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    Axillary lymph node dissection in breast cancer: an evolving question?

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    Axillary lymph node dissection (ALND) is performed for staging purposes. Sentinel lymph node biopsy may decrease the cost and morbidity of ALND. Are there patients that the procedure is not indicated avoiding cost and morbidity? We retrospectively studied the incidence of lymph node metastasis in 423 patients with T1 breast cancer. Thirty-one T1a, 146 T1b, and 246 T1c tumors were seen. The mean age was 61 years. Ten per cent were premenopausal, and 84 per cent were postmenopausal. Tumor size averaged 1.29 cm. Eighty-one per cent of the tumors were node negative and 19 per cent were node positive. One T1a patient (3 per cent) had an axillary metastasis, 19 T1b patients (13%), and 61 T1c patients (25%) were node positive, respectively. Seventy-three per cent were ER positive. Thirty-three patients (8%) died from cancer. Eighty-seven per cent received surgery with axillary lymph node dissection (ALND), and three per cent had surgery without ALND. Younger age, increased tumor size, premenopausal status, and ER negativity affected node positivity rates (P \u3c 0.05). Death from breast cancer was more common among node-positive patients (P \u3c 0.05). No difference was found regarding the performance of ALND and survival (P \u3e 0.05). We feel that ALND can be safely omitted in T1a to reduce the morbidity and the expense of breast cancer treatment. In T1b and T1c tumors, the use of ALND is necessary, but morbidity and cost can be reduced by the use of sentinel lymph node biopsy

    People-First Tourism

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    Facteurs associés à l’infection par le SARS-CoV2 et parcours de soins des populations précaires

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    International audienceIntroductionLes personnes sans domicile, en logement social, sont particulièrement à risque d’infection à COVID-19 du fait d’habitats souvent collectifs, de leur dépendance au système d’aide notamment alimentaire et parfois de difficultés à appliquer les gestes barrières (manque de masques, de douches individuelles…). L’objectif principal de cette étude vise à identifier les facteurs associés à l’infection au SARS-CoV2 au sein des populations vivant en « logement social ». L’objectif secondaire est de décrire leurs parcours de soins en contexte épidémique.Matériels et méthodesÉtude prospective multicentrique cas/témoin réalisée entre mars 2020 et mai 2020. Les critères d’inclusion sont d’être hébergé dans une structure de logement social, d’avoir une infection à COVID-19 confirmée (test PCR rhinopharyngée positif) et ou suspectée (symptomatologie évocatrice sans test PCR réalisé) et être pris en charge par une IDE de ces structures d’accueil (pool santé). Les cas témoins sont les usagers présentant un besoin en santé autre que COVID-19. Une analyse univariée puis multivariée est réalisée afin d’identifier les facteurs associés à l’infection à COVID-19. Des courbes de Kaplan–Meier avec test de log-rank sont réalisées pour analyser les délais de prise en charge.RésultatsSur la période d’étude, 29 cas confirmés ou suspects sont retrouvés. L’âge moyen est de 19,7 ans (sex-ratio H/F à 0,2) vs 22,6 ans pour les 35 témoins (p < 0,05). La majeure partie des participants est originaire d’Afrique de l’Ouest et du Moyen Orient (53,1 % et 18,8 % respectivement). Les facteurs associés à l’infection COVID-19 en analyse multivariée sont : le fait de vivre en collocation (OR = 23,5 [3,18–496,79]), ne pas avoir respecter la distanciation sociale (OR = 8,53 [1,50–71,36]) et d’avoir une hygiène corporelle insuffisante (OR = 1,99 × 108 [3,1 × 10−76 - ∞]). Trois participants ont décompensés une pathologie chronique. Un stress psychosocial a été retrouvé chez un tiers des participants et on note plus d’angoisse ressentie chez les cas par rapport aux témoins (p < 0,05). Le délai de prise en charge médicale est de 5,7 jours chez les cas vs 20 jours chez les témoins (p < 0,05). Plus d’un tiers (35,0 %) des cas n’étaient pas compliants à l’isolement et seuls 2 cas ont bénéficiés d’une adaptation du type d’hébergement. Un nombre important (n = 9/23) étaient dans le déni d’être porteur d’une infection à COVID-19.ConclusionCette étude rappelle l’importance de prendre en compte les populations vulnérables en étant particulièrement attentif aux mesures d’hébergement qui doivent être individualisées. Par ailleurs, l’impact psychosocial de l’épidémie apparaît comme fréquent. Enfin, la prise en charge de l’épidémie doit être pensée avec chaque communauté face aux nombreux dénis de l’infection et du fait du manque de compliance face à une nécessaire distanciation sociale

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