375,400 research outputs found

    An Unexpected Influence

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    Notes and handouts from an informal presentation at the John Carter Brown Library

    The way we walk

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    Mark Nixon and John Carter reveal how developments in biometrics could mean the increasing use of biometric evidence such ear shape and gait to identify defendants

    Nunalleq, Stories from the Village of Our Ancestors:Co-designing a multivocal educational resource based on an archaeological excavation

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    This work was funded by the UK-based Arts and Humanities Research Council through grants (AH/K006029/1) and (AH/R014523/1), a University of Aberdeen IKEC Award with additional support for travel and subsistence from the University of Dundee, DJCAD Research Committee RS2 project funding. Thank you to the many people who contributed their support, knowledge, feedback, voices and faces throughout the project, this list includes members of the local community, colleagues, specialists, students, and volunteers. If we have missed out any names we apologize but know that your help was appreciated. Jimmy Anaver, John Anderson, Alice Bailey, Kieran Baxter, Pauline Beebe, Ellinor Berggren, Dawn Biddison, Joshua Branstetter, Brendan Body, Lise Bos, Michael Broderick, Sarah Brown, Crystal Carter, Joseph Carter, Lucy Carter, Sally Carter, Ben Charles, Mary Church, Willard Church, Daniele Clementi, Annie Cleveland, Emily Cleveland, Joshua Cleveland, Aron Crowell, Neil Curtis, Angie Demma, Annie Don, Julia Farley, Veronique Forbes, Patti Fredericks, Tricia Gillam, Sean Gleason, Sven Haakanson, Cheryl Heitman, Grace Hill, Diana Hunter, Joel Isaak, Warren Jones, Stephan Jones, Ana Jorge, Solveig Junglas, Melia Knecht, Rick Knecht, Erika Larsen, Paul Ledger, Jonathan Lim Soon, Amber Lincoln, Steve Luke, Francis Lukezic, Eva Malvich, Pauline Matthews, Roy Mark, Edouard Masson-MacLean, Julie Masson-MacLean, Mhairi Maxwell, Chuna Mcintyre, Drew Michael, Amanda Mina, Anna Mossolova, Carl Nicolai Jr, Chris Niskanen, Molly Odell, Tom Paxton, Lauren Phillips, Lucy Qin, Charlie Roberts, Chris Rowe, Rufus Rowe,Chris Rowland, John Rundall, Melissa Shaginoff, Monica Shah, Anna Sloan, Darryl Small Jr, John Smith, Mike Smith, Joey Sparaga, Hannah Strehlau, Dora Strunk, Larissa Strunk, Lonny Strunk, Larry Strunk, Robbie Strunk, Sandra Toloczko, Richard Vanderhoek, the Qanirtuuq Incorporated Board, the Quinhagak Dance Group and the staff at Kuinerrarmiut Elitnaurviat. We also extend our thanks to three anonymous reviewers for their valuable comments on our paper.Peer reviewedPublisher PD

    Carter\u27s John: Storyteller, Interpreter, Evangelist - Book Review

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    Carter, Chillon Conway, 1830-1891 (MSS 112)

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    Finding aid and typescripts of selected material for Manuscripts Collection 112. Correspondence, chiefly written by Monroe County, Kentucky native Chillon Conway Carter, to his wife, Lucinda E. and his two daughters Nancy G. and Louisa A., during the Civil War. Also includes letters written to Carter by his brother, John B. Carter, who lived in White County, Illinois

    John M. Stone Papers

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    In a series of letters, J. C. Carter writes, on September 19, 1899, to Stone that he will be sending his son, J. F. Carter, to the College instead of to the school in Clinton. In the October 13, 1899 letter, Carter writes that he wants his son, who is ill, to come home. He also notes the passing of J. M. Smith, an old soldier the two men knew.https://scholarsjunction.msstate.edu/ua-msu-founders-documents/1253/thumbnail.jp

    Interview with George Morris Carter (FA 2)

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    Transcription of interview with George Morris Carter conducted by John Alan Dowell on October 13, 1983. From project titled “George Morris Carter,” which discusses his life and exhibits his storytelling ability. The audio interviews are archived in the Sound Archives

    Intermediality and the Cinematographic Image in Angela Carter’s “John Ford’s’Tis Pity She’s a Whore” (1988)

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    Dans son introduction au recueil posthume d’Angela Carter, American Ghosts and Old World Wonders (1993), Susannah Clapp rappelle que Carter l’a autorisée à “‘tout faire pour gagner de l’argent pour mes garçons,’ – c’est-à-dire son mari, Mark, et son fils, Alexandre. Peu importe le niveau de média utilisé ; chacun de ses 15 livres pourrait être mis en musique ou transformé en spectacle sur glace” (Carter 1993, ix.). Ce commentaire reflète l’attitude irrévérente de Carter envers les arts, une attitude que la fiction cartérienne exprime à travers la multitude de jeux discontinus et troublants sur les cultures savante et populaire dans sa fiction. Dans ce recueil de nouvelles, le jeu carnavalesque avec le mythe américain et la tradition britannique tente et séduit le lecteur, manipulant ainsi ses attentes par un tissage habile du discours intertextuel et par une expérimentation générique. Dans un texte court, “John Ford’s ‘Tis Pity She’s a Whore’” Carter navigue entre les représentations cinématographiques de John Ford, réalisateur américain du XXème siècle, et la pièce de théâtre du dramaturge John Ford du XVIIème siècle dont le thème principal est l’inceste. La nouvelle paraît comme un écran sur lequel le lecteur est amené à voir le vacillement des ombres de genres et de créateurs, favorisant ainsi un sentiment d’incertitude qui alimente l’engagement du lecteur avec les forces sous-jacentes du texte. Celles-ci revêtent la question de la valeur littéraire. La pièce originelle a été critiquée à des moments différents de l’histoire littéraire pour son traitement de la question de l’inceste, et la nouvelle de Carter met également en avant l’érotisme comme moyen d’explorer les forces politiques à l’œuvre dans la représentation de la sexualité. A travers un jeu adroit avec l’esthétique cinématographique, la nouvelle de Carter révèle des formes de persuasion subtiles, et souvent impalpables. Carter a écrit des scénarios, des pièces de théâtre et des pièces pour la radio, et elle investit les paysages génériques de sa fiction d’un esprit d’intermédialité, soulignant ainsi une extension de la stratification générique complexe qui caractérise sa fiction. Dans cet article, j’étudierai les différents moyens par lesquels la nouvelle “John Ford’s ‘Tis Pity She’s a Whore’” exploite les images associées au cinéma à des fins spéculatives

    Memphis Tennessee Garrison

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    Memphis Tennessee Garrison was born Memphis Tennessee Carter in Hollins, Virginia on March 3, 1890. She moved with her family to Gary, WV, as a young child. She was named after the city where her aunt worked as a teacher; Memphis, Tennessee, had a large black population. Her parents, Wesley Carter and Cassie Thomas Carter, were former slaves. She had an older brother by 10 years, John Carter, who moved to Columbus, Ohio, as an adult and worked in a steel mill.https://mds.marshall.edu/african_american_pub/1003/thumbnail.jp

    Intermediality and the Cinematographic Image in Angela Carter’s “John Ford’s’Tis Pity She’s a Whore” (1988)

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    Dans son introduction au recueil posthume d’Angela Carter, American Ghosts and Old World Wonders (1993), Susannah Clapp rappelle que Carter l’a autorisée à “‘tout faire pour gagner de l’argent pour mes garçons,’ – c’est-à-dire son mari, Mark, et son fils, Alexandre. Peu importe le niveau de média utilisé ; chacun de ses 15 livres pourrait être mis en musique ou transformé en spectacle sur glace” (Carter 1993, ix.). Ce commentaire reflète l’attitude irrévérente de Carter envers les arts, une attitude que la fiction cartérienne exprime à travers la multitude de jeux discontinus et troublants sur les cultures savante et populaire dans sa fiction. Dans ce recueil de nouvelles, le jeu carnavalesque avec le mythe américain et la tradition britannique tente et séduit le lecteur, manipulant ainsi ses attentes par un tissage habile du discours intertextuel et par une expérimentation générique. Dans un texte court, “John Ford’s ‘Tis Pity She’s a Whore’” Carter navigue entre les représentations cinématographiques de John Ford, réalisateur américain du XXème siècle, et la pièce de théâtre du dramaturge John Ford du XVIIème siècle dont le thème principal est l’inceste. La nouvelle paraît comme un écran sur lequel le lecteur est amené à voir le vacillement des ombres de genres et de créateurs, favorisant ainsi un sentiment d’incertitude qui alimente l’engagement du lecteur avec les forces sous-jacentes du texte. Celles-ci revêtent la question de la valeur littéraire. La pièce originelle a été critiquée à des moments différents de l’histoire littéraire pour son traitement de la question de l’inceste, et la nouvelle de Carter met également en avant l’érotisme comme moyen d’explorer les forces politiques à l’œuvre dans la représentation de la sexualité. A travers un jeu adroit avec l’esthétique cinématographique, la nouvelle de Carter révèle des formes de persuasion subtiles, et souvent impalpables. Carter a écrit des scénarios, des pièces de théâtre et des pièces pour la radio, et elle investit les paysages génériques de sa fiction d’un esprit d’intermédialité, soulignant ainsi une extension de la stratification générique complexe qui caractérise sa fiction. Dans cet article, j’étudierai les différents moyens par lesquels la nouvelle “John Ford’s ‘Tis Pity She’s a Whore’” exploite les images associées au cinéma à des fins spéculatives
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