Evolution of the Cancer Registrar in the Era of Informatics

The cancer registrar reports accurate, complete, and timely abstracted cancer data to various healthcare agencies. The data are used for understanding the incidence of cancer, evaluating the effectiveness of public health efforts in the prevention of new cases and improving patient care outcomes and survival. There are increasing demands placed on registrars for additional data points with real-time submission to reporting agencies. To that end, registrars are increasing the use of informatics to meet the demand. The purpose of this article is the role of the registrar in the collection and reporting of critical cancer data and how registrars are currently using informatics to enhance their work. This article describes how informatics can be leveraged in the future and how registrars play a vital role in meeting the increasing demands placed on them to provide timely, meaningful, and accurate data for the cancer community

Serum prolactin as a biomarker for the study of intracerebral dopamine effect in adult patients with phenylketonuria: a cross-sectional monocentric study

BACKGROUND: It has been previously postulated that high phenylalanine (Phe) might disturb intracerebral dopamine production, which is the main regulator of prolactin secretion in the pituitary gland. Previously, various associations between Phe and hyperprolactinemia were revealed in studies performed in phenylketonuria (PKU) children and adolescents. The aim of the present study was to clarify whether any relation between serum phenylalanine and prolactin levels can be found in adult PKU patients. PATIENTS AND METHODS: We conducted a cross-sectional, monocentric study including 158 adult patients (male n = 68, female n = 90) with PKU. All patients were diagnosed during newborn screening and were treated since birth. Serum Phe, tyrosine (Tyr), prolactin (PRL), and thyroid-stimulating hormone (TSH) levels were measured, and Phe/Tyr ratio was calculated. Males and females were analyzed separately because the serum prolactin level is gender-dependent. RESULTS: No significant correlations were found between serum phenylalanine, tyrosine, or the Phe/Tyr ratio and serum prolactin level either in the male or in the female group. CONCLUSIONS: In treated adult PKU patients, the serum prolactin level may not be significantly influenced by Phe or Tyr serum levels

«La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : excepté, sauf et hormis comme pivots d’une relation algébrique »

L’analyse des emplois prépositionnels et des emplois conjonctifs d’ “excepté”, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prépositions/conjonctions comme le pivot d’un binôme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. Placées au milieu du binôme, ces prépositions sont forcées par leur sémantisme originaire dûment métaphorisé de jouer le rôle de marqueurs d’inconséquence systématique entre l’élément se trouvant à leur gauche et celui qui se trouve à leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux éléments n’est donc pas une incompatibilité naturelle, intrinsèque, mais extrinsèque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portée par un « tout » à un autre « tout ». De plus, l’inconséquence induite mise en place par la préposition/conjonction paraît, en principe, tout à fait insurmontable. Dans l’assertion « les écureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les écureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la préposition semble en effet capable d’impliquer le prédicat principal avec signe inverti, et de bâtir sur une telle implication une sorte de sous énoncé qui, à la rigueur, est totalement inconséquent avec celui qui le précède (si « les écureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). Néanmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin être dépassées, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de résoudre le conflit dans les termes d’une somme algébrique entre deux sous énoncés pourvus de différent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numériques des termes de la somme étant déséquilibrées, le résultat est toujours autre que zéro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de résoudre le conflit entre deux sous énoncés pourvus du même poids informatif et en même temps de signe contraire : les valeurs numériques des termes de la somme étant symétriques et égales, le résultat sera toujours équivalent à zéro

Personal Decision Counselling: Counsellors Without Clients?

La théorie de la décision comportementale est appliquée avec succès au monde des organisation et des affaires. On a aussi tenté de développer les aides à la décision pour les problèmes de décision personnelle (projets familiaux ou orientation professionnelle). Seulement, les résultats sont décevants après plus de dix ans de théorier et de recherche. Cet article s'interroge sur les raisons. Dans la première partie, on passe en revue les principales aides à la décision qui ont été créés ces dix dernières années en insistant particulièrement sur les logiciels intéractifs. Dans la deuxième partie, on discute de ce qui serait à l'origine du manque apparent de succès du conseil en décision, à savoir certains aspects des aides à la décision, les catégories de problèmes décisionnels et les caractéristiques des preneurs de décision. Dans la troisième partie, on entre-voit les axes de développement virtuels des futurs travaux sur les aides à la décision et leur intégration dans des modèles plus globaux.Behavioural decision theory is being applied successfully to business and organisational problems. Efforts have also been made to develop decision aids for personal decision problems, e. g. family planning or career choice. However, after more than ten years of theory and research, the result is disappointing. The present paper asks why. In section 1, the major decision aids that have been developed in the past ten years are reviewed, with a particular emphasis on interactive computer programmes. In section 2, some features of decision aids, types of decision problems, and characteristics of decision-makers are discussed as sources of the apparent lack of success of decision counselling. In section 3, potential lines of future work on decision aids and their integration in more general counselling frameworks are suggested