92 research outputs found

    Montesquieu, l’État et la religion

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    Née d’une initiative conjointe de la Société Montesquieu, de la Nouvelle Université Bulgare et de l’Institut français de Sofia, avec encore le soutien de l’Istituto Italiano per gli Studi Filosofici de Naples, la rencontre qui a eu lieu à Sofia en octobre 2005 s’est voulue davantage qu’un simple colloque.Traitant d’un sujet brûlant et toujours d’actualité, elle a cherché à prendre appui sur l’oeuvre du précurseur en la matière que fut Montesquieu pour tenter de faire le point sur la réalité d..

    Montesquieu, l’État et la religion

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    Née d’une initiative conjointe de la Société Montesquieu, de la Nouvelle Université Bulgare et de l’Institut français de Sofia, avec encore le soutien de l’Istituto Italiano per gli Studi Filosofici de Naples, la rencontre qui a eu lieu à Sofia en octobre 2005 s’est voulue davantage qu’un simple colloque.Traitant d’un sujet brûlant et toujours d’actualité, elle a cherché à prendre appui sur l’oeuvre du précurseur en la matière que fut Montesquieu pour tenter de faire le point sur la réalité d..

    Laurence L. Bongie, La Bastille des pauvres diables. L’histoire lamentable de Charles de Julie, Presses Universitaires de Paris-Sorbonne, 2010,445 p. ISBN : 978-2-251-43026-3.

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    Charles « de » Julie, la particule étant de fortune, est né bâtard en 1725. Adopté sans formalité par une bonne bourgeoise qui sera mal payée de ses soins, il bénéficie d’une bonne éducation, ce qui ne l’empêche pas d’entamer fort tôt une existence aventureuse. Entré dans la compagnie prestigieuse des Gendarmes écossais (1744), il en est promptement chassé pour « friponnerie ». Il sert alors dans les Volontaires bretons, où il ne restera guère. On le retrouve vite au For-l’Évêque, convaincu d..

    D'orient en Occident, la voix / voie des proverbes: Autour du manuscrit Supplément turc 1200 d'Antoine Galland

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    International audienceIl n’est guère besoin de vanter l’apport d’Antoine Galland à la tradition des échanges entre Orient et Occident avant la Révolution. Sa traduction des Mille et une nuits – roman qu’il était le premier à faire connaître au public européen – n’a cessé d’être rééditée du début du XVIIIe siècle à nos jours. Sur cette réputation universelle et ses nombreux travaux, il fut tacitement admis qu’il était un modèle d’orientaliste et à ce titre maîtrisait parfaitement arabe, turc et persan. Nous avons voulu le vérifier à partir d’un curieux manuscrit conservé à la Bibliothèque Nationale de France, et à ce jour jamais exploité. Enregistré sous le titre Supplément turc 1200, il constitue la première étape d’une anthologie de proverbes arabes, turcs et quelques-uns en persan, qui n’a jamais vu le jour. La double originalité de ce manuscrit, et qui en fait la valeur unique pour les spécialistes, c’est d’abord qu’il propose à chaque fois un proverbe arabe, turc ou persan, et sa traduction par Galland au-dessous. Ensuite qu’il s’agit d’un premier jet, d’une étape intermédiaire, propice à une étude génétique.Il permet donc de tester les aptitudes linguistiques réelles du traducteur des fameuses Mille et une nuits, ce que de nombreux travaux antérieurs n’avaient pas réussi à faire. Également de suivre sur le vif un traducteur au travail.Chemin faisant, l’enquête s’est élargie. La tentative de Galland a été replacée dans une tradition qui remonte à l’époque humaniste. Par ailleurs, elle permet de mieux comprendre le désir de cet érudit, très neuf pour son temps, d’instaurer un dialogue entre deux univers culturels qui se rejetaient souvent l’un l’autre parce qu’ils ne se connaissaient pas ou très mal

    Ulla Kölving et Jeanne Carriat : Inventaire de la Correspondance littéraire de Grimm et Meister, 1984

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    Duranton Henri. Ulla Kölving et Jeanne Carriat : Inventaire de la Correspondance littéraire de Grimm et Meister, 1984. In: Dix-huitième Siècle, n°18, 1986. Littératures françaises. pp. 452-453

    Éditer la littérature médiévale au temps des Lumières

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    International audienceno abstrac

    Fallait-il brûler L'Esprit des lois ?

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    Henri Duranton : Should the Esprit des lois have been burnt ? In the months preceding the meeting of the Estates General Montesquieu's popularity, which was at first great, rapidly slumped. From being the chief reference in political pamphlets, he became a dangerous author who was refuted and later forgotten. This strange destiny parallels that of the Parlements, which were feted in early 1788 as the «fathers of the country » and considered a few months later as enemies to be fought. The relationship between these two developments is not merely symmetrical or one of cause and effect ; instead, they both reveal a form of political reasoning. The defeat of Montesquieu and the Parlements is not only related to events of the moment, but also indicates the emergence of a new ideology.Duranton Henri. Fallait-il brûler L'Esprit des lois ?. In: Dix-huitième Siècle, n°21, 1989. Montesquieu et la Révolution. pp. 59-72

    La République des Lettres et l'histoire du judaïsme antique, 16e -18e siècles. Textes réunis par Chantal Grell et François Laplanche. 1992

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    Duranton Henri. La République des Lettres et l'histoire du judaïsme antique, 16e -18e siècles. Textes réunis par Chantal Grell et François Laplanche. 1992. In: Dix-huitième Siècle, n°26, 1994. Economie et politique. p. 630
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