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    Principaux facteurs qui affectent l’état nutritionnel et de santé des enfants exposés à l’aflatoxine au Bénin: Application du model Probit

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    Une enquête diagnostique a été conduite en zones agro-écologiques côtière et guinéenne du Bénin pour évaluer le niveau d’exposition à l’aflatoxine d’origine alimentaire et l’état nutritionnel et de santé des enfants de moins de 5 ans. La régression multiple et une analyse économétrique (Probit) ont été effectuées pour identifie les principaux facteurs qui affectent l’état nutritionnel et de santé de ces enfants. Les résultats de l’analyse du sang montrent que presque tous les enfants (99%) sont testés positifs à l’aflatoxine avec un taux moyen de concentration de 0,56 pg/ml de sang. Les principaux facteurs socioéconomiques dont le revenu hebdomadaire du ménage, la superficie de culture emblavée et le niveau d’éducation formelle font diminuer la malnutrition chez les enfants de moins de 5 ans exposés à l’aflatoxine. La présence d’aflatoxine dans le sang des enfants est négativement corrélée au taux d’hémoglobine et positivement corrélé à la morbidité observée chez ces enfants. D’autres facteurs comme les bonnes techniques de stockage du maïs, la pré-préparation hygiénique des aliments destinés aux enfants réduisent significativement l’aflatoxine dans le sang pendant que la fréquence de consommation du maïs relativement élevée contribue à sa concentration dans le sang. Mots clés: facteurs, aflatoxine, santé, état nutritionnelfacteurs, aflatoxine, santé, état nutritionnel, Agricultural and Food Policy, Community/Rural/Urban Development, Environmental Economics and Policy, Food Consumption/Nutrition/Food Safety, Food Security and Poverty, Health Economics and Policy, Land Economics/Use, Marketing, Production Economics, Research and Development/Tech Change/Emerging Technologies,

    Principaux facteurs qui affectent l’état nutritionnel et de santé des enfants exposés à l’aflatoxine au Bénin: Application du model Probit

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    Une enquête diagnostique a été conduite en zones agro-écologiques côtière et guinéenne du Bénin pour évaluer le niveau d’exposition à l’aflatoxine d’origine alimentaire et l’état nutritionnel et de santé des enfants de moins de 5 ans. La régression multiple et une analyse économétrique (Probit) ont été effectuées pour identifie les principaux facteurs qui affectent l’état nutritionnel et de santé de ces enfants. Les résultats de l’analyse du sang montrent que presque tous les enfants (99%) sont testés positifs à l’aflatoxine avec un taux moyen de concentration de 0,56 pg/ml de sang. Les principaux facteurs socioéconomiques dont le revenu hebdomadaire du ménage, la superficie de culture emblavée et le niveau d’éducation formelle font diminuer la malnutrition chez les enfants de moins de 5 ans exposés à l’aflatoxine. La présence d’aflatoxine dans le sang des enfants est négativement corrélée au taux d’hémoglobine et positivement corrélé à la morbidité observée chez ces enfants. D’autres facteurs comme les bonnes techniques de stockage du maïs, la pré-préparation hygiénique des aliments destinés aux enfants réduisent significativement l’aflatoxine dans le sang pendant que la fréquence de consommation du maïs relativement élevée contribue à sa concentration dans le sang. Mots clés: facteurs, aflatoxine, santé, état nutritionne

    Dose transfer of an oilbased formulation of Metarhizium anisopliae (Hypocreales: Clavicipitaceae) sprays to cotton bollworm in an arena trial

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    A cotton field was used to set up an arena trial for investigating the dose transfer of oil-based ultra-low-volume sprays of Metarhizium anisopliae (Metchnikoff) Sorokin to the cotton bollworm Helicoverpa armigera (Hübner). Two doses of conidia (75 and 50 g/ha, being 3.75 × 1012 and 2.5 × 1012 conidia/ha, respectively) formulated in 2 litres (70:30, kerosene–peanut oil) were applied using a Berthoud ‘Micro Ulva’ to three groups of larvae of cotton bollworms positioned in three rows downwind of a single spray line. Both the distribution of the droplets and the effect of direct contact with spray droplets were quantified. The mean number of droplets decreased from 416 ( ± 60) droplets per cm2 (line 1; 0.4 m) to 45 ( ± 36) droplets per cm2 (line 3; 5 m). To achieve 50% mortality, >10 and >13 days were necessary for 75 and 50 g/ha, respectively. From day 15, the difference in mortality rates was significant between the two treatments. At line 3 (5 m), at 12 days after application, the mortality rate reached 52% for 75 g/ha and 47% for 50 g/ha. The results are discussed in view of optimizing the application of the biopesticides

    Reponse des stades larvaires de Helicoverpa armigera (Hubner) (Lepidoptera : Noctuidae) a lapplication de champignons entomopathogenes Metarhizium anisopliae et Beauveria bassiana

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    Abstracts also in English LanguageDeux expérimentations ont été mises en place pour étudier la réponse effet/dose de deux souches de champignons entomopathogènes, Metarhizium anisopliae, Met 31 et Beauveria bassiana, Bb 11 sur les stades larvaires de Helicoverpa armigera. Dans la première expérimentation, la souche Met 31 de M. anisopliae a été testée sur le stade L3 de H. armigera, tandis qu’à la deuxième, les deux souches Met 31 et Bb 11 ont été testées sur le stade L4 du même insecte. Pour les deux expérimentations, les doses de 0, 104, 105, 106, 107 conidies par insecte ont été utilisées. Les observations ont porté sur la mortalité des larves, la sporulation des cadavres, la formation des chrysalides et l’émergence des adultes. La formule d’Abbott a été utilisée pour corriger les taux de mortalité au niveau des insectes traités. La régression de Cox a été utilisée pour déterminer la DL50. Pour la première expérimentation, les taux de mortalité des larves L3 de H. armigera n’étaient pas significativement différents entre les doses d’application de Met 31 de 106 et 107 conidies par insecte. Lors de la deuxième expérimentation, le taux de mortalité des larves L4 (74 %) soumises à la dose d’application de Met 31 de 107 conidies par insecte a été significativement le plus élevé. Pour la souche Bb 11, malgré l’écart observé entre les taux de mortalité causés par 106 (58 %) et ceux causés par 107 conidies par insecte (90 %), aucune différence significative n’a été enregistrée au seuil de 5 %. Les cadavres des chenilles L4 issus des plus faibles doses n’ont pas sporulé. Les témoins ont enregistré le plus fort taux de chrysalides et d’adultes. Ces deux paramètres ont été fonction de la dose : plus la dose est forte, moins élevés sont les taux de chrysalides et d’adultes. Pour toutes les souches de champignons utilisées, quel que soit le stade larvaire de H. armigera, la réponse effet/dose a été significative

    Potentiel Reproducteur de Dinarmus basalis Rond. (Hymenoptera: Pteromalidae) en Présence de Son Hôte Callosobruchus maculatus F. (Coleoptera: Bruchidae) en Zone Guinéenne

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    The age-dependent fecundity and offspring production of females of a solitary ectoparasitoid Dinarmus basalis Rond. (Hymenoptera : Pteromalidae) were determined on its host Callosobruchus maculatus F. (Coleoptera : Bruchidae). The resulting data were used to determine the longevity and reproductive potential of the species, by establishing its life and fertility tables. In the presence of 16 hosts renewed every 48 hours, D. basalis females had a mean longevity of 32.6 ± 1.6 days. They laid an average of 136.5 ± 55.2 eggs, parasitised 132.7 ± 53.9 hosts, and produced 111.8 ± 3 offspring, consisting of 58.3 % of males and 41.7 for females. The total mean development time was 14.0 ± 0.7 days for females and 11.8 ± 0.8 days for males. The net reproductive rate R o was 38.9 females progeny per adult female, and the intrinsic rate of population increase (r m ) 0.16 per day. The generation time (G) was 22.5 days and the doubling time (DT) 4.3 days. These parameters permitted to determine the reproductive potential of D. basalis as a biological control agent against the bruchid in West Africa. RÉSUMÉ La fécondité et la production de descendants de l'ectoparasitoïde solitaire Dinarmus basalis Rond. (Hymenoptera : Pteromalidae) ont été déterminées en fonction de l'âge des femelles de cette espèce. L'hôte utilisé était la bruche Callosobruchus maculatus F. (Coleoptera : Bruchidae). Les données recueillies ont permis d'évaluer la longévité et le potentiel reproducteur de D. basalis grâce à la construction de tables de survie et de fertilité. Les femelles de D. basalis vivent en moyenne 32,6 ± 1,6 jours lorsqu'elles sont mises en présence de 16 hôtes renouvelés toutes les 48 heures. Elles pondent en moyenne 136,5 ± 55,2 oeufs, parasitent 132,7 ± 53,9 hôtes et produisent 111,8 ± 32,4 descendants constitués de 58,3 % de mâles et de 41,7 % de femelles. La durée moyenne de développement des femelles est de 14,0 ± 0,7 jours et celle des mâles est de 11,8 ± 0,8 jours. Le taux net de reproduction R o est égal à 38,9 femelles par femelle et le taux intrinsèque d'accroissement naturel (r m ) est de 0,16 par jour. Le temps de génération (G) est de 22,5 jours et le temps de doublement de l'effectif de la population est de 4,3 jours. Tous ces paramètres ont permis d'apprécier les potentialités de D. basalis comme agent de contrôle biologique des populations de C. maculatus en Afrique de l'Ouest

    Essai de conservation des graines de niebe avec les huiles essentielles extraiteds de Cymbopogon schoenanthus L. Spreng. (Poaceae) et de Ocimum basilicum L. (Lamiaceae)

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    No Abstract. J. Rech. Sci. Univ. Lomé (Togo) Vol. 7(1) (Serie A) 2005: pp. 93-10

    Les mouches des fruits (Diptera : Tephritidae) au Togo: inventaire, prévalence et dynamique des populations dans la zone urbaine de Lomé

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    Les mouches des fruits (Diptera : Tephritidae) font partie de nos jours des principales contraintes à la production et à la commercialisation des fruits en Afrique Sub-Saharienne. La connaissance de la diversité spécifique de ces déprédateurs ainsi que la dynamique de leur population dans n’importe quel écosystème constitue des préalables pour la mise en place de programmes de contrôle de ces ravageurs. C’est dans ce contexte qu’un inventaire, une estimation de la prévalence et un suivi de la dynamique des populations de Tephritidae inféodés aux fruits ont été effectués pendant une année dans la zone urbaine de Lomé (Togo). Quatre pièges et trois types de paraphéromones ont été utilisés pour la capture des mouches. Trois espèces de Tephritidae ont été recensées : Bactrocera invadens Drew, Tsuruta and White, Bactrocera cucurbitae (Coquillett) et Dacus bivittatus (Bigot). Deux espèces (B. invadens et B. cucurbitae) sont invasives et une espèce (D. bivittatus) est indigène. Parmi les espèces invasives, B. invadens est d’une importance économique considérable car sa prévalence moyenne (23,68 mouches/piège/jour) est supérieure à celle des autres espèces. La période de pullulation de B. invadens coïncide avec celle de la maturation des mangues, sa principale plante-hôte. La préservation de la qualité des mangues doit passer par la mise en place de programmes appropriés de gestion des populations de Tephritidae au Togo.© 2009 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés : Mangue, piège, Bactrocera invadens, importance économique
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