56 research outputs found

    Stéréotypes sur les Arabes et/ou musulmans dans la pornographie: Épisode 54

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    Podcast "Jins"Cet épisode de JINS est corollaire à l’épisode précédent. Il était crucial pour moi, comme d’habitude, de ne pas adopter un point de vue uniquement hétérosexuel dans l’analyse nous ramène aussi à des problématiques de classe sociale, de race, de sociologie du travail et d’orientation sexuelle. Les prédicateurs musulmans disent que la pornographie est la forme de zina (« la fornication ») la plus répandue aujourd'hui. Commettre la zina est une des choses les plus condamnées par la religion. Mais regarder un porno peut aussi entrer dans le terme de fahisha, un « acte honteux », comme rapporté dans la Sourate 7 verset 33 du Coran : « Dis : Les choses que mon Seigner a en effet interdites sont des actes honteux, qu’ils soient ouverts ou secrets ». Bon, admettons que mater du porno, c’est interdit en islam. Pourtant, même si certains pays musulmans prohibent la pornographie, d’autres n’arrivent pas à juguler les flux énormes de vidéos en libre accès (notamment grâce aux VPN). D’aucuns distribuent même des DVDs piratés de porno. Les jeunes Saoudiens regardent du porno gay après minuit. Les Marocains en 2020 étaient dans le top 5 des visionneurs de contenus porno avec des personnes trans. Les Égyptiens raffolent des contenus vidéos lesbiens. Le Pakistan, la Malaisie, le Nigeria apparaissent en tête des pays qui réalisent le plus de recherches sur les mots « porno » et « porno gratuit ». La Turquie et l’Algérie dépassent la France dans consommation et dans la diversité de catégories pornographiques. Mais aujourd'hui on va s’attarder sur les stéréotypes et les archétypes formés par les imaginaires pornographiques en France, et vous allez voir, ça vaut le détour pour mieux comprendre les enjeux de domination genrée, raciale et postcoloniale encore en 2021. Pour cet épisode, j’ai le plaisir d’interroger Tanguy Dufournet. Tanguy est sociologue du travail. Il vient de soutenir sa thèse de doctorat intitulée « Le Travail pornographique gay : jouissance et aliénation » et de publier un article, en libre accès dans la revue « Recherches Sociologiques et Anthropologiques », intitulé « Performer pour durer : la beauté corporelle au prisme du travail pornographique gay ». Il est également enseignant à l’INSPÉ de Reims au sein de l’Université de Reims où il co-pilote l’ouverture d'un master, accessible partout en France et à l’international, nommé « Inégalités, Discriminations et Territoire » (IDT)

    L’appropriation de soi.: Techniques et gestion sexuelles du corps

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    International audienc

    Mutations du travail... et transformation des collectifs ?: "Travail chez soi" et modalités d’organisation du travail multi-situé

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    International audienceL’évolution des organisations de travail impacte bien évidemment sur les systèmes et conditions d’emploi. De nouvelles formes particulières sont apparues. Egalement dites atypiques, du fait qu’elles se distinguent du modèle dominant des années 70 (CDI, temps plein et unic- ité de l’employeur), ces formes instables d’emploi redéfinissent fondamentalement les collectifs de travail, jusqu’alors principalement fondées sur les métiers et les professions, et spatialement situés dans un même espace de travail. Ce qui n’est plus tout à fait le cas aujourd’hui.À partir de ce travail de recherche, il est possible de répondre en partie aux problématiques suivantes soulevé : Comment la mutation des périmètres des entreprises et de l’emploi modifie-t-elle les espaces et les formes de conflictualités ? Aussi, comment pouvons- nous interroger à partir de ces éléments les nouvelles formes de structuration technologique du travail ? En quoi, cette dernière s’inscrit dans un processus plus large de disqualification et d’invisibilisation du travail ?MéthodeD’un point de vue méthodologique, nous avons créé les conditions d’observation et d’investigations empiriques très spécifiques. La technique du proche en proche a donné lieu à 13 entretiens qualitatifs filmés directement au domicile des enquêté-e-s mais qui a principalement concerné des figures typiques du travailleurs-travailleuses chez soi.À cette démarche s’est ajouté la construction et la diffusion d’un questionnaire statistique en partenariat avec deux grands bailleurs (Alliade Habitat-Bayeur social et Bouygues Immobilier).Enfin, des entretiens ethnographiques supplémentaires sont actuellement encore menés en partie avec des figures de travailleuses et travailleurs chez soi "moins typiques"

    La marche des fiertés : de l'hypothèse de la transphobie à la dépolitisation des marches

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    International audienceCette communication s’inscrit dans le cadre d’une brève enquête menée lors de la marche des fiertés 2016 de Lyon. Au départ, l’objectif était d’interroger la transphobie des participant.e.s alors que le mot d’ordre de la marche incluait une revendication pour les droits des trans. Au-delà du fait que les revendications trans ne semblent pas assez légitime pour apparaître seules comme mot d’ordre et que le mouvement trans tend à s’autonomiser des associations semi-institutionnelles organisatrices des marches, il est apparu que la grande majorité des personnes interrogées était clairement non-informée (et investie ?) des raisons de la marche.Problématique : Dans le cadre spécifique de cette configuration, et du problème particulier des sexualités minoritaires comme expériences subjectives, il apparaît possible de répondre à la question problématique : la marche des fiertés est-elle encore un mouvement militant ? Méthode : Pour répondre à cette problématique générale, la recherche est dotée d’un cadre méthodologique basée sur des entretiens qualitatifs filmés, et de l’observation in situ avec la réalisation de photographies

    L'intersectionnalité dans la recherche doctorale: Quels usages possibles de l'approche intersectionnelle par la recherche doctorale ?

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    International audienceComme le concept de genre en son temps, la notion d’intersectionnalité, modifiant les prismes à travers lesquels saisir la complexité des faits sociaux, rencontre un certain nombre de résistances (Bilge, 2015). Ainsi l’analyse de ses usages dans les pratiques pédagogiques (Charmillot et Fernandez-Iglesias, 2018) et de la recherche permet-elle de mettre à jour les points de crispations entre ce qui peut être appelé une sociologie dominante (positiviste, objectiviste et blanche) et une sociologie « critique » qui affirme la nécessité d’une épistémologie du point de vue situé (Espínola, 2013 ; Gaussot, 2011). Autrement dit, l’intersectionnalité rend nécessaire le fait de rompre avec des croyances épistémiques (Duhem, 2004) ancrées dans les pratiques scientifiques (objectivisme, neutralité, etc.) et cherchant à s’imposer comme universelles (Popper, Einstein et Monod, 1973). Pourtant, Marcel Mauss dans son article de 1934 sur les Techniques du corps, écrivait déjà : « Quand une science naturelle fait des progrès, elle ne les fait jamais que dans le sens du concret, et toujours dans le sens de l'inconnu. Or, l'inconnu se trouve aux frontières des sciences, là où les professeurs « se mangent entre eux », comme dit Goethe (je dis mange, mais Goethe n'est pas si poli). C'est généralement dans ces domaines mal partagés que gisent les problèmes urgents. Ces terres en friche portent d'ailleurs une marque. Dans les sciences naturelles telles qu'elles existent, on trouve toujours une vilaine rubrique. Il y a toujours un moment où la science de certains faits n'étant pas encore réduite en concepts, ces faits n'étant pas même groupés organiquement, on plante sur ces masses de faits le jalon d'ignorance : « Divers ». C'est là qu'il faut pénétrer. On est sûr que c'est là qu'il y a des vérités à trouver : d'abord parce qu'on sait qu'on ne sait pas, et parce qu'on a le sens vif de la quantité de faits. » (Mauss, 1934)D’une certaine manière, la science ne se produit jamais en son centre mais toujours à la marge (Hooks, 2017). Ce qui nécessite de sortir des zones de confort que peuvent apporter des champs académiques de la recherche déjà constitués. Toutefois, cette posture de scientifique « décalée » implique également une posture affirmée d’étude du « divers » (pour paraphraser Mauss) qui implique une certaine transgression des pratiques et des normes. D’ailleurs, ici, nous pourrions souligner l’importance des enjeux des débats actuels sur l’éthique et l’intégrité scientifiques.Dans ce cadre, plusieurs questions se posent pour la « recherche doctorale » : Comment légitimement s’emparer de l’approche intersectionnelle ? Qu’est-ce que cela implique en termes de posture et pratique méthodologiques ? À partir d’un recensement des intitulés et résumés des thèses en cours (2016) au sein d'un laboratoire de sociologie, et de l’étude problématisée de deux cas pratiques de doctorants vis-à-vis de leur point de vue situé, nous essaierons de faire émerger les éléments de résistances ou ceux facilitateurs révélés par certains parcours doctoraux afin d’enrichir notre réflexion dans la perspective de construction du RII

    Les corps pornographiques à l'épreuve des logiques d'externalisation: Migration et reclassement professionnel dans une industrie mondialisée

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    National audienceEn quoi les mobilités participent-elles à penser, définir et redéfinir, le travail et la qualification des acteurs pornographiques ? Comment ces processus de globalisation permettent-ils de créer et réaffirmer des clivages sociaux hiérarchisés à l’aune de la race et de la santé

    Gay Pornographic Work : enjoyment and Alienation, a sociology of the (homo-)sexual work of the bodies

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    En quoi le travail pornographique gay est-il typique des rapports de travail en tant qu’il est aussi une configuration spécifique où s’imbrique des processus contradictoires d’aliénation et de jouissance (Naville, 1967) de soi ? Le travail et la sexualité sont communément admis comme étant des faits sociaux totaux (Mauss, 2012). Ils font tout deux l’objet de rapport de force. Pour le travail, par exemple, ces tensions s’exercent entre ceux et celles qui fournissent la force de travail et ceux qui en captent le produit. Ce rapport de force, prenant parfois une dimension conflictuelle, instaure le travail comme norme et valeur et en fixe les définitions. Or, le travail pornographique n’est pas, socialement, reconnu comme travail (Absi, 2011 ; Lieber, Hertz et Dahinden, 2010 ; Merteuil et Simonin, 2013). Cela facilite toute une série de dérégulations rendant cette configuration particulièrement sensible aux « mutations du travail » ou aux « changements de modèle économique » - comme l’économie numérique (Julien et Mazuyer, 2018) - en ce qu’ils sont des formes spécifiques que le travail prend à la faveur d’une transformation du rapport de force susnommé. Dans le cadre du travail pornographique gay, leur analyse, non seulement, permet de rendre compte d’une dynamique de fond, en cours dans la société française, mais aussi tend à indiquer que chaque fait social total peut se superposer à un autre pour éclairer différemment ce même phénomène d’innovation capitalistique conduisant à l’invalorisation massive du travail (Rozenblatt, 2017). De plus, cette thèse analyse non pas le « travail pornographique » (Trachman, 2013) - dont l’absence de qualificatif signifie « hétérosexuel » - mais le « travail pornographique gay » dont la dimension « gay » le situe à la croisée d’une multitude de dynamiques contradictoires (pornographique, marketing, militante) qui favorisent sa déconstruction et la mise en lumière de processus complexes, intersectionnels (Bilge, 2010 ; Holvino, 2010 ; Séhili, 2017) et contre-hégémonique.Ainsi, saisir le travail pornographique gay nécessite-t-il de réinterroger les cadres de la sociologie du travail au prisme d’une sexualité marginalisée et stigmatisée (Chamberland et Lebreton, 2012 ; Chamberland et Théroux-Séguin, 2014 ; Chauvin et Lerch, 2013 ; Fassin, 1998, 2008) dont l’analyse socio-historique se situe dans la filiation des travaux de Canguilhem (Canguilhem, 1972) et de Foucault (Foucault, 1997) et nous invite à interroger les effets des dispositifs en place (Béguin, 2010) à l’aune des corporéités (Andrieu, 2006 ; Bert, 2006 ; Brohm, 1988 ; Detrez, 2002). Les logiques productives impliquent un impératif de performance qui pèse sur les corps. Dans ce cadre, les acteurs sont amenés à développer des techniques (Mauss, 1934 ; Trachman, 2013), associant parfois la prise de produits. Ces processus de professionnalisation (Hughes, 1996) qualifie des corps dont le statut (Mazuyer, 2015), comme les aspects (Lynch, s. d.) varient. Ces variations, intégrées à une dialectique du voir et du montrer, sont autant de compétences corporelles qui permettent aux acteurs qui les maitrisent de « faire carrière » en traversant les catégories pornographiques. C’est pourquoi, la notion de compétence corporelle se situe dans le prolongement des travaux de Djaouidah Sehili sur les compétences genrées (Séhili, 2003, 2004) en tant qu’elles impliquent une incorporation des normes de genre, de race, de classe, de sexualité, etc. en qualité de normes professionnelles (Séhili, 2017). La saisie de ces variations corporelles engage donc une approche intersectionnelle (Chauvin et Jaunait, 2015 ; Fassin, 2015 ; Séhili, 2017) associée une sociologie située et incarnée (Hert, 2014 ; Hooks et Gay, 2015) dont l’usage de l’image photographique (Chauvin et Reix, 2015 ; Maurines, 2012) permet de rendre compte.In what way is gay pornographic work typical of labour relations as it is also a specific configuration in which contradictory processes of alienation and self-enjoyment (Naville, 1967) are intertwined? Work and sexuality are commonly accepted as total social facts (Mauss, 2012). They are both subject to power relations. In the case of labour, for example, these tensions are between those who provide the labour power and those who capture the product. This balance of power, sometimes taking on a conflictual dimension, establishes labour as a norm and value and sets its definitions. However, pornographic work is not socially recognized as labour (Absi, 2011; Lieber, Hertz and Dahinden, 2010; Merteuil and Simonin, 2013). This facilitates a whole series of deregulations that make this configuration particularly sensitive to "changes in work" or "changes in economic models" - such as the digital economy (Julien and Mazuyer, 2018) - in that they are specific forms that work takes on as a result of a transformation of the aforementioned balance of power. In the context of gay pornographic work, their analysis not only makes it possible to account for a fundamental dynamic underway in French society, but also tends to indicate that each total social fact can be superimposed on another to shed a different light on the same phenomenon of capitalist innovation leading to the massive invalidation of labour (Rozenblatt, 2017). Moreover, this thesis does not analyse 'pornographic labour' (Trachman, 2013) - whose absence of a qualifier means 'heterosexual' - but 'gay pornographic labour', whose 'gay' dimension places it at the crossroads of a multitude of contradictory dynamics (pornographic, marketing, militant) that favour its deconstruction and the highlighting of complex, intersectional (Bilge, 2010; Holvino, 2010; Séhili, 2017) and counter-hegemonic processes. Thus, grasping gay pornographic work requires reexamining the frameworks of the sociology of work through the prism of a marginalized and stigmatized sexuality (Chamberland and Lebreton, 2012; Chamberland and Théroux-Séguin, 2014; Chauvin and Lerch, 2013 ; Fassin, 1998, 2008) whose socio-historical analysis is in line with the work of Canguilhem (Canguilhem, 1972) and Foucault (Foucault, 1997) and invites us to examine the effects of the systems in place (Béguin, 2010) in the light of corporativities (Andrieu, 2006; Bert, 2006; Brohm, 1988; Detrez, 2002). Productive logics imply a performance imperative which weighs on bodies. Within this framework, the actors are led to develop techniques (Mauss, 1934; Trachman, 2013), sometimes involving the taking of products. These processes of professionalisation (Hughes, 1996) qualify bodies whose status (Mazuyer, 2015) and aspects (Lynch, n.d.) vary. These variations, integrated into a dialectic of seeing and showing, are as many bodily skills which enable the actors who master them to 'make a career' by crossing pornographic categories. For this reason, the notion of bodily competence follows on from Djaouidah Sehili's work on gendered competence (Séhili, 2003, 2004) in that it involves the incorporation of norms of gender, race, class, sexuality, etc. as professional standards (Séhili, 2017). The capture of these bodily variations therefore involves an intersectional approach (Chauvin and Jaunait, 2015; Fassin, 2015; Séhili, 2017) associated with a situated and embodied sociology (Hert, 2014; Hooks and Gay, 2015), which can be accounted for through the use of photographic images (Chauvin and Reix, 2015; Maurines, 2012)

    Repenser les corps pornographiques: Identifier par le corps, enrôlement et subjectivité dans le travail

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    International audienceCe projet de communication s’inscrit dans le cadre de mon travail de thèse qui étudie « les processus de socialisation et de création des identités dans le rapport au travail pornographique ». Il s’agira ici de questionner, à la suite de Mathieu Trachman, l’homosexualité professionnelle. Pour cela, il faudra alors essayer de penser non seulement l’articulation entre les pratiques sexuelles et les configurations de travail mais aussi l’impact de ces dernières sur le corps des travailleurs et leur intimité, en tant qu’ils sont constitutifs de leurs identités. En effet, si le corps est le principal outil du travail pornographique alors il est nécessaire de le saisir dans une dialectique du voir et du montrer. Au-delà de ce que les différentes figures souhaitent montrer, et par conséquent de ce qu’elles cherchent à extérioriser, il convient d’attraper les variations d’aspect, c’est-à-dire leurs différentes faces. Celles-ci sont doublement intéressantes car elles opèrent sur les corps à partir de représentations irréelles de ceux-ci, mais elles témoignent aussi de ce que d’autres figures extériorisent sur elles.Dans le cadre spécifique de ces configurations, il sera donc possible de répondre en partie à la question des processus d’identification et de catégorisation des corps ainsi qu’aux subjectivités développé dans le travail : Comment le travail pornographique et ses mutations (liées à l’apparition des « tubes », par exemple) marquent-ils les corps et les pratiques des acteurs

    Le corps pornographique: Professionnalité, corporéité et résistance

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    International audienceCe projet de communication s’inscrit dans le cadre de mon travail de thèse qui étudie « les processus de socialisation et de création des identités dans le rapport au travail pornographique ». Il s’agira ici de questionner, à la suite de Mathieu Trachman, l’homosexualité professionnelle. Pour cela, il faudra alors essayer de penser non seulement l’articulation entre les pratiques sexuelles et les configurations de travail mais aussi l’impact de ces dernières sur le corps des travailleurs et leur intimité. En effet, si le corps est le principal outil du travail pornographique alors il est nécessaire de le saisir dans une dialectique du voir et du montrer. Au-delà de ce que les différentes figures souhaitent montrer, et par conséquent de ce qu’elles cherchent à extérioriser, il convient d’attraper les variations d’aspect, c’est-à-dire leurs différentes faces. Celles-ci sont doublement intéressantes car elles opèrent sur les corps à partir de représentations irréelles de ceux-ci, mais elles témoignent aussi de ce que d’autres figures extériorisent sur elles.Dans le cadre spécifique de ces configurations, il sera donc possible de répondre en partie à la question de l’usure du corps au travail et de ses épuisements : Comment le travail pornographique et ses mutations (liées à l’apparition des « tubes », par exemple) marquent-ils les corps et les pratiques des acteurs
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