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    Metabolic Rift or Metabolic Shift? Dialectics, Nature, and the World-Historical Method

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    Abstract In the flowering of Red-Green Thought over the past two decades, metabolic rift thinking is surely one of its most colorful varieties. The metabolic rift has captured the imagination of critical environmental scholars, becoming a shorthand for capitalism’s troubled relations in the web of life. This article pursues an entwined critique and reconstruction: of metabolic rift thinking and the possibilities for a post-Cartesian perspective on historical change, the world-ecology conversation. Far from dismissing metabolic rift thinking, my intention is to affirm its dialectical core. At stake is not merely the mode of explanation within environmental sociology. The impasse of metabolic rift thinking is suggestive of wider problems across the environmental social sciences, now confronted by a double challenge. One of course is the widespread—and reasonable—sense of urgency to evolve modes of thought appropriate to an era of deepening biospheric instability. The second is the widely recognized—but inadequately internalized—understanding that humans are part of nature

    «La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : exceptĂ©, sauf et hormis comme pivots d’une relation algĂ©brique »

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    L’analyse des emplois prĂ©positionnels et des emplois conjonctifs d’ “exceptĂ©â€, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prĂ©positions/conjonctions comme le pivot d’un binĂŽme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. PlacĂ©es au milieu du binĂŽme, ces prĂ©positions sont forcĂ©es par leur sĂ©mantisme originaire dĂ»ment mĂ©taphorisĂ© de jouer le rĂŽle de marqueurs d’inconsĂ©quence systĂ©matique entre l’élĂ©ment se trouvant Ă  leur gauche et celui qui se trouve Ă  leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux Ă©lĂ©ments n’est donc pas une incompatibilitĂ© naturelle, intrinsĂšque, mais extrinsĂšque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portĂ©e par un « tout » Ă  un autre « tout ». De plus, l’inconsĂ©quence induite mise en place par la prĂ©position/conjonction paraĂźt, en principe, tout Ă  fait insurmontable. Dans l’assertion « les Ă©cureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les Ă©cureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la prĂ©position semble en effet capable d’impliquer le prĂ©dicat principal avec signe inverti, et de bĂątir sur une telle implication une sorte de sous Ă©noncĂ© qui, Ă  la rigueur, est totalement inconsĂ©quent avec celui qui le prĂ©cĂšde (si « les Ă©cureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). NĂ©anmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin ĂȘtre dĂ©passĂ©es, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de rĂ©soudre le conflit dans les termes d’une somme algĂ©brique entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus de diffĂ©rent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, le rĂ©sultat est toujours autre que zĂ©ro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de rĂ©soudre le conflit entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus du mĂȘme poids informatif et en mĂȘme temps de signe contraire : les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant symĂ©triques et Ă©gales, le rĂ©sultat sera toujours Ă©quivalent Ă  zĂ©ro

    Pseudosklerose (Westphal-StrĂŒmpell)

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    Absorbing angles, Steiner minimal trees and antipodality

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    We give a new proof that a star {op i :i=1,
,k} in a normed plane is a Steiner minimal tree of vertices {o,p 1,
,p k } if and only if all angles formed by the edges at o are absorbing (Swanepoel in Networks 36: 104–113, 2000). The proof is simpler and yet more conceptual than the original one. We also find a new sufficient condition for higher-dimensional normed spaces to share this characterization. In particular, a star {op i :i=1,
,k} in any CL-space is a Steiner minimal tree of vertices {o,p 1,
,p k } if and only if all angles are absorbing, which in turn holds if and only if all distances between the normalizations equal 2. CL-spaces include the mixed ℓ 1 and ℓ ∞ sum of finitely many copies of ℝ
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