55 research outputs found

    Development of design procedure using NASTRAN structural analysis package

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    Abstract not availabl

    Etude d'une cohorte de malades porteurs du virus de l'hépatite C et particularités du génotype 4

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    Les génotypes 1,2 et 3 sont responsables de la majorité des hépatites C dans les pays développés. Les génotype 4 (HVC4) est apparu il y a 350 ans en Afrique où il s'est lontemps diversifié en endémie locale avec une prévalence évaluée à plus de 40%. Ce génotype est de plus en plus décrit dans les études européennes. A ce jour, aucune étude n'a étudiée spécifiquement le génotype 4 en comparaison avec les autres génotypes. Le but de notre travail était de décrire l'évolution des génotypes du virus de l'hépatite C (VHC) afin de vérifier si les modifications épidémiologiques de l'HVC4 étaient réelles. Puis de comparer les malades infectés par l'HVC4 à ceux infectés par les autres génotypes du VHC. Un total 1750 malades a été pris en charge dont 102 infectés par le génotype 4. Le nombre de malades contaminés par l'HVC4 augmentait de 1990 à 2005 de 4,7 à 7,2% tandis que les autres génotypes étaient en décroissance diagnostic depuis la fin des années 90. L'HC4 était associée significativement à des malades de sexe masculin, d'âge jeune, contaminés par toxicomanie. La co-infection par le VIH était très importante. Au niveau histologique, les scores de fibrose et d'activité étaient faibles. En analyse multivariée, l'HCV4 infectait des malades plus jeunes que les génotypes 2 et 4. La transfusion sanguine n'était pas liée à l'HVC4. Les malades infectés par le génotype 4 avaient 3 à 9 fois plus de chance d'être co-infectés par le VIH en comparaison des autres génotypes. Conclusion : l'augmentation du nombre de malade infecté par le génotype 4 est réelle, sans biais de sélection de la population. Le grade de fibrose semble peu élevé. Le nombre important de malades co-infectés par le VIH est préoccupant.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prévalence des infections virales par le virus de l hépatite B, le virus de l hépatite C et le virus de l immunodéficience humaine en milieu carcéral (une étude départementale Traitement de l hépatite C à la maison d arrêt de Rouen)

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    Compte tenu de profils sociodémographiques défavorables et de l existence de pratiques à risques, la prévalence des infections virales en milieu carcéral est estimée élevée alors que l accès à la prévention et à des soins de qualité reste limité. Les données en matière de dépistage, prévalence et traitement sont insuffisantes, en milieu carcéral. Objectifs : Les objectifs de ce travail étaient d estimer la prévalence des infections par le VHB, le VHC et le VIH, de connaître les caractéristiques sociodémographiques des personnes incarcérées, d étudier les mesures de réduction de risques disponibles dans les établissements pénitentiaires de notre département, et de déterminer la faisabilité et l efficacité d un traitement antiviral C, au cours d une incarcération. Méthodes : Notre travail s est déroulé en deux parties, l une rétrospective entre juin et décembre 2012 avec l analyse des sérologies réalisées pour les entrants au cours de cette période et l autre prospective, avec caractérisation de la population carcérale entrante entre janvier et juin 2013, et analyse du bilan biologique de dépistage. L efficacité d un traitement antiviral C a été évaluée à partir des hépatites virales C traitées entre 2009 et 2012, à la maison d arrêt de Rouen. Résultats : Les établissements pénitentiaires de Seine Maritime ont accueillis 1554 entrants, au cours de ces deux périodes. Les prévalences des hépatites B et C, respectivement de 1,6% et 2,2% étaient supérieures à celles rencontrées en population générale. Aucun patient ne présentait d infection par le VIH. La couverture vaccinale contre l hépatite B était de 47%. La pratique du tatouage était plus élevée en population carcérale (27%). L usage de produits stupéfiants concernait plus d un tiers de la population carcérale et a été associé à un sur-risque d infections par le VHC. L instauration d une thérapie antivirale C a été à l origine d une augmentation du taux d éradication du VHC (50% de RVS après bithérapie). Conclusion : La population carcérale représente une population à risque élevé de maladies infectieuses, justifiant le renforcement des stratégies de réduction de risques et de prise en charge thérapeutique pendant et après le séjour carcéral.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Aspect clinique et évaluatiion du traitement de l'hépatite C au sein d'une cohorte de patients co-infectés VIH-VHC

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    La co-infection VIH-VHC est fréquente du fait de modes de contamination communs. La progression de l'hépatite C et de la fibrose hépatique est accélérée chez ces patients. Les complications hépatiques sont passées au premier plan depuis l'apparition de thérapeutiques efficaces contre le VIH. Le but de cette étude était de décrire une cohorte de patients co-infectés VIH-VHC et d'analyser les facteurs de fibrose, les traitements anti VHC, les facteurs de réponse virologique soutenue (RVS) et les causes de décès. Il s'agit d'une étude rétrospective incluant 135 patients co-infectés VIH-VHC suivis au CHU de Rouen entre juin 2005 et juin 2008. La co-infection VIH-VHC représentait 12,6% des patients infectés par le VIH. Les patients étaient en majorité des hommes (74,1%), d'âge moyen (45,9 ans). Le mode de contamination le plus fréquent était l'usage de drogues intra-veineux (59,3%). Le génotype 1 était le plus fréquent (48%). Une évaluation de la fibrose a été réalisée chez 67,4% des patients et 15% des malades ont présenté une cirrhose au cours du suivi. Les facteurs favorisant la fibrose étaient les génotypes 2 et 3, une activité inflammatoire importante et l'âge. Un traitement a été réalisé chez 71% des patients virémiques pour le VHC. Le traitement a été arrêté prématurément chez 28,9% des patients. L'arrêt était décidé par le médecin dans 83,7% des cas. Le taux de RVS était de 20,1%. Les facteurs favorisant la RVS étaient l'absence de stéatose, les génotypes 2 et 3, la survenue d'une réponse virologique précoce. Seize patients sont décédés. La principale cause de décès était l'insuffisance hépatique (25%). II est nécessaire d'avoir des outils fiables, reproductibles et non invasifs de mesure de la fibrose. La présence d'une fibrose hépatique expose les patients au risque de cirrhose et à ses complications. L'insuffisance hépatique est la première cause de décès dans notre cohorte. Il est donc essentiel de prendre en charge précocement l'hépatite C chez les patients co-infectés.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Misidentification of recombinant hepatitis C virus leading to treatment failure with direct acting antivirals

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    International audienceThe use of new Direct Acting Antivirals, specific of HCV, has greatly improved the HCV treatment. Most of the DAA are specific of HCV genotypes. Genotyping methods may target different regions of the HCV genome, though only the whole genome sequencing could confirm the correct genotype. The present study describes the virological investigation of a treatment failure due to the false identification of an unusual 2k/1b recombinant HCV form. It describes the sequencing methods, and the similarity analysis of the sequences to different genotype query sequences, to identify the recombination breakpoint

    Adjuvant I-131 Lipiodol After Resection or Radiofrequency Ablation for Hepatocellular Carcinoma.

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    International audienceHigh rates of recurrence have been observed after curative treatment for hepatocellular carcinoma (HCC). The main aim of this study was to establish the influence of adjuvant transarterial radioembolization-based I-131 lipiodol on survival and recurrence
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