10 research outputs found

    The Politics of the Pantry: Stories, Food, and Social Change by Michael Mikulak

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    Review of Michael Mikulak\u27s Politics of the Pantry: Stories, Food, and Social Change

    Grains. Monsanto contre Schmeiser d\u27Annabel Soutar

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    Compte-rendu de Grains. Monsanto contre Schmeiser d\u27Annabel Soutar

    L’écocritique québécoise et franco-canadienne : une communauté à bâtir

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    Éditorial de la directrice du contenu francophon

    Le printemps de l’écocritique francophone au Canada : un appel aux contributions en langue française pour The Goose

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    French language editorial for The Goose Volume 13, Issue 2 (2014)

    La littérature à l\u27éprouvette de Jean-François Chassay

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    La Littérature à l’éprouvette de Jean-François Chassay, compte-rendu par Mariéve Isabel

    Écriture(s) de la nature au Québec : un champ à défricher

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    Are there literary works oriented toward the questions of nature and environment in Quebec’s literature? If so, under which forms does this corpus present itself? This article will explore different types of nature writing in Quebec, including examples from travel literature, agrarian novel, natural history, regionalism, and environmental literature. After reflecting on the presence of ecocriticism in Quebec, various works will be presented in order to show that nature writing in Quebec is rich and varied, and that there is potential for a québécois ecocriticism

    Les représentations de la nature dans la littérature québécoise entre 1840 et 1940

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    This panorama of French Canadian literature between 1846 and 1938, a century quite homogenous around the "roman du terroir", allows some conclusions about the dominant representations of nature of this period. Between the rural novels, influenced by the dominant ideologies that are "agriculturism", nationalism and Catholicism, along with other novels more aligned with American values, and other writings that are moving away from those ideologies, it is possible to see a tendency, an oscillation rather than a straight line, but an amplifying oscillation, from representations of a nature that can be possessed to representations of a nature that cannot be possessed. In other words, representations change from a nature seen as a commodity (private or national property, source of wealth) to a nature perceived as a place where to find identity, both French Canadian and American (from the Americas), and to find spirituality.Le survol de la littérature québécoise entre 1846 et 1938, siècle relativement homogène autour du roman de la terre, permet de tirer certaines conclusions sur les représentations de la nature dominantes de l'époque. Entre les œuvres du terroir, dans lesquelles les idéologies que sont l'agriculturisme, le nationalisme et le catholicisme dominent, mais aussi dans celles qui véhiculent un discours résolument plus « américaniste », et les œuvres qui s'éloignent de la norme s'esquisse une tendance, oscillation plutôt que ligne droite, mais oscillation qui s'amplifie, entre des représentations d'une nature qu'on pense pouvoir posséder matériellement et d'une nature qu'on reconnaît ne pas pouvoir posséder. En d'autres termes, on passe d'une nature comme bien foncier (propriété privée ou nationale, source de richesses) à une nature comme lieu de l'identité, tant québécoise qu'américaine, et de spiritualité

    Contre-culture et environnementalisme au Québec: une écosociété à bâtir

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    En lisant les commentaires de la critique littéraire contemporaine à propos des discours contreculturels des années 1970, il ressort parfois que l’héritage laissé par ce mouvement au Québec reste flou et ne fait pas l’unanimité. Qu’en est-il du vaste mouvement environnemental que l’on observe depuis environ deux décennies? Ne fait-il pas partie, lui aussi, de l’héritage contre-culturel? Dans cet article, je montrerai que l’on peut mieux comprendre l’héritage laissé par la contre-culture en recherchant du côté du discours environnementaliste au Québec. Pour comprendre comment les discours de la contre-culture ont contribué à façonner les discours environnementaux d’aujourd’hui, je propose de centrer mon analyse sur l’idée d’une société utopique à créer, pour montrer que l’héritage contre-culturel se retrouve en grande partie dans le discours environnemental québécois et plus précisément dans l’idée d’une « écosociété », à partir des premiers numéros de “Mainmise” et d’essais de l’époque.Different studies about the countercultural movement in Quebec in the 1970s have not yet reached a consensus about the legacy left by this movement on contemporary culture. However, they do not examine in any depth the environmental thought and politics that have emerged in Quebec over the last twenty years. In this article, I will show that the countercultural movement’s legacy is to be found in large part in today’s environmental discourse in Quebec. To illustrate this, I will analyse the notion of ecosociety and the utopian society as proposed and articulated by the authors of the Quebecois countercultural magazine Mainmise and other key environmental thinkers of this period.Los diferentes estudios sobre el movimiento contracultural en Quebec en los años 70 no han logrado aún ponerse de acuerdo sobre la herencia que dejó ese movimiento en la cultura contemporánea. Sin embargo, tampoco examinan en detalle el pensamiento y la política medioambiental que han surgido en Quebec en los últimos veinte años. En este artículo mostraré que el legado del movimiento contracultural se encuentra en gran medida en el discurso medioambiental del Quebec actual. Para ilustrar esto analizaré la noción de ecosociedad y la sociedad utópica tal y como la proponen y articulan los autores de la revista quebequesa "Mainmise" y otros pensadores medioambientalistas clave de este periodo

    Dictionnaire des intellectuel.les au Québec

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    Qui connaît vraiment les intellectuel.les hors du cercle restreint des historiens et des littéraires ? Quelle mémoire avons-nous de celles et ceux qui, au Québec, eurent recours à la parole comme « mode d'action » ? Qui, comme Hubert Aquin, entreprirent et entreprennent encore de « comprendre dangereusement » la culture et la société de leur époque, remuant idées et images, bousculant pouvoirs et doxa ? Ce dictionnaire est conçu pour combler les lacunes d'une mémoire collective quelque peu défaillante, mais aussi pour donner envie de lire ou de relire les textes de ces femmes et hommes passionnés par les idées, qui ont contribué - et qui contribuent toujours - à bâtir la société québécoise. On y trouvera les noms de celles et ceux qui, depuis trois siècles, interviennent sur la place publique et soulèvent des questions d'intérêt civique et politique à propos d'enjeux collectifs importants ; de celles et ceux qui promeuvent ou incarnent la liberté de parole et la défendent contre différents pouvoirs et structures organisationnelles

    Dictionnaire

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    ACTION FRANÇAISE (1917-1928) / ACTION NATIONALE (1933- ) Lancée une dizaine d’années après l’affaire Dreyfus, L’Action française (AF) de Montréal existe toujours sous le titre L’Action nationale (AN). C’est dire la place de la revue pour l’histoire des intellectuels, d’autant plus qu’au-delà de La Revue canadienne (1864-1922) et des journaux nationalistes du début du siècle – Le Nationaliste (1903) d’Olivar Asselin*, L’Action (1911-1916) de Jules Fournier*, Le Devoir (1910) d’Henri Bourassa* ..
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