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    Les Fractures De La Patella Chez L’adulte

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    Objectives: to determine the epidemiological aspects, the different techniques of surgical fixation of the patella fractures and the results. Patients and methods: this was a retrospective study from January 1, 2013 to December 31, 2017 and included the records of patients aged 15 years and older surgically treated for a patella fracture in our center. Results: The work involved 36 patients including 28 men (77.8%) and 8 women (22.2%) with a mean age of 35.9 years. High way trauma were the first cause of these fractures. Fractures were open in 44.4% of cases. Type II according to Ricard and Moulay classification was the most represented with 58.3% of cases. The majority of the patients, 80.5%, were treated by rigging. Five (5) cases of hematoma, one (1) postoperative infection, and three (3) cases of knee stiffness complicated the short- and medium-term follow-up. With an average follow-up of 2 years 6 months, radiologically, normal consolidation was achieved in 86.1% of cases. Two (2) cases of delayed consolidation and three (3) cases of nonunion have been noted. Three (3) cases of patellofemoral osteoarthritis appeared at two years. From the functional point of view, according to the Bosman score, 27.8% were excellent, 63.9% were good, 8.3% were bad, and the cable rigging seemed to give excellent and good results. Conclusion: the treatment of transverse fractures of the patella must be exclusively surgical. Guying is an osteosynthesis technique of choice. Nevertheless complications including knee stiffness, non-union and patellofemoral osteoarthritis are not uncommo

    Cas d’un traumatisme cranio-encephalique grave a evolution insidieuse: limite de la classification de Master I

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    Les traumatismes crâniens dans le cadre de polytraumatisme sont fréquents. La constitution d’hématome extradural en fait la gravité. Selon la topographie de l’hématome, l’expression clinique de l’hématome peur être silencieuse et l’évolution insidieuse.La classification de Master est un outil de stadification orientant vers l’exploration par TDM dès l’admission de ces patients présentant des traumatismes crâniens. Toutefois, l’utilisation stricte de cette classification dans le management de patients non éligibles à la TDM dans l’exploration initiale, peut parfois conduire à la méconnaissance de l’hématome extradural surtout frontal.Dans ce cas clinique, nous présentons un patient victime de traumatisme crânien grave à haute vélocité qui illustre cette limite de la classification de Master I.Mots clés: Polytraumatisme, hématome extradural frontal, Master IEnglish Title: Case of severe head injury with insidious evolution: limit of Master I classificationEnglish AbstractHead trauma in polytrauma is common. The constitution of extradural hematoma makes gravity of it. According to the topography of the hematoma, its clinical expression can be silent and the evolution insidious.The Master classification is a staging tool for CT scanning upon admission of thesepatients with head trauma. However, the strict use of this classification in the management of patients not eligible for CT in the initial exploration, can sometimes lead to the misunderstanding of the extradural hematoma especially frontal.In this clinical case, we present a patient with severe high velocity head injury that illustrates this limitation of the Master I classification.Keywords: Polytrauma, frontal extradural hematoma, Master

    Activites neurochirurgicales a Mopti (Mali) ans le cadre des actions civilo-militaires au cours d’une mission de maintien de la paix.

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    Introduction : Le Togo à travers les Forces Armées Togolaises, a déployé au Mali, un hôpital niveau 2 dans le cadre du maintien de la paix. Sa mission, est de soutenir médicalement les troupes et le personnel civil des institutions engagées sur le terrain. En plus de cette activité, le personnel de l’hôpital, apportait un soutien médical à la population locale dans le cadre des actions civilo-militaires. Ainsi, nous avons pris en charge des patients neurochirurgicaux à l’Hôpital Somino Dolo de Mopti que nous rapportons, tout en relevant les problèmes médico-légaux de cette assistance.Matériel et méthode : De juillet 2013 à Avril 2014, nous avons pris en charge 28 patients souffrant d’une pathologie neurochirurgicale à l’hôpital Somino Dolo de Mopti. Ont été exclues de cette série, tous les militaires engagés où le personnel onusien.Résultats : Vingt-huit patients ont été admis pendant cette période. L’âge moyen des patients était de 26, 4 ans (1 mois et 65 ans). On notait une prédominance masculine (89,3%). Les urgences traumatologiques dominaient les pathologies (57,1%). Les accidents de circulation (87,5%) constituaient la principale étiologie. Nous avons opérés 15 patients (53,6%) et en référé à Bamako 6 (21,4%).Conclusion : Cette expérience illustre bien la bonne collaboration entre les soldats de la paix et les populations locales dont les rapports peuvent parfois être conflictuels. Les instances internationales devraient définir un cadre légal de ces types d’activités afin de mieux les encourager.Mots clés : Neurochirurgie, Mopti, Action civilo-militaire
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