5 research outputs found

    Startup innovation capability from a dynamic capability-based view: A literature review and conceptual framework

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    While there is a rich body of literature on innovation, the concept of innovation capability (IC) is barely identifiable as a distinct construct. Startup IC is tacitly covered in innovation management, entrepreneurship, or small business literature. We suggest a dynamic capability (DC) approach to study innovation as a distinctive capability of startup firms. A semi-structured literature review of 125 articles combining various theoretical backgrounds is discussed, including the IC conceptualizations and operationalization that we extracted and clustered into a comprehensive yet synthetic framework. This paper suggests an IC construct as a higher order DC composed of three DCs—sensing, seizing, and transforming—and three layers of foundations—core IC, supporting IC, and startup entrepreneurial capabilities. This work adds to the emerging capability-based view of the innovation stream by addressing the specific case of startups. It recognizes their entrepreneurial nature and the important role of the entrepreneur’s capabilities and behaviors. It also contributes to the entrepreneurship theory by identifying the capabilities contributing to opportunity sensing and seizing and the capabilities required for transforming and shaping new opportunities. For practitioners, the IC framework offers a practical tool to assess startup ICs and identify strengths, weaknesses, and external complementarities

    Impact de la culture sur l'intégration technologique et l'innovation : cas du secteur agroalimentaire québécois

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    La problématique du présent travail porte sur les effets de la culture sur l'intégration technologique et l'innovation dans les organisations agroalimentaires québécoises. Différentes approches ont tenté de mettre en évidence les facteurs façonnant les technologies et l'innovation. La théorie des clusters, par exemple, attribue la sophistication technologique et innovatrice à différents facteurs comme la spécialisation des actifs, les externalités et interactions locales engendrant des flux d'idées d'innovation. La littérature sur les systèmes régionaux et nationaux d'innovation insiste sur l'importance centrale que revêtent ces systèmes dans l'innovation, notamment du fait des interactions technique, commerciale, juridique, sociale ou financière entre les institutions privées ou publiques, les universités et agences gouvernementales les composant, dans l'objectif de produire de la science et de la technologie. Les deux littératures précédentes sont intéressantes mais n'abordent pas de façon approfondie le rôle du facteur culturel dans les processus technologiques et novateurs des firmes. La littérature sur les milieux innovateurs, quant à elle, reconnaît la présence de la culture comme une caractéristique de tout milieu, mais la relègue à un second plan pour l'explication des choix technologiques et d'innovation, derrière des facteurs d'ordre purement matériel et cognitif. À l'autre extrême, des travaux s'inscrivant dans l'approche culturelle par dimension de G. Hofstede (1980, 1991), se focalisent sur le rôle de la culture dans l'intégration technologique et l'innovation, mais restent également réducteurs. En effet, ils négligent le rôle d'autres variables contextuelles, limitent l'étude de la culture à un seul niveau d'analyse (culture organisationnelle par exemple) et ignorent par ailleurs ses interactions avec son contexte plus large. Par conséquent, dans le présent travail, on adopte une approche constructiviste, reconnaissant la complexité du concept de la culture, pour analyser comment ce construit multidimensionnel interagit avec des éléments structurels et institutionnels du milieu pour façonner les comportements technologiques et novateurs des firmes. Nous avons effectué 64 entrevues individuelles qualitatives ouvertes avec des dirigeants et responsables d'entreprises agroalimentaires québécoises, réparties dans trois régions du Québec à différents degrés de ruralité. Le secteur agroalimentaire québécois a été choisi comme terrain d'étude, car selon plusieurs travaux et mémoires destinés récemment à la CAAAQ, il s'agit d'un secteur périodiquement en crise d'innovation, où les dépenses en recherche et développement sont faibles par rapport aux autres secteurs, et où la « culture d'innovation » semble peu présente. Nous avons identifié quatre archétypes de configurations « culture-technologie-\ud innovation », à partir d'une typologie des comportements techno-novateurs de ces firmes. Ils permettront une conception ciblée de mesures publiques d'accompagnement du développement de ce secteur au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Culture, Intégration technologique, Technologie, Innovation, Organisation, Milieu, Secteur agroalimentaire québécois

    L’innovation au cœur des écoles de pensée économique: une tentative d’analyse appliquée au secteur agroalimentaire québécois

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    L’objectif du présent article est de dresser un portrait fin des mécanismes qui influencent l’innovation dans le secteur agroalimentaire du Québec, à la lumière des apports des grandes écoles de pensée économique. Pour ce faire, nous nous sommes basés sur les résultats d’une recherche antérieure (Kerzazi, 2009), consacrée à l’analyse de l’innovation dans le secteur agroalimentaire québécois, ayant permis d’identifier quatre clusters d’entreprises hétérogènes en termes de comportements novateurs. Dans un premier temps, nous tentons de creuser les apports des grandes écoles de pensée économique, afin d’en extraire, sous la forme d’hypothèses, les facteurs qui nous semblent affecter, de manière directe ou indirecte, le processus d’innovation. Dans un deuxième temps, nous présentons brièvement les caractéristiques des quatre clusters d’entreprises agroalimentaires québécoises adoptant des comportements d’innovation hétérogènes, tirés de notre recherche antérieure. Enfin, nous tentons d’identifier et d’extraire de ces résultats, et à la lumière des hypothèses émises sur les apports des écoles de pensée, les différents facteurs expliquant la dynamique d’innovation caractérisant chaque cluster. D’autre part, nous proposons la mobilisation de facteurs supplémentaires, inspirés de ces mêmes écoles et susceptibles d’améliorer l’innovation future tout en tenant compte des réalités et contraintes de chaque groupe d’entreprises

    A Cross-cultural Study Of The Effects Of Perceived Belongingness And Firm’s Receptivity On Consumers Dissatisfaction

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    As globalization grows, small business firms are faced with the challenge to manage dissatisfied customers with different cultural backgrounds. This challenge becomes more complex especially in multicultural contexts as well multiethnic markets where culture interacts with firm’s group membership and firm’s receptivity. In this research we investigate the moderator effects of the Individualism-Collectivism dimension of culture on the cognition-Affect-behavior process of dissatisfaction, and we discuss how such effects are contingent with the perceived belongingness (exogroup versus endogroup) and the firm’s receptivity. We tested two rival processes explaining differences in behavioral responses of dissatisfied consumers. The first process posits that collectivist consumers, although they may blame the service firm as much as individualist ones do, they feel less negative emotions and engage less in complaining behaviors and voicing to a third party. However, the second process assumes that collectivist consumers, even if they perceive the employees’ firm as belonging to their group (endogroup), they will expect more receptivity, and will be more inclined to voice their complaining. Findings supports that, in case of collectivist consumers, firm’s receptivity fails to weigh against private and third party complaining
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