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    Pour quelles raisons, le taux de transmission verticale du Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH) durant l'accouchement et la période du post-partum reste élevé en Afrique de l'Est, malgré les programmes de prévention actuels ?: travail de Bachelor

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    Introduction : Des progrès énormes ont été réalisés en matière de prévention de la transmission mère-enfant (TME) du VIH grâce à la mise en place de différents programmes en Afrique. En 2016, le taux de TME restait toutefois élevé en Afrique de l’Est. Objectif : Effectuer une revue de littérature pour déterminer quels facteurs influencent l'adhérence et l'accès aux traitements antirétroviraux. Et cela, dans le but de mieux comprendre pourquoi le taux de TME demeure élevé en Afrique de l’Est malgré les programmes de prévention actuels. Méthode : La dernière recherche a été réalisée le 10 janvier 2018 avec le moteur de recherche PubMed. Les mots-clés suivants ont été utilisés (((HIV[MeSH Terms]) ET pregnancies[MeSH Terms]) ET africa, eastern[MeSH Terms]) ET prenatal care[MeSH Terms]. Cinq études ont été sélectionnées, à l’aide de de bases de données scientifiques, pour répondre à la question de recherche. Les articles ont été analysés de manière descriptive, puis critique avant d’être discutés selon six hypothèses. Résultat : La stigmatisation et la spiritualité ne semblent pas influencer avec l’adhérence au traitement. Toutefois, les femmes reportent des expériences de vie négatives à l'annonce de leur séropositivité. La distance de l’habitation au centre de soins n'a pas été décrite comme facteur influençant. Cependant, différents aspects liés à celle-ci tels que la sécurité, la disponibilité des transports ou leurs coûts le sont clairement. La mauvaise répartition des ressources financières est un facteur déterminant. Conclusion : Les recommandations liées aux soins anténataux sont applicables dans les centres de soins. Malgré tout, le suivi post-partum reste superficiel. Or, le risque de transmission par l'allaitement maternel est établi. Afin de réduire ce risque, il serait intéressant de mener une étude sur les programmes de prévention actuels ciblés sur cette période

    Elevated Tribbles homolog 2–specific antibody levels in narcolepsy patients

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    Narcolepsy is a sleep disorder characterized by excessive daytime sleepiness and attacks of muscle atonia triggered by strong emotions (cataplexy). Narcolepsy is caused by hypocretin (orexin) deficiency, paralleled by a dramatic loss in hypothalamic hypocretin-producing neurons. It is believed that narcolepsy is an autoimmune disorder, although definitive proof of this, such as the presence of autoantibodies, is still lacking. We engineered a transgenic mouse model to identify peptides enriched within hypocretin-producing neurons that could serve as potential autoimmune targets. Initial analysis indicated that the transcript encoding Tribbles homolog 2 (Trib2), previously identified as an autoantigen in autoimmune uveitis, was enriched in hypocretin neurons in these mice. ELISA analysis showed that sera from narcolepsy patients with cataplexy had higher Trib2-specific antibody titers compared with either normal controls or patients with idiopathic hypersomnia, multiple sclerosis, or other inflammatory neurological disorders. Trib2-specific antibody titers were highest early after narcolepsy onset, sharply decreased within 2–3 years, and then stabilized at levels substantially higher than that of controls for up to 30 years. High Trib2-specific antibody titers correlated with the severity of cataplexy. Serum of a patient showed specific immunoreactivity with over 86% of hypocretin neurons in the mouse hypothalamus. Thus, we have identified reactive autoantibodies in human narcolepsy, providing evidence that narcolepsy is an autoimmune disorder
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