systémique d’information. On retrouve également d’autres étapes de modélisation, ou d’utilisation de modèles, dans les différentes phases du cycle de vie d’un système : dans le cas notamment de sa construction (analyse des besoins, spécification fonctionnelle, conception), de sa maintenance (correction, évolution, réingénierie) et parfois même de son utilisation. Ces différents modèles sont souvent hétérogènes, structurés suivant plusieurs dimensions ‘métiers’ et conséquemment de grande taille. Dès lors, eu égard à leur complexité, force est de remarquer que les représentations visuelles associées aux langages de modélisation classiquement usités sont bien souvent inadaptées et pour partie inefficaces.Bien en amont de solutions possibles, ce numéro spécial s’attachera à clarifier, dans un premier temps, ce qu’est un modèle (abstrait, conceptuel, opérationnel, etc.) ou bien encore une notation correctement réalisée — il apportera, en outre, un éclairage complémentaire sur la manière dont les différents modèles s’intègrent au sein des cycles de développement logiciel. — Enfin, il offrira, dans un second temps, de mieux cerner les principaux avantages et qualités (fonctionnels notamment) dont serait doté l’outil de modélisation ‘idéal’ , s’il en est

    Introduction

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    International audienceLa conception de systèmes passe d'ordinaire par une étape de modélisation, c'est-à-dire de cartographie des éléments, des ensembles et des flux permettant de saisir les relations qui régissent la systémique informationnelle. On retrouve également d'autres étapes de modélisation, ou d'utilisation de modèles, dans les différentes phases du cycle de vie d'un système : dans le cas notamment de sa construction (analyse des besoins, spécification fonctionnelle, conception), de sa maintenance (correction, évolution, réingénierie) et parfois même de son utilisation. Si ces différents systèmes sont souvent hétérogènes, structurés suivant plusieurs dimensions métiers et conséquemment de grande taille, force est de remarquer qu'ils atteignent aujourd'hui un seuil critique 1. Dès lors, à considérer qu'elle demeure opérante, la modélisation canonique des systèmes actuels souffre de n'être plus tout à fait efficiente. Nous soutenons que ce qui ferait ici sévèrement défaut ce ne sont pas, à proprement parler, les langages de modélisation eux-mêmes mais bien plutôt les représentations visuelles afférentes. En d'autres mots, si les logiques propres aux langages classiquement usités (tels qu'UML et BPMN) ne s'en trouveraient pas foncièrement remises en cause, ce serait bel et bien ici leurs syntaxes qui appelleraient des révisions et amendements majeurs. De ces modèles, il pourrait devenir presque impossible d'en retirer une lecture et compréhension claire ainsi qu'une vision globale ou vue d'ensemble. Or, les concepteurs élaborent des modèles sur lesquels ils sont a m e n é s à raisonner, formulant entre autres nombre d'inférences. Ils les définissent, les construisent puis les font varier, évoluer au gré de nouvelles expressions de besoins fonctionnels, au rythme du renouvellement des organisations et processus métiers dans l'entreprise par exemple 2. Ces changements et évolutions sont inéluctables et constituent la vie même de tout système. Les modèles existants ont été pensés et élaborés pour y répondre, s'y adapter. Reste que pour procéder à ces changements et transformations, le concepteur doit d'abord résoudre la simplification du phénomène ou cas étudié, statuer sur ce qui doit être tantôt amendé, changé tantôt enrichi, complété. Pour ce faire, il ne peut se couper d'une appréhension élargie du ou des modèles concernés. Malheureusement, c'est à cet endroit précis que des écueils se dressent désormais ; il en va là d'importants problèmes persistants relevant de la gestion des modèles autant que de la gérance des informations qu'ils contiennent. 1. Ce seuil se voit marqué principalement par une complexité élevée des systèmes, des quantités d'éléments inter-reliés devenues presque incommensurables, une très forte hétérogénéité des informations de nature extrêmement diverses, etc. 2. Mais aussi selon bien d'autres conversions encore
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