Pons – Avenue de l’Assomption

Identifiant de l'opération archéologique : 204429 Date de l'opération : 2008 (EX) L’actuelle ville de Pons occupe l’extrémité d’un éperon de forme triangulaire dominant la confluence de la Seugne avec l’un de ses affluents, la Soute. Délimité par une forte déclivité à l’ouest et par des falaises du sud-ouest au sud-est, l’éperon est barré par une fortification sur son troisième côté, au nord. Cette dernière court sur près de 1 200 m de long et revêt actuellement l’apparence d’un talus massif ..

Pons – Avenue de l’Assomption

Identifiant de l'opération archéologique : 204703 Date de l'opération : 2009 (SP) Faisant suite à la fouille de la parcelle voisine en 2008,cette opération préventive réalisée par l’Inrap entre février et juillet 2009 a permis de poursuivre les investigations sur la fortification de l’Oppidum.Cette dernière, constituée d’un rempart doublé d’un fossé, occupe la quasi-totalité de la surface dans les parcelles fouillées. Les vestiges outrepassant les limites de fouille au sud, son emprise au sol..

Le Chay – Pompierre

Identifiant de l'opération archéologique : 204424 Date de l'opération : 2008 (EX) Suite à un projet de lotissement au lieu-dit Pompierre ou Pont-Pierre sur la commune du Chay près de Saujon, un diagnostic archéologique, prescrit par le SRA de Poitou-Charentes, a été réalisé par une équipe de l’Inrap. Cette opération s’est déroulée entre le 15 juillet 2008 et le 18 juillet 2008 et a porté sur une superficie de 12 822 m2 . Au total 1 234 m2 ont été sondés (soit 9,62 % de la surface concernée)..

Bessines – Le Grand Champ Est

Identifiant de l'opération archéologique : 204625 Date de l'opération : 2008 (SP) Plusieurs opérations de diagnostics et de fouilles ont été entreprises depuis 2003 au sud-est de la Communauté d’Agglomérations de Niort. Elles montrent une occupation protohistorique particulièrement dense de l’âge du Bronze à l’âge du Fer, au sud-est de l’ancien golfe des Pictons, notamment sur les communes adjacentes de Niort, à Aiffres et à Bessines. Suite au dépôt d’un projet de ZAC, une opération de diagno..

L’habitat de hauteur de Vil Mortagne (Mortagne-sur-Gironde, Charente-Maritime) et son environnement à la lin de l’âge du Fer

Landreau Guilhem. L’habitat de hauteur de Vil Mortagne (Mortagne-sur-Gironde, Charente-Maritime) et son environnement à la lin de l’âge du Fer. In: Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie, tome 20, 2004. pp. 441-442

Architecture et fonction de la fortification de l'oppidum de Pons (Charente-Maritime) : apport des fouilles de l'avenue de l'Assomption

International audienceThe oppidum of Pons, which covers an area of around a hundred hectares, extends to the far end of a limestone promontory cut off by a fortification on its north side which looks like an imposing bank 30 to 50 metres wide. Theexcavation of the fortification brought to light two principal phases of construction. Phase 1 (end of the 2nd century BC -very beginning of the 1st century BC) is a wall with horizontal beams, 6.80 m thick and faced in stone on both sides. The back part of the monument corresponds to a mixed construction of stone and wood, in which the stone courses alternate regularly with pieces of timber arranged along the longitudinal axis of the rampart with the sleeper beams visible in the facing. In front of the rampart runs a ditch first used as a quarry for the construction of the wall, then as a funeral area. For phase 2, (first half of the 1st century BC) a second facing was built three metres in front of the earlier one using limestone blocks, resulting in a structure over ten metres wide.L’oppidum de Pons, d’une surface d’une centaine d’hectares, se développe à l’extrémité d’un éperon calcaire barré par une fortification sur son côté nord qui revêt l’apparence d’un talus massif de 30 à 50 mètres de largeur. La fouille de la fortification a mis en évidence deux états principaux de construction. L’état 1 (fin du 2e s. av. J.-C. - tout début du 1er s. av. J.-C.) est un mur à poutrage interne horizontal, épais de 6,80 m et parementé en pierre sur ses faces avant et arrière. La partie arrière du monument correspond à une construction mixte associant la pierre et le bois, dans laquelle les assises de pierre alternent régulièrement avec des pièces de bois disposées selon l’axe longitudinal du rempart (longrines visibles dans le parement). A l’avant du rempart se développe un fossé qui a servi de carrière pour l’érection du monument puis, dans un second temps, d’espace funéraire. Pour l’état 2 (première moitié du ier s. av. J.-C.) un second parement est édifié trois mètres en avant du précédent à l’aide de blocs calcaires. L’édifice dépasse alors dix mètres de largeur

Un atelier de potiers de la fin du second âge du Fer à Montmorillon (Vienne)

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Permanence de la céramique non tournée en territoire picton du Haut-Empire à la fin du haut Moyen Âge : un phénomène d’ampleur lié à un terroir

Actes du colloque « La céramique non tournée en Gaule romaine (dir. M. Joly – Université Paris-Sorbonne et J.-M. Séguier, INRAP », INHA, Paris, 25-26 novembre 2010)International audienc

Le sanctuaire du Grand Champs Est à Bessines (Deux-Sèvres) : présentation préliminaire

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