Rapport de l’atelier de clôture Capacitating Stakeholders in Using Climate Information for Enhanced Resilience in the Agricultural Sector in West Africa (CaSCIERA-TA)

CaSCIERA-TA est un projet de « Renforcement des capacités des parties prenantes à l'utilisation de l'information climatique pour l’amélioration de la résilience dans le secteur agricole en Afrique de l'Ouest" de 2 ans financé par le CORAF et les parties nationales du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) des pays bénéficiaires. Il vise à améliorer la résilience du système agricole (cultures, élevage et arbres), la sécurité alimentaire et la nutrition face aux chocs climatiques saisonniers, depuis l’échelle champ jusqu’au niveau national. Il vise spécifiquement à fournir des services d'information agrohydro-climatiques pertinents et précis aux principales parties prenantes. Sept axes d’activités (workpackages- WP) ont été définis dans le projet dont le renforcement des capacités des acteurs clés pour générer et utiliser les informations climatiques (WP1), la production des informations agro-hydro-climatiques (WP2), la diffusion des informations agro-hydroclimatiques (WP3); les essais participatifs au champ et la validation des outils et méthodes (WP4); la mise à l’échelle des innovations réussies (WP5); le suivi et l'évaluation (WP6) et la gestion globale du projet (WP7). Coordonné par le World Agroforestry (ICRAF), le projet est mis en oeuvre au Benin, en Guinée, au Niger et au Togo par un consortium d’institutions nationales et internationales incluant le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l'Agriculture et la Sécurité Alimentaire (CCAFS), le Centre Régional de Formation et d’Information en Agro-météorologie et Hydrologie Opérationnelle (AGHRYMET), l’Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB), l’Institut de Recherche Agronomique de Guinée (IRAG), l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et l'Institut Togolais de Recherche Agronomique (ITRA). Après deux années de mise en oeuvre des activités définies, l’atelier final du projet a eu lieu les 9-10 décembre 2019 dans la salle de réunion de l’ICRAF a Samanko au Mali

Rapport de l’atelier de revue des activités menées en 2018 et de planification de 2019 Capacitating Stakeholders in Using Climate Information for Enhanced Resilience in the Agricultural Sector in West Africa (CaSCIERA-TA)

CaSCIERA-TA est un projet de « Renforcement des capacités des parties prenantes à l'utilisation de l'information climatique pour l’amélioration de la résilience dans le secteur agricole en Afrique de l'Ouest" de 2 ans financé par le CORAF et les parties nationales du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) des pays bénéficiaires. Il vise à améliorer la résilience du système agricole (cultures, élevage et arbres), la sécurité alimentaire et la nutrition face aux chocs climatiques saisonniers, depuis l’échelle champ jusqu’au niveau national. Il vise spécifiquement à fournir des services d'information agro-hydro-climatiques pertinents et précis aux principales parties prenantes. Sept axes d’activités (workpackages- WP) ont été définis dans le projet dont le renforcement des capacités des acteurs clés pour générer et utiliser les informations climatiques (WP1), la production des informations agro-hydro-climatiques (WP2), la diffusion des informations agro-hydro-climatiques (WP3); les essais participatifs au champ et la validation des outils et méthodes (WP4); la mise à l’échelle des innovations réussies (WP5); le suivi et l'évaluation (WP6) et la gestion globale du projet (WP7). Coordonné par le World Agroforestry (ICRAF), le projet est mis en oeuvre au Benin, en Guinée, au Niger et au Togo par un consortium d’institutions nationales et internationales incluant le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l'Agriculture et la Sécurité Alimentaire (CCAFS), le Centre Régional de Formation et d’Information en Agro météorologie et Hydrologie Opérationnelle (AGHRYMET), l'Académie des Sciences de Californie (CAS), l’Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB), l’Institut de Recherche Agronomique de Guinée (IRAG), l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et l'Institut Togolais de Recherche Agronomique (ITRA). Après une année de mise en oeuvre des activités définies, les rapports produits ont été soumis au CORAF qui a financé le projet. Ainsi, pour permettre aux partenaires du projet de discuter des activités réalisées en 2018, les leçons apprises et et les activités planifiées pour l’année 2019, un atelier a été organisé à l’ICRAF, Bamako, au Mali du 4 au 5 mars 2019. Au total, 21 participants venant des services météorologiques, des instituts nationaux de recherche et des représentations WAAPP du Benin, de la Guinée et du Niger, ainsi que des représentants du CORAF, du CCAFS, de l’AGRHYMET et de l’ICRAF ont pris part à l’atelier. L’équipe du Togo était absente à cette première rencontre de l’année 2019

L’hémangiopéricytome méningé: une tumeur intracrânienne rare - à propos d’un cas

L'hémangiopéricytomeméningé intracrânien est une tumeur rare qui représente moins de 1 % des tumeurs cérébrales. Son aspect radiologique peut être trompeur et faire porter à tort le diagnostic de méningiome. Le diagnostic de confirmation est histologique. Le traitement repose sur la chirurgie et la radiothérapie. L'évolution après traitement est caractérisée par la fréquence des récidives et des métastases à distance, imposant un suivi prolongé. Nous rapportons l'observation d'un patient présentant un hémangiopéricytome intracrânien dont l'évolution était marquée par l'absence de récidive à 4 ans de suivi.Key words: Hémangiopéricytome méningé intracrânial, chirurgie, radiothérapie, récidive, métastas

Malaria treatment in remote areas of Mali: use of modern and traditional medicines, patient outcome

Use of official health services often remains low despite great efforts to improve quality of care. Are informal treatments responsible for keeping a number of patients away from standard care, and if so, why? Through a questionnaire survey with proportional cluster samples, we studied the case histories of 952 children in Bandiagara and Sikasso areas of Mali. Most children with reported uncomplicated malaria were first treated at home (87%) with modern medicines alone (40%), a mixture of modern and traditional treatments (33%), or traditional treatment alone (27%). For severe episodes (224 cases), a traditional treatment alone was used in 50% of the cases. Clinical recovery after uncomplicated malaria was above 98% with any type of treatment. For presumed severe malaria, the global mortality rate was 17%; it was not correlated with the type of treatment used (traditional or modern, at home or elsewhere). In the study areas, informal treatments divert a high proportion of patients away from official health services. Patients' experience that outcome after standard therapeutic itineraries is not better than after alternative care may help to explain low use of official health services. We need to study whether some traditional treatments available in remote villages should be considered real, recommendable first ai

Capacitating stakeholders to using Climate Information in West Africa: Achievements and lessons learned from the WAAPP-funded CaSCIERA-TA project

This Info note summarizes the achievements and lessons learned from the implementation of a 2-year project on ‘’Capacitating Stakeholders in Using Climate Information for Enhanced Resilience in the Agricultural Sector in West Africa (CaSCIERA-TA)’’, funded by Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricole (CORAF) under the West Africa Agricultural Productivity Program (WAAPP)”. This project was implemented by a consortium of partners led by ICRAF Sahel Office and included CCAFS West Africa Program, AGRHYMET, INRAB-Benin, IRAG-Guinea, INRAN-Niger and ITRA-Togo. The project aimed at strengthening the capacity of the stakeholders of four WAAPP implementing countries to mainstream and implement Climate Smart Agriculture (CSA) into their activities

Taking the Participatory Integrated Climate Services for Agriculture (PICSA) approach to extension actors for strengthening resilience in Africa: five years’ experience in West Africa

In West Africa, about 70% of the population live in rural area and have livelihoods mostly based on rainfed agriculture (Connolly-Boutin and Smit 2016; Serdeczny et al. 2017). Despite the low input practices, agriculture contributes of 30-40% Gross Domestic Product (Jalloh et al. 2012; Nin-Prat et al. 2011). However, farmers in this region are exposed to various weather-related risks, chiefly climate variability as well as climate change inducing droughts, which combined with their low adaptive capacities makes them the most vulnerable in the world (Von Soest 2020). Moreover, the climate of West Africa is expected to become more arid due to increased temperature and uncertain rainfall regimes, while its population is expected to grow faster than the rest of the world (Mechiche-Alami and Abdi 2020). Climate smart agriculture aims at helping farmers cope with the negative impact of climate change and in line with this, accurate and timely climate information services are one of the major inputs for improving agricultural practices (FAO 2013, 2018; Hansen et al., 2011, 2019). Developed by the University of Reading, within the framework of a CCAFS (Climate Change Agriculture and Food Security research program) funded project and with initial support from Nuffield Africa, the Participatory Integrated Climate Services for Agriculture (PICSA) approach is designed to help mallholder farmers to make plans and decisions for their individual contexts and that utilize climate and weather information together with participatory decision making tools. This approach is based on the analysis of livelihood activities by smallholder farmers in the light of climate information of their locality including historical weather data as well as seasonal and short-term forecasts, and helps farmers to make risk assessments and decisions to improve their production and meet their objectives (Dorward et al. 2015). Various participatory tools, including resource allocation maps, seasonal calendars, participatory budget analysis, C C A F S I N F O N O T E 2 are used for such analysis considering the specific context of each farmer as shown in the contextual framework in Figure 1. Two key principles of PICSA include ‘the farmer decides’ i.e. that farmers are best placed to make decisions about their agricultural practices, because they have detailed knowledge of their farm, system and environment, and they also face the consequences (whether favourable or unfavourable) of their decisions, and ‘options by context’ i.e. different farmers having different contexts. This includes differences in wealth, education, land, goals and attitudes to risk. Therefore, what works for one farmer might not work for another and farmers should thus make decisions that are right for their own contexts (see https://research.reading.ac.uk/picsa for full explanation and resources on PICSA)