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    Guy Lasserre (1920 – 2001)

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    Lorsque Louis Papy et EugĂšne Revert fondĂšrent notre revue, en 1948, ils trouvĂšrent auprĂšs du jeune agrĂ©gĂ© de gĂ©ographie Guy Lasserre un collaborateur enthousiaste, qui rĂ©digea pour le premier numĂ©ro de la revue une solide mise au point sur le Nord-Est du BrĂ©sil. En 1957, Louis Papy dĂ©cida de renforcer l’équipe dirigeante des Cahiers : Guy Lasserre fut tout naturellement nommĂ© secrĂ©taire de rĂ©daction et en janvier 1962, il devint co-directeur auprĂšs du Doyen Louis Papy et d’Henri Enjalbert, pr..

    Trabajo y vida indígenas en los trapiches del Nuevo Reino de Granada, 1576 – 16741

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    ABSTRACT: By a CrownÂŽs rule, native workforce was forbidden inside the trapiches and sugar mills. Nonetheless, some CrownÂŽs employees of the New Kingdom of Granada, in particular chief magistrates, avoided exerting this prohibition drastically, and allowed many indigenous people of encomiendas to pay their tributes with their labor on sugar production. This article studies both the reasons of this permissiveness and the changes that working on the trapiches generated among natives, especially those aspects linked to their community life and their consumption habits.RESUMEN: La mano de obra indĂ­gena estaba prohibida dentro de los trapiches e ingenios de azĂșcar por mandato de la Corona española. Sin embargo, en el Nuevo Reino de Granada los oficiales reales, especialmente los corregidores, evitaron ejercer drĂĄsticamente esta prohibiciĂłn y permitieron que muchos indios de encomienda pagaran su tributaciĂłn con el trabajo azucarero. En este artĂ­culo se estudian las razones de esta permisividad, asĂ­ como los cambios que generĂł entre los indĂ­genas trabajar en los trapiches, especialmente los aspectos vinculados a la vida comunitaria y a los hĂĄbitos de consumo de los indĂ­genas

    LĂ©vi-Strauss (Claude). Tristes Tropiques. (Coll. Terre Humaine). 1955

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    Huetz de Lemps Alain. Lévi-Strauss (Claude). Tristes Tropiques. (Coll. Terre Humaine). 1955. In: Cahiers d'outre-mer. N° 32 - 8e année, Octobre-décembre 1955. pp. 402-403

    Une terre française oubliée : Clipperton

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    Huetz de Lemps Alain. Une terre française oubliée : Clipperton. In: Cahiers d'outre-mer. N° 61 - 16e année, Janvier-mars 1963. pp. 133-135

    La canne Ă  sucre aux Iles Fidji

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    Sugar Cane in the Fiji Islands. Sugar constitutes the main resource of the Fiji Islands ; it represents more than seventy-five percent of the total exports. Sugar cane growing is concentrated along the leeward coasts of the large islands of Viti Levu and Vanua Levu. Rainfall is abundant but the dry season is sufficiently long in order for the concentration of juice in the stem to form under good conditions. At first, the fields of sugar cane were located only on the small alluvial plains of fertile soil, later they extended part way up the bases of the hills, the soil of which is poorer and scoured with the effects of erosion. Farming is undertaken mainly by peasants of Indian origin ; they are the descendants of farm workers brought to the Fiji between 1879 and 1919. The large plantations of the 19th century, in particular those of the Australian Colonial Sugar Refining Company, were cut up into small farms of several hectares that were rented out to «tenants», while other Indian farmers, the «contractors», rented land belonging to the various Fijian communities. After indĂ©pendance of the archipelago in 1970, the Australian company, which had succeeded in obtaining a monopoly of the sugar production, ceded its interests to a Government-owned company, the Fiji Sugar Corporation, which today manages the four sugar mills, the landed properties of the C.S.R. having become «Crown lands». The Indian peasants live on farms distributed throughout the sugar cane growing areas ; their homes have been considerably improved during the course of recent years, thanks to the high price of sugar, but their farms are often too small and many families would be unable to survive without income brougth to them by some of their members working elsewhere. Some Melane-sians benefit directly from sugar by renting land to the Indians, and some of them grow sugar cane themselves ; in general, their output is smaller than that of the Indians. The choice of varieties that resist well to disease, the employment of chemical fertilizers, and a satisfactory organization enable the Fijians to obtain good cane output (more than 50 tons per hectare) and a good sugar output (7.4 tons of cane to produce one ton of sugar). Harvesting is done solely by hand ; the cane cutters are organized into teams (gangs), load the sugar on to trucks and especially on to carts. Two-thirds of the harvest is transported by rail. Ninety percent of the sugar produced by the four mills is exported, Great Britain remaining the main client, even since its entrance into the Common Market. Sugar production in the Fiji Islands has tended to decline in recent years (355,147 tons in 1970, 268,107 tons in 1975) due to excessive rainfall, but also due to a certain laxness on the part of the farmers. An effort to increase production has been undertaken ; it is based on a selection of better varieties, drainage improvements in the lowlying lands, and the conquest of new land, either at the expense of the mangroves, or on the forest covered plateau of Seaqaqa, in Vanua Levu. Progress in all these domains should enable the Fiji Islands to increase its production to about 400,000 tons of sugar, which is both the production capacity of the four mills as well as the sugar quota accorded to the nation for some years now.Le sucre constitue la ressource essentielle des Iles Fidji : il reprĂ©sente plus des trois quarts des exportations totales. La culture de la canne est localisĂ©e sur les cĂŽtes sous-le-vent des grandes Ăźles de Viti Le vu et de Vanua Le vu. Les pluies sont abondantes mais la saison sĂšche est suffisamment bien marquĂ©e pour que la concentration de jus dans la tige puisse se faire dans de bonnes conditions. Les champs de canne ont occupĂ© d'abord les petites plaines alluviales au sol fertile et ont ensuite conquis une partie des basses collines dont les sols sont plus pauvres et oĂč les morsures de l'Ă©roÂŹ sion sont frĂ©quentes. La culture est pratiquĂ©e surtout par des paysans d'origine indienne, descendants des travailleurs agricoles amenĂ©s aux Fidji entre 1879 et 1919. Les grandes plantations du XIXe siĂšcle, en particulier celles de la Colonial Sugar Refining Australienne, ont Ă©tĂ© morcelĂ©es en petites exploitations de quelques hectares louĂ©es Ă  des «tenants» tandis que d'autres cultivateurs indiens, les «contractors», prenaient en location des terres appartenant aux CommunautĂ©s fidjiennes. AprĂšs l'indĂ©pendance de l'archipel (1970) la Compagnie australienne qui avait rĂ©ussi Ă  avoir le monopole de la fabrication du sucre cĂ©da ses intĂ©rĂȘts Ă  une sociĂ©tĂ© d'Etat, la Fiji Sugar Corporation, qui gĂšre les 4 usines, le domaine foncier de la CSR devenant «terre de la Couronne». Les paysans indiens vivent dans des fermes Ă©parpillĂ©es dans les zones sucriĂšres ; leur habitat s'est nettement amĂ©liorĂ© au cours des derniĂšres annĂ©es grĂące au prix Ă©levĂ© du sucre mais leurs exploitations sont souvent trop petites et de nombreuses familles ne pourraient vivre sans les revenus apportĂ©s de l'extĂ©rieur par certains de leurs membres. Des MĂ©lanĂ©siens profitent indirectement de la canne en louant des terres aux Indiens et certains cultivent eux-mĂȘmes la canne ; leurs rendements sont dans l'ensemble plus faibles que ceux des Indiens. Le choix de variĂ©tĂ©s qui rĂ©sistent bien aux maladies, l'emploi d'engrais chimiques, un encadrement satisfaisant permettent d'obtenir des rendements corrects en canne (plus de 50 tonnes/ha) et en sucre (7,4 tonnes de canne pour faire une tonne de sucre). La rĂ©colte est uniquement manuelle ; les coupeurs de canne groupĂ©s en Ă©quipes (gangs) chargent la canne sur des camions et surtout sur des wagonnets. Les deux tiers de la rĂ©colte sont transÂŹ portĂ©s par voie ferrĂ©e. Le sucre produit par les 4 sucreries est pour 90 % exportĂ©, la Grande-Bretagne restant le client essentiel, mĂȘme depuis son entrĂ©e dans le MarchĂ© Commun. La production de sucre des Ăźles Fidji a eu tendance Ă  baisser au cours des derniĂšres annĂ©es (355 147 t. en 1970, 268 107 en 1975) par suite de prĂ©cipitations excessives mais aussi d'un certain laisser-aller de la part des cultivateurs. Un effort pour relancer la production a Ă©tĂ© entrepris ; il s'appuie sur le choix de meilleures variĂ©tĂ©s, l'amĂ©lioration du drainage des terres basses et la conÂŹ quĂȘte de terres nouvelles, soit aux dĂ©pens de la mangrove, soit sur le plateau forestier de Seaqaqa, dans l'Ăźle de Vanua Levu. Ces progrĂšs devraient permettre aux Ăźles Fidji de se rapprocher des 400 000 tonnes de sucre qui reprĂ©sentent Ă  la fois la capacitĂ© de production des 4 usines et le quota accordĂ© au pays depuis quelques annĂ©es.Huetz de Lemps Alain. La canne Ă  sucre aux Iles Fidji. In: Cahiers d'outre-mer. N° 121 - 31e annĂ©e, Janvier-mars 1978. pp. 5-47

    Principales plantes cultivées introduites en Amérique latine depuis 1492

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    Huetz de Lemps Alain. Principales plantes cultivĂ©es introduites en AmĂ©rique latine depuis 1492. In: Cahiers d'outre-mer. N° 209-210 - 53e annĂ©e, Janvier-juin 2000. Les plantes de l'Ancien monde Ă  la conquĂȘte de l'AmĂ©rique latine. pp. 129-186

    Initiation à l'Algérie. Librairie d'Amérique et d'Orient. Adrien Maisonneuve, 1957

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    Huetz de Lemps Alain. Initiation à l'Algérie. Librairie d'Amérique et d'Orient. Adrien Maisonneuve, 1957. In: Cahiers d'outre-mer. N° 41 - 11e année, Janvier-mars 1958. p. 93

    Vignobles et vins de Castille du xvie au xviiie siÚcles

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    La richesse de la documentation conservĂ©e dans les archives espagnoles nous permet d’avoir une idĂ©e assez prĂ©cise de la place de la viticulture dans le monde rural et du rĂŽle du vin dans la vie des Castillans Ă  l’époque moderne. Dans le tableau que nous prĂ©sentons ici, nous n’envisageons que la Castille proprement dite et nous avons Ă©videmment exclu la “Montaña” de Santander au nord comme l’Andalousie et l’Extremadure au sud. Cette Castille, rĂ©gion historique issue de la ReconquĂȘte, occupe le..

    Principaux aspects des vignobles du Sud de la cuenca du Duero (Vieille Castille)

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    Huetz de Lemps Alain. Principaux aspects des vignobles du Sud de la cuenca du Duero (Vieille Castille). In: Bulletin de l'Association de géographes français, N°288-289, 37e année, Janvier-février 1960. pp. 49-68

    Harris D.D. et Lea D.A.M. A regional geography of South Australia

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    Huetz de Lemps Alain. Harris D.D. et Lea D.A.M. A regional geography of South Australia. In: Cahiers d'outre-mer. N° 60 - 15e année, Octobre-décembre 1962. p. 425
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