119 research outputs found

    Neoadjuvant chemotherapy or primary surgery for stage III/IV ovarian cancer: contribution of diagnostic laparoscopy

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>The aims of this retrospective study were to evaluate laparoscopic triage of patients with advanced ovarian cancer towards primary surgery or neoadjuvant chemotherapy, and to analyze outcome according to the treatment.</p> <p>Methods</p> <p>Between January 2001 and December 2006, 55 patients with stage III – IV ovarian cancer underwent diagnostic laparoscopy. Primary surgery was performed when complete cytoreduction was considered feasible, while the other patients received neoadjuvant chemotherapy (platinum-based combination with taxanes) and interval surgery. All the patients received adjuvant chemotherapy.</p> <p>Results</p> <p>Patients treated with neoadjuvant chemotherapy (n = 29) had a higher mean body mass index (P = 0.048), higher serum CA 125 levels (P = 0.026), and more metastases (P = 0.045) than patients treated with primary surgery (n = 26). In patients treated with primary surgery, complete cytoreduction and a residual tumour size ≤ 2 cm were obtained in respectively 54% and 77% of cases. Complete cytoreduction was achieved in respectively 100% and 33% of cases when primary surgery was performed by an oncologic gynaecologist and by a non-oncologic gynaecologist (P = 0.002). Interval surgery yielded complete cytoreduction and a residual tumour size ≤ 2 cm in respectively 73% and 85% of cases. With a median follow-up of 24 months (range 7 – 78 months), the survival rates after primary surgery and interval surgery were 61% and 66% respectively.</p> <p>Conclusion</p> <p>Diagnostic laparoscopy is useful for identifying patients with stage III/IV ovarian cancer who qualify for primary cytoreduction. Surgeon experience was a determining factor for the success of complete cytoreduction.</p

    Does the use of the 2009 FIGO classification of endometrial cancer impact on indications of the sentinel node biopsy?

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Lymphadenectomy is debated in early stages endometrial cancer. Moreover, a new FIGO classification of endometrial cancer, merging stages IA and IB has been recently published. Therefore, the aims of the present study was to evaluate the relevance of the sentinel node (SN) procedure in women with endometrial cancer and to discuss whether the use of the 2009 FIGO classification could modify the indications for SN procedure.</p> <p>Methods</p> <p>Eighty-five patients with endometrial cancer underwent the SN procedure followed by pelvic lymphadenectomy. SNs were detected with a dual or single labelling method in 74 and 11 cases, respectively. All SNs were analysed by both H&E staining and immunohistochemistry. Presumed stage before surgery was assessed for all patients based on MR imaging features using the 1988 FIGO classification and the 2009 FIGO classification.</p> <p>Results</p> <p>An SN was detected in 88.2% of cases (75/85 women). Among the fourteen patients with lymph node metastases one-half were detected by serial sectioning and immunohistochemical analysis. There were no false negative case. Using the 1988 FIGO classification and the 2009 FIGO classification, the correlation between preoperative MRI staging and final histology was moderate with Kappa = 0.24 and Kappa = 0.45, respectively. None of the patients with grade 1 endometrioid carcinoma on biopsy and IA 2009 FIGO stage on MR imaging exhibited positive SN. In patients with grade 2-3 endometrioid carcinoma and stage IA on MR imaging, the rate of positive SN reached 16.6% with an incidence of micrometastases of 50%.</p> <p>Conclusions</p> <p>The present study suggests that sentinel node biopsy is an adequate technique to evaluate lymph node status. The use of the 2009 FIGO classification increases the accuracy of MR imaging to stage patients with early stages of endometrial cancer and contributes to clarify the indication of SN biopsy according to tumour grade and histological type.</p

    Etude de l'expression des matrix-métalloprotéases (MMP-2, -7 et -9), des inhibiteurs tissulaires des métalloprotéases (TIMP-1 et -2), des facteurs apoptotiques (P53 et Bcl-2) et des recepteurs hormonaux (RE et RP) dans les cancers et les hyperplasies de l'endomètre par comparaison à l'endomètre sain (étude de la ploïdie et recherche des anomalies cytogénétiques par FISH)

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    Le cancer de l'endomètre est le cancer gynécologique le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes en Europe, aux USA et au Japon. Les mécanismes de carcinogenèse endométriale sont encore mal appréhendés et les facteurs histopronostiques classiques ne permettent pas toujours de prédire le risque évolutif. Dans ce travail, l étude de l expression des métalloprotéases (MMP-2,-7 et -9) et des inhibiteurs tissulaires des métalloprotéases (TIMP-1 et -2) suggère l implication de ce système enzymatique dans le processus de carcinogenèse endométriale avec un profil d expression différent dans l endomètre normal, l hyperplasie et le cancer de l endomètre. Nous avons par ailleurs pu montrer que l analyse de l expression de MMP-2 (gélatinase A) et de TIMP-2 permettait de définir un sous-groupe de cancer de l endomètre qui était particulièrement à risque d extension locale et à distance. Nos résultats ont également permis de confirmer le rôle prépondérant de la perte d hétérozygotie (LOH) de TP53 dans la genèse des cancers de l endomètre de type II et la survenue plus tardive de cet évènement dans les cancers de l endomètre de type I (hormonodépendants). En terme de pronostic, l analyse du gène TP53 par FISH (hybridation par fluorescence in situ) n est pas supérieure à celle obtenue par IHC (immunohistochimie). Enfin, l étude des corrélations histopronostiques réalisée dans ce travail suggère que l évaluation conjointe de la ploïdie, de MMP-2 et TIMP-2, de p53, du Ki67 et des récepteurs hormonaux (E et P) sur les prélèvements tissulaires pourrait mieux définir une population à haut risque évolutif pouvant bénéficier de thérapeutique ciblée.PARIS-BIUSJ-Thèses (751052125) / SudocPARIS-BIUSJ-Physique recherche (751052113) / SudocSudocFranceF

    Expression des métalloprotéinases et de leurs inhibiteurs, de la protéine c-kit, des protéines de l apoptose et des protéines HER1 et 2 dans l endométriose

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    Introduction : L endométriose est définie par la présence, hors de l utérus, de tissu endométrial constitué de glandes et de chorion cytogène. Les métalloproteinases matricielles (MMPs) et leurs inhibiteurs endogènes (TIMPs), les protéines de l apoptose, le récepteur c-kit et des protéines de la famille à récepteurs à l EGF ont un rôle dans la progression tumorale mais leur rôle dans l endométriose a été peu ou pas étudié. Matériel et méthodes : L objectif de ces travaux était d étudier en immunohistochimie l expression de MMP-2, MMP-3, MMP-11, TIMP-1, TIMP-2, c-kit, des protéines de l apoptose, HER1 et HER2 dans l endomètre de patients atteintes ou non d endométriose et dans les lésions d endométriose péritonéale, ovarienne et colo-rectale. HER2 a de plus été étudié par FISH dans les lésions d endométriose rectale et dans des prélèvements de carcinome endométrioïde de l ovaire. De plus, des techniques de microdissection et de CGH (Hybridation Génomique Comparative) ont été effectuées pour rechercher des anomalies cytogénétiques dans les lésions d endométriose. Résultats : Dans l endomètre des patientes atteintes d endométriose, comparé à l endomètre de patientes non endométriosiques, une diminution de l expression de MMP-2 et une perte complète de l expression de MMP-3 ont été observées. L expression de MMP-2, -3, -11, TIMP-1 et 2 était la même dans l endomètre de patientes endométriosiques et dans les lésions d endométriose péritonéale. L expression de MMP-2, -3 et 11 était plus élevée dans les lésions colo-rectales que dans les lésions ovariennes et péritonéales. Inversement, l expression de TIMP-2 était plus faible dans les lésions colo-rectales et ovariennes que dans les lésions péritonéales. L expression de p53 et p21 était plus importante dans les endométriomes que dans l endométriose péritonéale et l endométriose colorectale. L expression de bcl-2 était plus faible dans les endométriomes que dans l endométriose péritonéale et l endométriose colorectale. L'expression de c-kit était plus élevée dans les lésions colo-rectales que dans les lésions péritonéales et ovariennes. Il n a pas été retrouvé d expression d HER1 et 2 dans les différentes lésions d endométriose et il n y avait pas de surexpression d HER2 dans les lésions d endométriose colorectales et dans les carcinomes endométrioïdes de l ovaire. Conclusions : Ces résultats suggèrent une possible implication de MMP-2, 3 et TIMP-2, du c-kit et des protéines de l apoptose dans la pathogénie de l endométriosePARIS-BIUSJ-Thèses (751052125) / SudocPARIS-BIUSJ-Physique recherche (751052113) / SudocSudocFranceF

    Fertilité après traitement d'une tumeur à malignité atténuée de l'ovaire

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    ANGERS-BU Médecine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Colorectal endometriosis and fertility

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    International audienceObjectiveThe goal of this review was to assess the impact of colorectal endometriosis on spontaneous fertility and the potential benefit of Medically Assisted Reproduction (MAR) (in vitro fertilization and intrauterine insemination) and surgery on fertility outcomes.Study design: MEDLINE search for articles on fertility in women with DIE published between 1990 and December 2015 using the following terms: “deep endometriosis”, “deep infiltrating endometriosis”, “bowel endometriosis”, “colorectal endometriosis”, “fertility”, “infertility”, “IVF-ICSI”, “Assisted Reproductive Techniques (ART)”, and “MAR”.ResultsSpontaneous pregnancy rate (PR) in patients undergoing resection of DIE but leaving in situ colorectal endometriosis was 26.5% (95% CI = 14-39). PR after MAR was 27.4% (95% CI = 19-35) and the overall PR was 37.9% (95% CI = 29-37). After colorectal surgery, among the 855 patients with and without proved infertility, the spontaneous PR was 31.4% (95% CI = 28-34) without difference between the groups. PR after MAR was 19.8% (95% CI = 17-22). PR after MAR in patients with and without proved infertility was 21.4% (95% CI = 18-25) and 15.5% (95% CI = 11-20), respectively. The overall PR after colorectal surgery was 51.1% (95% CI = 48-54).ConclusionOur review supports a potential benefit of surgery on fertility outcomes for women with colorectal endometriosis. Further studies are required to determine whether surgical management should be first-intention or restricted to failure of MAR
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