54 research outputs found

    Consumption Stories : Customer purchases of alcohol at an upper canadian country store in 1808-1809 and 1828-1829

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    Douglas McCalla est historien, spécialiste d'histoire économique. Professeur à la Trent University (Peterborough, Ontario), il a signé plusieurs articles et ouvrages sur le XIXe siècle canadien et ontarien. En avril 1998, il était invité à participer au Séminaire International du Centre interuniversitaire d'études québécoises, qui associe également l'Université du Québec à Trois-Rivières. Placé sous le thème « Perspectives », ce Séminaire a bénéficié de la collaboration des Archives nationales du Québec. Nous sommes heureux de reproduire ici l'exposé du professeur McCalla dans ce numéro de Cheminements-Conférences

    Peter Baskerville, ed. - Canadian Papers in Business History

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    Textile Purchases by Sorte Ordinary Upper Canadians, 1808-1861

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    What we know of the manufactured textiles that were usually the largest single category in colonial imports relates mainly to elite families and special occasions. This paper uses ten samples of the accounts of ordinary families, principally farmers and artisans, at seven Upper Canadian village stores (the earliest in 1808-9, the latest in 1861). Almost 600 of the 787 sample members made at least one purchase of textiles or a related product. From their accounts, 53 fabrics, 36 readymade products, and 38 other products are selected. Cottons dominated from the beginning, and purchases of luxuries, such as silk, were rare. The basic patterns confirm for Upper Canada what textile historians have found, using estate inventories, in other colonial contexts. However, they challenge the story, which underlies most specialist and general accounts of Upper Canada, that there was a transition in this period from self-sufficiency to market engagement. Résumé Ce que nous connaissons des textiles manufacturés, habituellement la plus grande catégorie d'importations coloniales, se rapporte surtout aux familles de l'élite et aux occasions spéciales. Cet article examine dix échantillons d'états de compte de familles ordinaires, principalement de fermiers et d'artisans, dans sept magasins de villages du Haut-Canada (le plus ancien remontant à 1808-1809, le plus récent à 1861). Près de 600 des 787 membres de l'échantillonnage ont acheté au moins un article textile ou produit connexe. Dans les états de compte, 53 étoffes, 36 vêtements de confection et 38 autres produits ont été sélectionnés. Dès le début, les cotonnades étaient ce qui se vendait le plus et les achats de produits de luxe, comme la soie, étaient rares. Les tendances fondamentales confirment pour le Haut-Canada ce que les historiens du textile ont découvert dans d'autres contextes coloniaux en consultant des inventaires de successions. Elles mettent cependant en doute la croyance répandue dans les récits généraux et les écrits de spécialistes sur le Haut-Canada, selon laquelle cette époque en était une de transition de 1'autosuffisance à l'économie de marché

    The "Loyalist" Economy of Upper Canada, 1784-1806

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    This paper surveys the first twenty years of the Upper Canadian economy and its development in the wake of the initial Loyalist settlements. Referring to evidence on population growth, wheat prices, British government expenditures, exports, agricultural development, the domestic market, and the nature of the colonial business system, it discusses the forces for growth in this economy. No one factor can explain the development that took place in the period, though the paper stresses the investment process, particularly as embodied in immigration and in the creation of new farms; reasons for patterns here are sought in the presumed expectations of new settlers, in conjunction with their experience once involved in the economy. The paper argues for long-term continuities in patterns of growth for Upper Canada, from this period to c. 1850, as indicated in wheat output and exports per capita, land cultivated per capita, rates of population growth, the role of the trade cycle, and the nature of the business system that sustained the development that went on. L’auteur s’interroge ici sur les facteurs de croissance de l’économie du Haut-Canada au cours des vingt premières années d’existence de la province, qui furent marquées par l’arrivée des Loyalistes. Des facteurs pris en considération — croissance démographique, prix du blé, dépenses publiques de la métropole dans la province, exportations, développement agricole, marché intérieur et nature du réseau commercial en régime colonial — aucun ne suffit, isolément, à expliquer l’expansion survenue au cours de la période. L’auteur insiste cependant sur les rouages d’investissement par le biais de l’immigration et de l’établissement de nouvelles exploitations agricoles; il cherche de plus à dégager des modèles explicatifs fondés sur les attentes présumées des nouveaux colons et sur leur expérience concrète des conditions locales. La production de blé et les exportations par tête, la quantité de terre cultivée par habitant, les taux de croissance démographique, le rôle du cycle des affaires et la nature du système commercial qui soutenaient le développement en cours conduisent l’auteur à voir des continuités à long terme dans les modèles de croissance du Haut-Canada, depuis la période étudiée jusque vers 1850
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