13 research outputs found

    Prog imperfective drift in ancient Greek? Reconsidering eimi 'be' with present participle

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    In this paper, I reconsider the diachrony of the Ancient Greek periphrastic construction of eimi 'be' with present participle by means of Bertinetto’s recently proposed model for the development of progressive grams (a process called ‘PROG imperfective drift’). While Bertinetto’s proposal sheds new light on the diachronic development of the construction, at the same time the evidence from Ancient Greek brings to light the need for modification and further refinement of the model (most importantly with regard to the role of what I call the ‘stative’ function, next to the diachronic source(s) of the construction). I furthermore show that eimi with present participle never fully developed a (focalized) progressive function, which can be explained in terms of ‘constructional competition’

    2. Minon (Sophie), Les inscriptions éléennes dialectales (VIe-IIe siècle a.C), I. Textes, II. Grammaire et vocabulaire institutionnel, École Pratique des hautes Études, III. Hautes études du monde gréco-romain 38

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    Lanérès Nicole. 2. Minon (Sophie), Les inscriptions éléennes dialectales (VIe-IIe siècle a.C), I. Textes, II. Grammaire et vocabulaire institutionnel, École Pratique des hautes Études, III. Hautes études du monde gréco-romain 38. In: Revue des Études Grecques, tome 120, fascicule 2, Juillet-décembre 2007. pp. 805-808

    1. Alonso Déniz (A.)-Dubois (L.)-Le Feuvre (C.)-Minon (S.) éd., La suffixation des anthroponymes grecs antiques (Saga), Actes du coll. intern. De Lyon, 17-19 septembre 2015, Université Jean-Moulin-Lyon 3. Avec la coll. d’É. Chiricat, Genève, Droz, 2017

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    Lanérès Nicole. 1. Alonso Déniz (A.)-Dubois (L.)-Le Feuvre (C.)-Minon (S.) éd., La suffixation des anthroponymes grecs antiques (Saga), Actes du coll. intern. De Lyon, 17-19 septembre 2015, Université Jean-Moulin-Lyon 3. Avec la coll. d’É. Chiricat, Genève, Droz, 2017. In: Revue des Études Grecques, tome 132, fascicule 1, Janvier-juin 2019. pp. 277-279

    La dédicace du "trône" d’Aléa SEG 46, 400, nouvelle lecture

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    Lanérès Nicole. La dédicace du "trône" d’Aléa SEG 46, 400, nouvelle lecture. In: Revue des Études Grecques, tome 125, fascicule 2, Juillet-décembre 2012. pp. 715-725

    L'éphèbe au serpent de Magoula : propositions pour la relecture d'une inscription archaïque laconienne

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    The stele fragment bearing the inscription treated here represents an ephebe accompanied by a snake. A first article on this item was published in 1877. According to traditional interpretation, the stele is said to have been consecrated by the ko(u)roi to the young warrior Thiocles, to whom the inscription is dedicated. The term ko(u)roi, enigmatic in this context, is said to refer to the corps of the hippeis, the elite of the Spartan army. However, knowledge acquired in the field of dialectal morphology leads us to render not the nominative form [τοι] κόροι, but the dialectal dative of the dual [Διοσ]κορόι. Thiocles, whose image was consecrated to the Dioscures, as well as the dedicator Namertes, may have belonged to the Spartan branch of the family of the Iamides, the soothsayers of Olympia. The stele could thus be held to bear witness to the ancient links between Sparta and the Great Sanctuary.Le fragment de stèle sur lequel est gravée l'inscription commentée ici, représente un éphèbe en compagnie d'un serpent. L'ensemble a fait l'objet d'une première publication en 1877. Selon l'interprétation traditionnelle, la stèle aurait été consacrée par les ko(u)roi au jeune guerrier Thioclès, dédicataire de l'inscription. Le terme ko(u)roi, énigmatique dans ce contexte, désignerait le corps des hippeis, l'élite de l'armée Spartiate. Cependant les connaissances acquises en matière de morphologie dialectale invitent aujourd'hui à restituer non pas le nominatif [τοι] κόροι mais un datif dialectal de duel, [Διοσ]κορΟι. Thioclès, dont l'image est consacrée aux Dioscures, de même que le dédicant Nam[ertès], pourrait avoir appartenu à la branche Spartiate de la famille des Iamides, les devins d'Olympie. La stèle témoignerait ainsi de l'ancienneté des liens noués entre Sparte et le grand sanctuaire.Lanérès Nicole. L'éphèbe au serpent de Magoula : propositions pour la relecture d'une inscription archaïque laconienne. In: Revue des Études Grecques, tome 121, fascicule 1, Janvier-juin 2008. pp. 1-15

    2. Minon (Sophie), Les inscriptions éléennes dialectales (VIe-IIe siècle a.C), I. Textes, II. Grammaire et vocabulaire institutionnel, École Pratique des hautes Études, III. Hautes études du monde gréco-romain 38

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    Lanérès Nicole. 2. Minon (Sophie), Les inscriptions éléennes dialectales (VIe-IIe siècle a.C), I. Textes, II. Grammaire et vocabulaire institutionnel, École Pratique des hautes Études, III. Hautes études du monde gréco-romain 38. In: Revue des Études Grecques, tome 120, fascicule 2, Juillet-décembre 2007. pp. 805-808

    La notion d'agalma dans les inscriptions grecques, des origines à la fin du classicisme

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    L’interprétation du terme courant ἄγαλμα est certes difficile mais la conviction qu’il désigne une « statue », aujourd’hui répandue parfois au prix de toute évidence, ne fait qu’accroître la confusion. Or un examen attentif du corpus épigraphique montre que, dans l’ensemble de l’espace grec jusqu’aux premiers temps de l’époque romaine, le terme ἄγαλμα s’applique à des objets de toute sorte, parmi lesquels des statues, et n’est synonyme ni de « statue » en particulier ni non plus « d’offrande » en général. De fait il ne désigne pas un objet en tant que réalité matérielle mais un objet en tant que s’y applique une notion spécifique : l’objet défini comme ἄγαλμα est en quelque sorte le support au travers duquel se noue la relation entre les hommes et les dieux, ce qui rend sa présence indispensable dans l’espace sacré.The interpretation of the frequent term agalma is certainly difficult, but the conviction that it means a «statue», very often repeated despite the evidence, only adds to confusion. A careful examination of the epigraphical corpus shows that, in the whole Greek space, until early Roman times, the term agalma is applied to all sorts of objects, among which statues, and it is not a synonym of «statue» in particular, nor of «offering» in general. Actually it does not indicate an object as a material reality, but an object to which a specific notion is applied: the object defined as an agalma is in a way the support through which is established the relation between men and gods, which makes indispensable its presence in the sacred space

    1. Une découverte récente : un haltère pour les « Maleateia » ou Sparte à la conquête de sa côte orientale suivi de 2. L’haltère de Tirôn et l’expansion de Sparte sur le territoire de Prasiai (Cynourie du sud)

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    Lanérès Nicole, Grigorakakis Grigoris. 1. Une découverte récente : un haltère pour les « Maleateia » ou Sparte à la conquête de sa côte orientale suivi de 2. L’haltère de Tirôn et l’expansion de Sparte sur le territoire de Prasiai (Cynourie du sud). In: Revue des Études Grecques, tome 128, fascicule 2,2015. pp. 647-658

    Le cavalier de Tyros, une figurine de bronze laconienne du VIe a.C.

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    The article deals with a mid 6th c. BC bronze figurine, coming from the sanctuary of Apollo Tyritas in Kynouria, on the eastern coast of Peloponnese. The figurine – now part of the collection of Apollo Tyritas findings at the repositories of the archaeological museum of Tripolis (Arcadia) – represents a rider on a mule holding a kantharos and a drinking horn and is of exceptional interest from many points of view. It bears a dedicatory inscription to Apollo, engraved in the Laconian Alphabet, in which we can read for the first time ever in an ancient document the name of the ancient kome (village) of Tyros. As far as the iconographic tradition is concerned, the figurine can be securely attributed to the episode of the «Return of Hephaistos to Olympus » , which until now was known to be represented only on vases decorated in black or red figured style. A masterpiece of the Laconian workshop, the figurine testifies to the significance of the cult of Dionysus in Laconia in the mid 6th c. BC. as well to the essential role played by the peripheral cults, especially that of Apollo in Kynouria, in the unity of the Spartan State.L’objet de cet article est la publication d’une figurine de bronze du milieu du vie av. J.-C., trouvée au début du siècle dernier en Cynourie sur le site du sanctuaire d’Apollon Tyritas (sur la côte orientale du Péloponnèse). Demeurée longtemps inconnue, elle est aujourd’hui conservée au musée de Tripoli (Arcadie). Cette figurine, qui représente un cavalier chevauchant un mulet, un canthare et une corne à boire à la main, revêt un intérêt exceptionnel à tout point de vue. Elle porte en alphabet laconien une dédicace à Apollon où l’on peut lire, pour la première fois dans un document antique, le nom de la cité de Tyros. Elle évoque en outre l’épisode du «Retour d’Héphaïstos sur l’Olympe » , qui n’était jusqu’à présent connu que par la peinture de vases. Chef d’oeuvre de la plastique laconienne, elle témoigne enfin, en même temps que de la vitalité du culte de Dionysos en Laconie, du rôle essentiel joué au vie av. J.-C. par les cultes périphériques, en particulier celui d’Apollon en Cynourie, pour l’unité de l’Etat spartiate.Lanérès Nicole, Grigorakakis Grigoris. Le cavalier de Tyros, une figurine de bronze laconienne du VIe a.C.. In: Revue des Études Grecques, tome 130, fascicule 2, Juillet-décembre 2017. pp. 327-346

    Dossier : Serments et paroles efficaces

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    Dossier : Comment agit-on par la parole dans un cadre ritualisé ? Les pratiques des mondes anciens étudiées sont l'occasion de repenser notre monde contemporain. À travers des processus de ritualisation, de « solennisation » et de formalisation, ce volume étudie la manière dont des actes de langage particuliers ont acquis la capacité de lier des personnes dans des unions durables (le mariage, l’alliance, l’adoption ou le contrat) ; de transmettre la connaissance du passé avec certitude et fidélité (le témoignage juridique) ; ou de garantir des actions à venir dans une totale confiance (le gage, la promesse et le vœu). Varia : Histoire et anthropologie religieuse (sphères d'action et modes d'épiphanie divine, oracles et politique, les agalmata, le daimôn du stoïcisme impérial). Questions d'anthropologie (comparatisme Grèce/Chine : la raison pratique ; le geste de Phryné ; les vases à prédelle ; la « féminité » des arbres : Varron, Ovide)
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