17 research outputs found

    Cycle sédimentaire et vertébrés d'une formation peu connue du Bassin de Paris, l'unité des Sables de Bourguillemont (Oise, France) (PaléocÚne supérieur)

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    Les Sables de Bourguillemont (Thanétien), associés aux calcaires sus-jacents, apparaissent comme une séquence complÚte. Des vertébrés sont cités pour la premiÚre fois de la localité éponyme de cette formation. Ces restes de vertébrés représentés par des dents, des vertÚbres et des écailles ont permis d\u27identifier 10 taxons d\u27élasmobranches (Carcharias hopei (Agassiz, 1843), Striatolamia striata (Winkler, 1874), Anomotodon aff. novus (Winkler, 1874), Palaeohypotodus rutoti (Winkler, 1874), Physogaleus secundus (Winkler, 1874), Palaeogaleus vincenti (Daimeries, 1888), Megasqualus orpiensis (Winkler, 1874), Squatina sp., Myliobatis sp., Burnhamia sp.), cinq taxons d\u27actinoptérygiens (Lepisosteidae gen. et sp. indet. et quatre Teleostei indéterminés) et un crocodile indéterminé de petite taille. Ces données confirment la position des Sables de Bourguillemont au sein du Thanétien supérieur.The Sables de Bourguillemont (Thanetian), associated with the overlying carbonates, appear as a complete sequence. Vertebrates are cited for the first time from the eponymous locality of this formation. Vertebrate remains are represented by teeth, vertebrae, and scales. These fossils have permitted the identification of 10 elasmobranch taxa (Carcharias hopei (Agassiz, 1843), Striatolamia striata (Winkler, 1874), Anomotodon aff. novus (Winkler, 1874), Palaeohypotodus rutoti (Winkler, 1874), Physogaleus secundus (Winkler, 1874), Palaeogaleus vincenti (Daimeries, 1888), Megasqualus orpiensis (Winkler, 1874), Squatina sp., Myliobatis sp., Burnhamia sp.), five actinopterygian taxa (Lepisosteidae gen. et sp. indet. and four indeterminate Teleostei) and a small crocodile. These data confirm the position of the Sables de Bourguillemont within the upper Thanetian.</p

    Detrital input quantification in lacustrine petroleum systems: An example of the pre‐salt source rocks from the lower Congo Basin (Congo)

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    International audienceThis study describes an integrated workflow designed to quantify detrital input into lacustrine deposits in terms of regional extent and total organic carbon content. This workflow includes (1) organic geochemical data such as Rock Eval and palynofacies and (2) palaeogeographical maps

    Cycle sédimentaire et vertébrés d'une formation peu connue du Bassin de Paris, l'unité des Sables de Bourguillemont (Oise, France) (PaléocÚne supérieur)

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    Dutheil, Didier B., Moreau, Fabrice, Delhaye-Prat, Vincent (2002): Cycle sédimentaire et vertébrés d'une formation peu connue du Bassin de Paris, l'unité des Sables de Bourguillemont (Oise, France) (PaléocÚne supérieur). Geodiversitas 24 (4): 753-764, DOI: http://doi.org/10.5281/zenodo.537753

    GĂ©ologie et palĂ©ontologie de l’ambre du Congo, le premierambre crĂ©tacĂ© fossilifĂšre d’Afrique

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    National audienceL’ambre est une formidable source de donnĂ©es pour la reconstitution des Ă©cosystĂšmesterrestres anciens, mais sa distribution gĂ©ographique et stratigraphique demeurelacunaire. En Afrique, l’ambre est relativement rare et le plus souvent dĂ©pourvud’inclusions organiques fossiles. Le premier ambre crĂ©tacĂ© fossilifĂšre africain,dĂ©couvert rĂ©cemment dans la chaine du Mayombe, en RĂ©publique du Congo, estprĂ©sentĂ© ici.L’ambre s’est accumulĂ© avec des dĂ©bris vĂ©gĂ©taux dans le terme argilo-dolomitique quiconstitue la partie supĂ©rieure de la Formation ChĂ©la (un Ă©quivalent du membre Vembode la Formation Gamba du Gabon) et datĂ© de l’Aptien moyen par l’étude de soncontenu micropalĂ©ontologique (palynomorphes et ostracodes). La caractĂ©risation del’ambre par thermochimiolyse couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse (THM-GC-MS)indique une rĂ©sine de classe Ib typique des gymnospermes, et plus particuliĂšrement desfamilles de conifĂšres Araucariaceae, Cupressaceae, Podocarpaceae, etCheirolepidiaceae. Les bois fossilisĂ©s trouvĂ©s avec l’ambre sont attribuables aux genresAgathoxylon et Brachyoxylon, tandis que les gen- res Araucariacites et Classopollis(ce dernier abondant) sont prĂ©sents parmi les palynomorphes, suggĂ©rant uneAraucariaceae ou une Cheirolepidiaceae comme plante source de la rĂ©sine.L’ambre du Congo se prĂ©sente majoritairement sous la forme de galets de couleur rougesombre, peu translucides. La prospection et l’étude d’inclusions fossiles, rĂ©alisĂ©es aumoyen de la microscopie standard et de l’imagerie synchrotron, ont permis ladĂ©couverte d’une faune diversifiĂ©e d’arachnides (Acari: Gustavioidea, Anystoidea;Araneae), d’insectes (Hyme- noptera: Evaniidae, Platygastroidea; Hemiptera:Aleyrodidae; Psocoptera: Trogiomorpha; Diptera: Chironomidae), ainsi que denombreux dĂ©bris vĂ©gĂ©taux, fongiques, et bactĂ©riens. Certaines de ces inclusions et laforme en galet des morceaux d’ambre suggĂšrent un piĂ©geage dans la rĂ©sineprĂ©fĂ©rentiellement au niveau du sol.Les Ă©tudes sĂ©dimentologiques et taphonomiques indiquent un dĂ©pĂŽt de l’ambre et desdĂ©bris vĂ©gĂ©taux en milieu lacustre, dans un bassin interne connectĂ© Ă©pisodiquement Ă l’ocĂ©an, et sous un palĂ©oclimat chaud avec une saisonnalitĂ© marquĂ©e

    GĂ©ologie et palĂ©ontologie de l’ambre du Congo, le premierambre crĂ©tacĂ© fossilifĂšre d’Afrique

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    National audienceL’ambre est une formidable source de donnĂ©es pour la reconstitution des Ă©cosystĂšmesterrestres anciens, mais sa distribution gĂ©ographique et stratigraphique demeurelacunaire. En Afrique, l’ambre est relativement rare et le plus souvent dĂ©pourvud’inclusions organiques fossiles. Le premier ambre crĂ©tacĂ© fossilifĂšre africain,dĂ©couvert rĂ©cemment dans la chaine du Mayombe, en RĂ©publique du Congo, estprĂ©sentĂ© ici.L’ambre s’est accumulĂ© avec des dĂ©bris vĂ©gĂ©taux dans le terme argilo-dolomitique quiconstitue la partie supĂ©rieure de la Formation ChĂ©la (un Ă©quivalent du membre Vembode la Formation Gamba du Gabon) et datĂ© de l’Aptien moyen par l’étude de soncontenu micropalĂ©ontologique (palynomorphes et ostracodes). La caractĂ©risation del’ambre par thermochimiolyse couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse (THM-GC-MS)indique une rĂ©sine de classe Ib typique des gymnospermes, et plus particuliĂšrement desfamilles de conifĂšres Araucariaceae, Cupressaceae, Podocarpaceae, etCheirolepidiaceae. Les bois fossilisĂ©s trouvĂ©s avec l’ambre sont attribuables aux genresAgathoxylon et Brachyoxylon, tandis que les gen- res Araucariacites et Classopollis(ce dernier abondant) sont prĂ©sents parmi les palynomorphes, suggĂ©rant uneAraucariaceae ou une Cheirolepidiaceae comme plante source de la rĂ©sine.L’ambre du Congo se prĂ©sente majoritairement sous la forme de galets de couleur rougesombre, peu translucides. La prospection et l’étude d’inclusions fossiles, rĂ©alisĂ©es aumoyen de la microscopie standard et de l’imagerie synchrotron, ont permis ladĂ©couverte d’une faune diversifiĂ©e d’arachnides (Acari: Gustavioidea, Anystoidea;Araneae), d’insectes (Hyme- noptera: Evaniidae, Platygastroidea; Hemiptera:Aleyrodidae; Psocoptera: Trogiomorpha; Diptera: Chironomidae), ainsi que denombreux dĂ©bris vĂ©gĂ©taux, fongiques, et bactĂ©riens. Certaines de ces inclusions et laforme en galet des morceaux d’ambre suggĂšrent un piĂ©geage dans la rĂ©sineprĂ©fĂ©rentiellement au niveau du sol.Les Ă©tudes sĂ©dimentologiques et taphonomiques indiquent un dĂ©pĂŽt de l’ambre et desdĂ©bris vĂ©gĂ©taux en milieu lacustre, dans un bassin interne connectĂ© Ă©pisodiquement Ă l’ocĂ©an, et sous un palĂ©oclimat chaud avec une saisonnalitĂ© marquĂ©e

    African fossiliferous amber: a review

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    International audienceAmber has only rarely been found in Africa and the few known occurrences aremostly devoid of organic inclusions. The first fossiliferous African amber wasreported a few years ago from Ethiopia, and was considered to be early LateCretaceous in age (Cenomanian, ~93-95 Ma). However, recent investigation ofadditional amber material and associated sediment questions the previously assumedage and provides compelling evidence that Ethiopian amber is Cenozoic, likelyMiocene. Support for this dating is based on both new and revised palynologicaland palaeoentomological data. Insect fossils mostly belong to extant families andgenera. A particular reference to ants (Hymenoptera: Formicidae) is made here, withthe report of 51 individuals assignable to new extinct species of Dolichoderinae(e.g. Technomyrmex), Formicinae, Myrmicinae (e.g. Melissotarsus, Carebara),Ponerinae and Pseudomyrmecinae (e.g. Tetraponera). Chemical analysis indicatesthat Ethiopian amber belongs to the Class le ambers typical of Fabaceae (althoughthe earliest record of a Class le amber dates back to the Carboniferous) and waspresumably produced by the genus Hymenaea, similar to East African Pleistocenecopals and Neotropical Miocene' ambers. Although much younger than previouslysuggested, fossils in Ethiopian amber remain highly relevant as Miocene insects areexceedingly rare in Africa.The recent discovery of a new deposit offossiliferous amber is also reportedhere, from the Early Cretaceous (Aptian, 113-117 Ma) of Congo-Brazzaville.Chemically, Congolese amber belongs to the Class Ib typical of conifers, and thefamily Cheirolepidiaceae is assumed to be the plant source. Amber nodules are darkred in colour, with large pieces reaching up to 12 cm. The search for organismicinclusions using conventional optical techniques is limited by the opacity of theamber, but diverse arthropods and plant remains have already been found in fewmore translucent pieces. A large survey using synchrotron imaging will be necessaryto evaluate the overall biodiversity of Congolese amber, the only fossiliferous amberfrom the Cretaceous of Africa to date
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