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    Restauration du site minier Lorraine, Latulipe, Québec : résultats de 10 ans de suivi

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    Le gisement polymétallique de la mine Lorraine (Latulipe, Québec), exploité de 1964 à 1968, a généré environ 600 000 tonnes de résidus miniers potentiellement générateurs d’acide. Ces résidus ont été entreposés dans un parc d’une superficie de 15,5 hectares. Le parc a été laisse à l’abandon pendant environ 30 ans. Durant cette période, les réactions d’oxydation des sulfures contenus dans les rejets miniers se sont enclenchées, ce qui a conduit à la génération de drainage minier acide (DMA), dont les traces sont principalement observées dans le secteur sud du parc. Afin de réduire les impacts sur l’environnement, des travaux de restauration ont été entrepris a l’été 1998. L’approche de restauration préconisée inclut la construction d’une couverture avec effets de barrière capillaire (CEBC) pour limiter la migration de l’oxygène jusqu’aux résidus réactifs. En plus de la CEBC, un système de traitement passif, constitue de drain dolomitique (3) et calcique (1), a été mis en place pour améliorer la qualité de l’eau des exfiltrations du site. Les mesures effectuées sur le site montrent qu’après une période transitoire de deux ans, la CEBC est efficace pour limiter la migration de l’oxygène. Les flux mesures sont inferieurs à l’objectif de design, qui était de l’ordre de 20 à 40 g d’O2/m2/an. Malgré la bonne performance de la CEBC, l’eau qui sort du site (avant traitement passif) ne respecte toujours pas les critères de rejets québécois ; cependant, une amélioration notable a été observée au cours des deux dernières années. Grâce aux drains dolomitiques, on améliore significativement la qualité de l’eau de l’effluent final, sans toutefois respecter tous les critères

    Whole-genome sequencing identifies EN1 as a determinant of bone density and fracture

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    The extent to which low-frequency (minor allele frequency (MAF) between 1-5%) and rare (MAF ≤ 1%) variants contribute to complex traits and disease in the general population is mainly unknown. Bone mineral density (BMD) is highly heritable, a major predictor of osteoporotic fractures, and has been previously associated with common genetic variants, as well as rare, population-specific, coding variants. Here we identify novel non-coding genetic variants with large effects on BMD (ntotal = 53,236) and fracture (ntotal = 508,253) in individuals of European ancestry from the general population. Associations for BMD were derived from whole-genome sequencing (n = 2,882 from UK10K (ref. 10); a population-based genome sequencing consortium), whole-exome sequencing (n = 3,549), deep imputation of genotyped samples using a combined UK10K/1000 Genomes reference panel (n = 26,534), and de novo replication genotyping (n = 20,271). We identified a low-frequency non-coding variant near a novel locus, EN1, with an effect size fourfold larger than the mean of previously reported common variants for lumbar spine BMD (rs11692564(T), MAF = 1.6%, replication effect size = +0.20 s.d., Pmeta = 2 × 10(-14)), which was also associated with a decreased risk of fracture (odds ratio = 0.85; P = 2 × 10(-11); ncases = 98,742 and ncontrols = 409,511). Using an En1(cre/flox) mouse model, we observed that conditional loss of En1 results in low bone mass, probably as a consequence of high bone turnover. We also identified a novel low-frequency non-coding variant with large effects on BMD near WNT16 (rs148771817(T), MAF = 1.2%, replication effect size = +0.41 s.d., Pmeta = 1 × 10(-11)). In general, there was an excess of association signals arising from deleterious coding and conserved non-coding variants. These findings provide evidence that low-frequency non-coding variants have large effects on BMD and fracture, thereby providing rationale for whole-genome sequencing and improved imputation reference panels to study the genetic architecture of complex traits and disease in the general population.</p
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