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    Etude de faisabilité d'une vétithèque (bibliothèque de vêtements) à Genève

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    Ce projet est parti de mon désir inassouvi de pouvoir porter tous les jours des habits différents, tendances et de bonne qualité. Mon budget ne me le permettant pas, j’ai dû me restreindre à aller chez H&M comme tout le reste de la ville et j’ai donc pris l’habitude de croiser dans les rues des personnes avec les mêmes vêtements que moi, même si cela ne m’enchante pas. Passer devant les vitrines des marques prestigieuses reste une torture car avec un budget d’étudiante il est impossible d’imaginer ne serait-ce que de pousser la porte de l’un de ces magasin. C’est pourquoi quand j’ai entendu parler du concept de vêtithèque (comprenez bibliothèque de vêtements) j’ai tout de suite adhéré ! J’ai pensé qu’il fallait absolument qu’une Vêtithèque ouvre à Genève ! Ce concept venu de Suède est en réalité une boutique de location de prêt-à-porter où l’on peut venir emprunter une tenue parmi un grand choix de vêtements et accessoires tendances, grâce à des formules avec ou sans abonnements. L’objectif de ce travail est donc de démontrer la faisabilité du concept de location de vêtements pour pallier au fait que la mode passe de plus en plus vite et pour remédier à l’uniformité vestimentaire et à la surconsommation de vêtements. Nous verrons au travers de ce travail les différents aspects de la mise en place d’une telle entreprise, à travers notamment une analyse de la concurrence et des préférences des consommatrices mais aussi une analyse de l’environnement de la société. Nous étudierons quels sont les besoins de l’entreprise en ressources humaines et quels sont les partenaires qui l’entoureront. Nous verrons les différents moyens de communication auxquels la Vêtithèque fera appel pour développer sa notoriété ainsi que les risques qui sont susceptibles de survenir. Pour finir, une analyse financière ainsi qu’une estimation des ventes nous montreront que la Vêtithèque sera en perte la première année mais qu’elle fera ensuite des bénéfices dès sa deuxième année d’activité et que le concept est donc viable sur la base de mes prévisions

    Analyse de faisabilité d'une plateforme de prise de rendez-vous en ligne pour les professionnels du bien-être et de la santé

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    Mon désir est de faire gagner du temps autant aux professionnels qu’aux personnes voulant prendre rendez-vous. C’est pourquoi j’ai pensé à un système de prise de rendez-vous en ligne pour le secteur du bien-être et de la santé. iReserve a donc pour but de fournir un site internet permettant aux professionnels de la santé et du bien-être de s’inscrire, afin de proposer à leurs clients la possibilité de prendre rendez-vous via internet, sans passer par le téléphone. Concernant le besoin en ressources humaines, la société a besoin d’un informaticien à temps complet, afin de gérer la programmation des pages web, tandis que moi-même je m’occupe du côté analyse des besoins. À partir de la deuxième année, deux personnes supplémentaires rejoindront l’équipe. Grâce à des sondages quantitatifs et qualitatifs, je constate un intérêt auprès des professionnels quant à une prise de rendez-vous en ligne, ainsi qu’auprès de la population, car 72% se disent prêts à utiliser le système. Chez les professionnels, je constate également une envie de personnalisation. Le service comprend un élément de base, c’est-à-dire la page web avec l’agenda en ligne. Le professionnel peut choisir des modules supplémentaires, afin de personnaliser sa page web. Il peut également prendre le module de synchronisation de son agenda personnel avec l’agenda en ligne. Ce module est l’avantage concurrentiel de la société. Durant la première année d’exploitation, les actions marketing sont ciblées sur les professionnels avec des publications dans le journal de l’Association des Médecins de Genève, ainsi qu’avec une participation à des salons. À partir de la deuxième année, les actions sont orientées vers les preneurs de rendez-vous avec des spots radios ou des flyers dans les transports publics genevois. Concernant l’aspect financier, malgré l’enregistrement d’une perte lors de la première année, dès la deuxième année des bénéfices sont à prévoir. Grâce à une tarification basée sur des abonnements mensuels, à partir de la quatrième année, la société peut faire des bénéfices sans avoir de nouveaux clients

    Les problèmes de reconnaissances des prestations des physiothérapeutes, les effets à long terme sur l'offre, la demande et la formation à Genève

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    Les physiothérapeutes genevois rencontrent de nombreuses difficultés concernant la reconnaissance de leurs prestations, principalement par les assurances. En effet, les assurances-maladie, qui veulent et doivent sans cesse diminuer leurs coûts totaux, amoindrissent le nombre de remboursements accordés. Cette diminution se traduit par des restrictions sur le nombre de séances remboursées ainsi que par une augmentation des vérifications relatives aux prescriptions et à leurs nécessités. Ces effets ont pour cause une diminution du nombre de traitements effectués. De plus, le coût de la vie, ainsi que les charges d’un cabinet sont en constante évolution. Les physiothérapeutes doivent donc supporter une diminution de leur chiffre d’affaire. A la suite de recherches plus approfondies sur le marché de la physiothérapie genevoise, plusieurs scénarii sur l’avenir de ce marché ont été envisagés : aucun changement, une modification de la valeur du point, un changement de tiers-payant à tiers-garant, l’implantation de la plateforme « TrustCenter » et la création de commissions spécialisées de physiothérapie. Chacun de ces scénario a été approfondi par rapport à l’effet à long terme sur l’offre, la demande, la formation des physiothérapeutes ainsi que sur leurs revenus. Un tableau a été mis en place afin de classer ces divers scénarii en fonction de leurs avantages et de leurs inconvénients. Le changement de tiers-payant à tiers-garant ainsi que la modification de la valeur du point sont les scénarii qui ressortent comme étant les meilleures solutions pour l’avenir des physiothérapeutes. Ces deux scénarii ont des similitudes, comme la mise en application qui doit être décidée conjointement entre les associations de physiothérapie cantonale et nationale, qui représentent les physiothérapeutes, ainsi que Santésuisse, qui représente les assurances-maladie. Dans ces deux cas, une augmentation de la valeur du point et du chiffre d’affaire des physiothérapeutes auront lieu. En effet, suite à un changement du système de facturation du tiers-payant par tiers-garant, les assurances prévoient d’accorder une augmentation de la valeur du point des physiothérapeutes relative à la prise de risque concernant l’insolvabilité des patients. Le marché de la physiothérapie genevoise, grâce à ces deux scénarii, devrait connaître un regain d'intérêt et un meilleur avenir

    Étude de faisabilité d’une plateforme en ligne regroupant tous les espaces de coworking de Suisse permettant la réservation d’une place de travail

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    L’entreprise dans laquelle je travaille a mis en place un projet pilote proposant à une poignée d’individus de se rendre dans un espace de coworking une fois par semaine afin de réduire le temps passé dans les transports et améliorer la satisfaction du collaborateur. En discutant avec certains de ces collègues, j’ai appris qu’ils ne pouvaient pas changer d’espaces de coworking comme ils le souhaitaient car ils étaient liés à l’espace de travail collaboratif choisi. En prenant en compte ces informations ainsi que l’évolution du monde du travail (numérisation des documents, flexibilité, etc.), l’idée de créer une plateforme qui regroupe tous les espaces de coworking au même endroit afin de permettre la réservation d’une place de travail, le tout sans engagement, m’est apparue. Wiworkeen est donc une plateforme qui a pour but de regrouper tous les espaces de coworking de Suisse, sur laquelle il est possible de réserver une place de travail, allant de l’heure à la journée, en quelques minutes et sans engagement. La plateforme dispose également d’un espace communautaire afin d’évaluer et d’échanger sur la prestation reçue et permettre ainsi l’amélioration continue. Wiworkeen SA agit comme intermédiaire entre le client et l’espace de coworking. La réservation et l’encaissement se font sur la plateforme. Wiworkeen SA facture une commission de 20% sur chaque réservation. L’entreprise est composée de deux collaborateurs, un informaticien développeur pour le maintien et le développement de la plateforme ainsi que de moi-même pour toutes les tâches administratives, pour le marketing, pour le démarchage d’espaces de coworking et de clients ainsi que pour la tenue de la comptabilité et des finances. La première année d’exploitation est déficitaire à cause du faible chiffre d’affaires et du manque de notoriété au lancement de l’activité. Cependant, dès la deuxième année, le résultat d’exercice est positif à hauteur de KCHF 35. La troisième année est d’autant plus réjouissante selon les projections et le paiement d’un dividende peut être espéré. Par ailleurs, le sondage effectué vient confirmer les analyses réalisées notamment à propos de l’intérêt porté au produit Wiworkeen puisque 62.25% des sondés trouvent utile la création de cette plateforme, 33,75% confirment le prix moyen estimé utilisé pour les prévisions de ventes et 27.5% seraient prêts à payer le double du prix moyen estimé

    Le service des compagnies aériennes est-il compatible avec une stratégie d'éthique environnementale ?

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    Les inquiétudes environnementales sont présentes dans toutes les industries, dont l’aviation. En effet, celle-ci s’est imposée des objectifs à moyen et long terme pour réduire son impact écologique – diminuer de 50% ses émissions de CO2 de 2005 d’ici, 2050. Ces objectifs, fixés de manière autonome et indépendante entre les plus grands acteurs de l’industrie – organisations internationales, régulateurs, constructeurs – fait de celle-ci un exemple unique. L’objectif de ce travail de Bachelor est d’étudier si une stratégie marketing « écologique » pourrait être assez attractive auprès des voyageurs pour augmenter les ventes des compagnies aériennes et sous quelles conditions. Une première analyse des tendances générales du public quant aux questions environnementales dans le secteur de l’aviation a démontré que cela reste un thème très spécifique et peu connu d’une personne lambda. Des thèmes comme les taxes écologiques et la distinction du « pollueur-payeur » sont très abordés sur Internet. D’un autre côté, les compagnies aériennes et les autres acteurs du secteur rivalisent de créativité ensemble pour la recherche et le développement de carburant bio et des engins moins polluants, sans compter de nouvelles techniques de pilotage et de nouveaux trajets moins longs. Malgré les multiples mesures entreprises dans le secteur, celles-ci restent méconnues du public. Les programmes de compensation d’émissions offerts par les compagnies aériennes ne convainquent pas le public. Ce constat se confirme à travers l’enquête « Flying Green » lancée en avril 2011 et regroupant 202 réponses. Celle-ci a permis de distinguer le manque de connaissance et de crédibilité envers les programmes de compensation et les partenaires du secteur. La question sur la volonté des passagers de contribuer pour des projets environnementaux en plus du prix du billet d’avion a démontré, une faible motivation à participer financièrement et le problème de l’image et la crédibilité négative dont souffre l’acteur aérien. Seule une participation non financière communiquée à travers un acteur plus proche du public pourrait permettre de changer l’image du secteur et attirer sa sympathie. En identifiant le public cible des voyageurs pour le travail, le don des points ou miles cumulés à travers les programmes de fidélité comme Star Alliance, Oneworld ou Skyteam, serait une solution attirante et universelle pour les membres. Ces groupes Le service des compagnies aériennes est-il compatible avec une stratégie d’éthique environnementale ? DE MENDONCA LIMA Manoela iv d’alliances devront également créer des programmes « verts » qui encouragent la collaboration avec des multinationales et organisations internationales qui, en contrepartie de leur contribution, leur offrirait une visibilité sur les supports promotionnels des compagnies aériennes. Pour les voyageurs « touristes », les compagnies doivent jouer la proximité et simplicité avec le public pour créer un lien de confiance et améliorer l’image du secteur, tout en variant les supports promotionnels. Des gestes simples mais visibles par le passager ainsi qu’un suivi soutenu des projets écologiques des compagnies aériennes pourraient apporter la garantie de l’acheminement des contributions. Ainsi, les recherches et les analyses, notamment l’enquête réalisée récemment, permettent d’observer qu’il existe un manque de communication entre le secteur et le public entraînant une crédibilité et une image peu valorisante des acteurs aériens. Le marketing vert est une stratégie peu applicable dans ce secteur pour augmenter les ventes, mais importante toutefois si le but est de redorer l’image de tout un secteur. A long terme et avec un effort général de l’industrie, le passager pourra s’identifier plus facilement à un acteur industriel économiquement important et dont la banalisation est grandissante

    Analyse des possibilités de diversification pour une station de montagne en période estivale ainsi que de leur rentabilité

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    L'association du Pays du St-Bernard (nommée ci-dessous PSB) regroupe 5 villages dont Champex-Lac. Cette petite station attire de nombreux touristes, principalement suisses, durant la saison estivale grâce à son charme et à son calme. 58% des nuitées sont réalisées pendant cette période grâce aux hôtels, campings, logements de groupes et chalets. Le chiffre d'affaires du Pays du St-Bernard est d'environ 30 millions de francs pour l'année 2007. Les résultats du sondage distribué auprès d'un échantillon d'une centaine de personnes montrent que la qualité des infrastructures est jugée globalement comme « Satisfaisante » par la clientèle. 76% des sondés répondent être prêts à renouveler leur séjour dans l'une des stations du PSB. De même 85% prétendent recommander cette destination à leur famille, amis ou collègues. De plus, 48% affirment pouvoir dépenser entre SFr. 26.-- et SFr. 50.-- par jour et par personne pour des activités. En revanche, un nombre important de personnes interrogées mentionne le fait que la station manque d'activités sportives ou de manifestations. Ce constat est confirmé par une étude réalisée par le BAK Basel Economics, qui qualifie la diversité de l'offre estivale comme étant un facteur clef de succès pour une station de montagne. C'est pourquoi, 18 nouvelles activités ont été proposées aux touristes. Cinq d'entre elles sont particulièrement désirées puisqu'elles sont demandées par plus de 40% des clients. Des estimations financières sont présentées pour chacune des cinq premières activités ressortant du sondage : minigolf, bowling, initiation à la botanique, pétanque ainsi que sentier suspendu. Le minigolf et le sentier suspendu sont des animations demandant un investissement relativement important, entre SFr. 40'000.-- et SFr. 127'000.-- pour la construction d’un minigolf, et environ SFr. 168'000.-- pour la construction d’un parc aventure (en fonction du nombre de postes construits) mais dégageant des cash flows positifs de plusieurs milliers de francs. Le chiffre d'affaires au point mort est atteint lorsque 2'748 entrées sont comptabilisées pour le minigolf et 5'488 entrées pour le sentier suspendu. La pétanque et l'initiation à la botanique sont deux activités qui nécessitent un faible investissement mais intéressent plus de 43% de la clientèle de Champex-Lac. Actuellement, aucune autre station étudiée ne donne la possibilité de participer à des conférences sur la botanique. La construction d'un bowling se révèle être, à l'heure actuelle, un projet complètement irréaliste en raison de l'énorme investissement qu'il implique. Celui-ci peut dépasser les 2 millions de francs. Afin d'améliorer la rentabilité de ces activités il convient de les regrouper avec des animations existantes dans le but de générer des synergies de coûts et revenus. De même des forfaits peuvent être proposés de sorte à inciter les clients à pratiquer plusieurs activités à la suite. Mais également, la communication doit être renforcée afin d'informer davantage les touristes sur les nombreuses activités proposées. Installer des panneaux directionnels ou plans de la station sur des lieux de forte affluence permet d'indiquer où se situent les attractions. De même des « circuits » peuvent être développés afin que les personnes fréquentant la station visitent davantage les infrastructures existantes
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