Binary systems and their nuclear explosions

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Pathways to deep decarbonization in Germany

The Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP) is a collaborative global initiative led by IDDRI and SDSN that aims to demonstrate how individual countries can transition to a low-carbon economy preferably consistent with the internationally agreed target of limiting the increase in global temperature to less than 2°C. Achieving this target will require a profound transformation of energy systems by mid-century, a "deep decarbonization". The project comprises 16 research teams composed of leading institutions from the world's largest GHG emitting countries: Australia, Brazil, Canada, China, France, Germany India, Indonesia, Italy, Japan, Mexico, Russia, South Africa, South Korea, United Kingdom, and United States. Each team is exploring what is required to achieve this transformation in their own country's economy while taking into account socio-economic conditions, development aspirations, infrastructure stocks, natural resource endowments, and other relevant factors. The DDPP country study for Germany explores what is required to achieve deep decarbonization in Germany. It has been conducted by the Wuppertal Institute for Climate, Environment and Energy, with the support of Stiftung Mercator. The study discusses how the German government's target of reducing domestic GHG emissions by 80 to 95% by 2050 (versus 1990) can be reached

Tetrapodal Diazatriptycene Enforces Orthogonal Orientation in Self-Assembled Monolayers

none17Conformationally rigid multipodal molecules should control the orientation and packing density of functional head groups upon self-assembly on solid supports. Common tripods frequently fail in this regard because of inhomogeneous bonding configuration and stochastic orientation. These issues are circumvented by a suitable tetrapodal diazatriptycene moiety, bearing four thiol-anchoring groups, as demonstrated in the present study. Such molecules form well-defined self-assembled monolayers (SAMs) on Au(111) substrates, whereby the tetrapodal scaffold enforces a nearly upright orientation of the terminal head group with respect to the substrate, with at least three of the four anchoring groups providing thiolate-like covalent attachment to the surface. Functionalization by condensation chemistry allows a large variety of functional head groups to be introduced to the tetrapod, paving the path toward advanced surface engineering and sensor fabrication.NEXUSnoneBenneckendorf, Frank S; Rohnacher, Valentina; Sauter, Eric; Hillebrandt, Sabina; Münch, Maybritt; Wang, Can; Casalini, Stefano; Ihrig, Katharina; Beck, Sebastian; Jänsch, Daniel; Freudenberg, Jan; Jaegermann, Wolfram; Samorì, Paolo; Pucci, Annemarie; Bunz, Uwe H F; Zharnikov, Michael; Müllen, KlausBenneckendorf, Frank S; Rohnacher, Valentina; Sauter, Eric; Hillebrandt, Sabina; Münch, Maybritt; Wang, Can; Casalini, Stefano; Ihrig, Katharina; Beck, Sebastian; Jänsch, Daniel; Freudenberg, Jan; Jaegermann, Wolfram; Samorì, Paolo; Pucci, Annemarie; Bunz, Uwe H F; Zharnikov, Michael; Müllen, Klau

Pathways to Deep Decarbonization 2015 report.

Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l’intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l’échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D’ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l’objectif de 2°C maximum de réchauffement à l’horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d’émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l’avenir, être complétées par d’autres pays et par la prise en compte de sources d’émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d’éviter les effets délétères du changement climatique, et s’inscrit en parallèle dans une stratégie d’amélioration significative de services essentiels comme l’accès à l’énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l’ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l’absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d’importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies de décarbonation sont indispensables pour informer les feuilles de route portant sur les choix de long terme, évitant ainsi des situations de blocage (lock-in), notamment technologiques, pouvant in fine freiner l’action climatique et en retarder ses effets