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    Dendara métropole

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    Le chantier « Dendara métropole » vise à étudier les divers aspects du temple d’Hathor dans son environnement, en portant les investigations sur l’étude architecturale des monuments ainsi que sur l’exploration archéologique des quartiers d’habitations et des cimetières. Outre la poursuite des travaux sur l’architecture monumentale, sur les secteurs associés aux fondations de Montouhotep II et sur la nécropole de l’Ancien Empire, la campagne 2019 a ouvert de nouvelles perspectives de recherche..

    La musique égyptienne : un patrimoine plusieurs fois millénaires ?

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    IntroducciĂł

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    Notices : Illustration du Roman de la momie, Coll. Part. ; Planche de la Description de l’Égypte, inv. 1716 ; Essais du « littérateur musicien » Guillaume André Villoteau, inv. 1716 ; « Bruce Harpers. Tombs of the Kings. Thebes. Printed in colours by Day and Haghe », inv. 781 ; Harpe d’Imenmès, E 116 A (= N 1440 A) ; Tambour à deux peaux, N 1442 ; Talatate : musiciens étrangers à la cour d’Akhénaton, inv. 1991.240.13 ; Harpe arquée portative couronnée d’une tête sculptée, inv. 43.2.1 ; Hymne à Hathor de la stèle du roi Ouahânkh Antef, inv. 13.182.3 ; Stèle d’Houy jouant de la harpe pour Osiris, E 4865 (= C 220) ; Reproduction d’une scène de musique de la tombe de Djeserkarêseneb, GAE 0157 ; Stèle de Horoudja, chef des chanteurs d’Amon-Rê, AF 11682 ; Harpe, N 1440 B ; Eugène Lacoste : Trois dessins pour les costumes de l’opéra Aïda, D216-31 (nos 36, 44, 56) / Trompette de parade à pistons pour l’opéra Aïda de Verdi, E 974.11.3 / Support d’autel pris pour une trompette, N 909 + AF 861 ; Harpe angulaire, N 1441 / Fac-similé de la harpe angulaire égyptienne conservée au musée du Louvre, Philharmonie de Paris ; Relief : Hathor jouant du sistre, E 14327 (= B 77) / Collier-menit, inv. 11.215.450 ; Étui pour hautbois d’une musicienne de Mout, (= N 1446 étui et N 1447 A et B hautbois) / Claquoir au nom d’une chanteuse d’Amon, N 1475 / Sistre d’Henouttaoui, chanteuse d’Amon-Rê et d’Isis, E 11201 ; Talatate : scène de liesse, inv. 1985.328.11 / Talatate : musicien militaire, inv. 1991.240.14

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    La musique pharaonique, un patrimoine plurimillénaire

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    IntroducciĂł

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    « Un bruit de chant, de musique, de danse et d’acclamation (p. Westcar 12,1-12,2) »

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    International audienceThe starting point of this article is a passage from the papyrus Westcar papyrus which relatesthe birth of the kings of the 5th Dynasty: three crowns left by the goddesses, who came to helpthe parturient woman, make “a sound (kheru) of song (hesy), music (shema), dance (khebet)and ovation (ouag) (in brief), all kind of things done for a king”. Firstly, a lexicographical analysis of hesy, shemâ, khebet and ouag highlights the strong polysemy of these words andshows that dance is not separated from music nor the instrumental practice disjoined fromsinging. Secondly, a study of kheru provides a better understanding of the boundaries betweennoise, music and dance in the ancient Egyptian world. It emerges that this term encompasses,without distinction, all sound phenomena, whether they are considered noisy or pleasant tothe ear, associated to dance or to an emotion. ereby, noise and music do not oppose eachother in the way of thinking sound in Ancient Egypt and the opposite of kheru is rather to befound in the concept of silence. Finally, it’s all about understanding why the four sounds ofthe papyrus Westcar are perceived as a sign of a royal presence.Le point de départ de cet article est un passage du papyrus Westcar qui relate la naissancedes rois de la Ve dynastie : trois diadèmes laissés par les déesses, venus aider la parturiente,émettent « un bruit (kherou) de chant (hesy), de musique (shemâ), de danse (khebet) et d’acclamations(ouag) (bref), toutes sortes de choses faites pour un roi ». En premier lieu, une analyselexicographique de hesy, shemâ, khebet et ouag met en lumière la forte polysémie de ces mots etmontre que la danse n’est pas séparée de la musique ni la pratique instrumentale disjointe duchant. Puis une étude de kherou permet de mieux appréhender les frontières entre bruit, musiqueet danse dans le monde égyptien ancien. Il en ressort que ce terme englobe, sans distinction,tous les phénomènes sonores, qu’ils soient considérés comme bruyants ou plaisants à l’oreille,liés à la danse ou à une émotion. Ainsi le bruit et la musique ne s’opposent pas l’un à l’autredans la manière de penser le son dans l’Égypte ancienne et le contraire de kherou est plutôt àrechercher dans le silence. Enfin, il s’agit de comprendre pour quelles raisons les quatre sonsdu papyrus Westcar sont perçus comme le signe annonciateur d’une présence royale

    Une nouvelle interprétation du titre ḏȝḏȝwy dans la tombe de Ramsès III

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    International audienceRevue d’égyptologi
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