67 research outputs found

    Meso-Nh simulations of the atmospheric flow above the Internal Antarctic Plateau

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    Mesoscale model such as Meso-Nh have proven to be highly reliable in reproducing 3D maps of optical turbulence (see Refs. 1, 2, 3, 4) above mid-latitude astronomical sites. These last years ground-based astronomy has been looking towards Antarctica. Especially its summits and the Internal Continental Plateau where the optical turbulence appears to be confined in a shallow layer close to the icy surface. Preliminary measurements have so far indicated pretty good value for the seeing above 30-35 m: 0.36" (see Ref. 5) and 0.27" (see Refs. 6, 7) at Dome C. Site testing campaigns are however extremely expensive, instruments provide only local measurements and atmospheric modelling might represent a step ahead towards the search and selection of astronomical sites thanks to the possibility to reconstruct 3D Cn2 maps over a surface of several kilometers. The Antarctic Plateau represents therefore an important benchmark test to evaluate the possibility to discriminate sites on the same plateau. Our group8 has proven that the analyses from the ECMWF global model do not describe with the required accuracy the antarctic boundary and surface layer in the plateau. A better description could be obtained with a mesoscale meteorological model. In this contribution we present the progress status report of numerical simulations (including the optical turbulence - Cn2) obtained with Meso-Nh above the internal Antarctic Plateau. Among the topic attacked: the influence of different configurations of the model (low and high horizontal resolution), use of the grid-nesting interactive technique, forecasting of the optical turbulence during some winter nights.Comment: 12 pages, 4 figures, SPIE 2008 conferenc

    Improved Survival of HIV-1-Infected Patients with Progressive Multifocal Leukoencephalopathy Receiving Early 5-Drug Combination Antiretroviral Therapy

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    Progressive multifocal leukoencephalopathy (PML), a rare devastating demyelinating disease caused by the polyomavirus JC (JCV), occurs in severely immunocompromised patients, most of whom have advanced-stage HIV infection. Despite combination antiretroviral therapy (cART), 50% of patients die within 6 months of PML onset. We conducted a multicenter, open-label pilot trial evaluating the survival benefit of a five-drug cART designed to accelerate HIV replication decay and JCV-specific immune recovery.All the patients received an optimized cART with three or more drugs for 12 months, plus the fusion inhibitor enfuvirtide during the first 6 months. The main endpoint was the one-year survival rate. A total of 28 patients were enrolled. At entry, median CD4+ T-cell count was 53 per microliter and 86% of patients had detectable plasma HIV RNA and CSF JCV DNA levels. Seven patients died, all before month 4. The one-year survival estimate was 0.75 (95% confidence interval, 0.61 to 0.93). At month 6, JCV DNA was undetectable in the CSF of 81% of survivors. At month 12, 81% of patients had undetectable plasma HIV RNA, and the median CD4+ T-cell increment was 105 per microliter. In univariate analysis, higher total and naive CD4+ T-cell counts and lower CSF JCV DNA level at baseline were associated with better survival. JCV-specific functional memory CD4+ T-cell responses, based on a proliferation assay, were detected in 4% of patients at baseline and 43% at M12 (P = 0.008).The early use of five-drug cART after PML diagnosis appears to improve survival. This is associated with recovery of anti-JCV T-cell responses and JCV clearance from CSF. A low CD4+ T-cell count (particularly naive subset) and high JCV DNA copies in CSF at PML diagnosis appear to be risk factors for death.ClinicalTrials.gov NCT00120367

    A 1-Year Prospective French Nationwide Study of Emergency Hospital Admissions in Children and Adults with Primary Immunodeficiency.

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    PURPOSE: Patients with primary immunodeficiency (PID) are at risk of serious complications. However, data on the incidence and causes of emergency hospital admissions are scarce. The primary objective of the present study was to describe emergency hospital admissions among patients with PID, with a view to identifying "at-risk" patient profiles. METHODS: We performed a prospective observational 12-month multicenter study in France via the CEREDIH network of regional PID reference centers from November 2010 to October 2011. All patients with PIDs requiring emergency hospital admission were included. RESULTS: A total of 200 admissions concerned 137 patients (73 adults and 64 children, 53% of whom had antibody deficiencies). Thirty admissions were reported for 16 hematopoietic stem cell transplantation recipients. When considering the 170 admissions of non-transplant patients, 149 (85%) were related to acute infections (respiratory tract infections and gastrointestinal tract infections in 72 (36%) and 34 (17%) of cases, respectively). Seventy-seven percent of the admissions occurred during winter or spring (December to May). The in-hospital mortality rate was 8.8% (12 patients); death was related to a severe infection in 11 cases (8%) and Epstein-Barr virus-induced lymphoma in 1 case. Patients with a central venous catheter (n = 19, 13.9%) were significantly more hospitalized for an infection (94.7%) than for a non-infectious reason (5.3%) (p = 0.04). CONCLUSION: Our data showed that the annual incidence of emergency hospital admission among patients with PID is 3.4%. The leading cause of emergency hospital admission was an acute infection, and having a central venous catheter was associated with a significantly greater risk of admission for an infectious episode

    ANALYSE DE LA VARIABILITÉ DE LA CROISSANCE D'UNE POPULATION DE TRUITE COMMUNE (SALMO TRUTTA L.) DANS UN TORRENT PYRÉNÉEN.

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    La population de truite commune de la Neste d'Oueil, sous - affluent pyrénéen de la Garonne, a été suivie entre juillet 1996 et mars 1999. Durant 2 ans et 9 mois, 9 échantillonnages ont eu lieu en février-mars, juillet et septembre sur 2 secteurs de rivière, afin de suivre l'évolution saisonnière de la croissance, de la densité totale et de la biomasse totale en truites communes. Parallèlement à l'étude de la population, 652 truites communes d'âge compris entre 1+ et 6+ ans, pour des tailles comprises entre 100 et 290 mm, ont été marquées en mars 1998 par implants visibles numérotés afin de suivre l'évolution de la croissance individuelle. Les taux de recapture entre campagne ont varié de 19.5 à 74 %, suivant la saison considérée. La croissance des truites communes présente une forte variabilité saisonnière, validée par le marquage. Elle est quasiment nulle, avec des pertes de poids pour les individus d'âge > 1+, en automne et en hiver, en raison de températures rigoureuses et d'un probable effet de la reproduction. Elle se réalise quasi exclusivement au printemps, avant d'atteindre l'optimum thermique de croissance. Elle est très faible en période estivale, malgré les conditions thermiques optimales. En été, le ralentissement de la croissance semble résulter de l'action conjuguée de la maturation gonadique, de la saturation de la capacité d'accueil du milieu physique et de la compétition intra-spécifique maximale à cette période du fait i) de l'arrivée probable dans le cours principal d'individus 1+ et 2+ dévalants des affluents et ii) de la diminution de la "quantité et de la qualité" de l'habitat physique à l'étiage régulant l'accessibilité à la ressource trophique potentiellement disponible abondante en densité mais constituée de très petites proies, peu rentables énergétiquement. Le rôle de la croissance dans la dynamique de la population de truite commune de la Neste d’Oueil est discuté

    Relations entre les caractéristiques de l'habitat et les populations de truites communes (Salmo trutta L.) de la vallée de la Neste d'Aure

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    Les relations entre les caractéristiques de l'habitat et les biomasses et densités de truites communes (Salmo trutta L.) ont été recherchées dans 33 stations de la rivière Neste d'Aure et trois de ses affluents : la Neste du Louron, la Neste du Rioumajou et le ruisseau d'Espiaube dans le département des Hautes-Pyrénées. L'étude a été conduite sur un cycle annuel. Dans un premier temps, la validité du modèle d'Indice de Qualité d'Habitat (HQI) (BINNS et EISERMAN, 1979), basé sur 10 variables de l'habitat, a été testée. Les biomasses théoriques prévues par le modèle ne sont pas linéairement corrélées aux biomasses observées par pêche électrique. Le meilleur ajustement linéaire est obtenu grâce à des transformations par les logarithmes. Toutefois, la pente de la droite de régression est significativement différente de 1 (t = 2.53(p < 0.01)). Le modèle de l'Indice de Qualité d'Habitat ne constitue pas, dans le cas de la vallée d'Aure, un outil satisfaisant de prévision des biomasses de truites. Dans un deuxième temps, l'influence de chaque variable de l'habitat a été testée individuellement. Les biomasses observées sont significativement corrélées à l'altitude (entre 1350 et 600 m), aux surfaces d'abris, à la température mensuelle maximale (pour une gamme allant de 10 à 16 °C), à la conductivité électrique, à la vitesse moyenne au fond, à la profondeur moyenne et au rapport largeur/profondeur. Les densités sont significativement corrélées aux mêmes variables, à l'exception de la profondeur moyenne ; il faut également ajouter des corrélations significatives avec la pente de la ligne d'eau et la largeur de la rivière. L'étude par classe d'âge montre que l'abondance de la cohorte 0+ est liée à l'altitude, la température et la conductivité. La largeur moyenne constitue la seule caractéristique de l'habitat physique corrélée avec les biomasses et densités de 0+. L'étude par saison indique seulement une corrélation négative entre les densités et biomasses échantillonnées en hiver et la profondeur moyenne. En ce qui concerne la cohorte 1+, on observe des corrélations avec les mêmes variables altitude, température et conductivité auxquelles il faut ajouter la variable abris. Les densités de truites de taille supérieure à la taille légale de capture (180 mm) sont positivement corrélées à la surface d'abris, la profondeur moyenne, la température et la conductivité, et négativement avec l'altitude. Dans une troisième étape, à partir de régressions multiples progressives, il a été possible d'établir un modèle statistique à 5 variables qui explique 86% de la variation de biomasse totale de truites.Ce type d'outil peut constituer un élément de gestion pour les populations de truites de la Vallée de la Neste d'Aure

    Relations entre les caractéristiques de l'habitat et les populations de truites communes (Salmo trutta L.) de la vallée de la Neste d'Aure

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    Les relations entre les caractéristiques de l'habitat et les biomasses et densités de truites communes (Salmo trutta L.) ont été recherchées dans 33 stations de la rivière Neste d'Aure et trois de ses affluents : la Neste du Louron, la Neste du Rioumajou et le ruisseau d'Espiaube dans le département des Hautes-Pyrénées. L'étude a été conduite sur un cycle annuel. Dans un premier temps, la validité du modèle d'Indice de Qualité d'Habitat (HQI) (BINNS et EISERMAN, 1979), basé sur 10 variables de l'habitat, a été testée. Les biomasses théoriques prévues par le modèle ne sont pas linéairement corrélées aux biomasses observées par pêche électrique. Le meilleur ajustement linéaire est obtenu grâce à des transformations par les logarithmes. Toutefois, la pente de la droite de régression est significativement différente de 1 (t = 2.53(p < 0.01)). Le modèle de l'Indice de Qualité d'Habitat ne constitue pas, dans le cas de la vallée d'Aure, un outil satisfaisant de prévision des biomasses de truites. Dans un deuxième temps, l'influence de chaque variable de l'habitat a été testée individuellement. Les biomasses observées sont significativement corrélées à l'altitude (entre 1350 et 600 m), aux surfaces d'abris, à la température mensuelle maximale (pour une gamme allant de 10 à 16 °C), à la conductivité électrique, à la vitesse moyenne au fond, à la profondeur moyenne et au rapport largeur/profondeur. Les densités sont significativement corrélées aux mêmes variables, à l'exception de la profondeur moyenne ; il faut également ajouter des corrélations significatives avec la pente de la ligne d'eau et la largeur de la rivière. L'étude par classe d'âge montre que l'abondance de la cohorte 0+ est liée à l'altitude, la température et la conductivité. La largeur moyenne constitue la seule caractéristique de l'habitat physique corrélée avec les biomasses et densités de 0+. L'étude par saison indique seulement une corrélation négative entre les densités et biomasses échantillonnées en hiver et la profondeur moyenne. En ce qui concerne la cohorte 1+, on observe des corrélations avec les mêmes variables altitude, température et conductivité auxquelles il faut ajouter la variable abris. Les densités de truites de taille supérieure à la taille légale de capture (180 mm) sont positivement corrélées à la surface d'abris, la profondeur moyenne, la température et la conductivité, et négativement avec l'altitude. Dans une troisième étape, à partir de régressions multiples progressives, il a été possible d'établir un modèle statistique à 5 variables qui explique 86% de la variation de biomasse totale de truites.Ce type d'outil peut constituer un élément de gestion pour les populations de truites de la Vallée de la Neste d'Aure
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