47 research outputs found

    The Innovation Output Indicator 2016: Methodology Update

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    This technical report presents the 2016 update of the Innovation Output Indicator (IOI), the latest scores for the composite index and for the underlying indicators. It also discusses in details how changes in the statistical definition of some of the underlying indicators affect the methodology and results. We recall that the IOI was developed by the European Commission at the request of the European Council in order to benchmark national innovation policies and to monitor the EU’s performance against its main trading partners. The IOI is a composite of four indicators and measures the extent to which ideas stemming from innovative sectors are capable of reaching the market, providing better jobs and making Europe more competitive. It covers technological innovation, skills in knowledge-intensive activities, the competitiveness of knowledge-intensive goods and services, and the innovativeness of fast-growing enterprises. It complements the R&D intensity indicator by focusing on innovation output. It aims to support policy-makers in establishing new or reinforced actions to remove bottlenecks preventing innovators from translating ideas into successful goods and services. This 2016 edition of the IOI offers a number of novelties. It expands international coverage to Israel, New Zealand and Brazil (altogether 38 countries are now compared over a 4-year time frame). It implements changes in statistical definitions in national accounts (ESA2010) and international service trade statistics (BPM6), affecting PCT and SERV components, and uses updated innovation coefficients (CIS2010 as opposed to CIS2008) for the DYN scores, and updates scaling coefficients fitting the larger, updated dataset. The report addresses the issue of improving timeliness by using most recent data available for KIABI, GOOD and SERV. Sensitivity analysis highlights that the revision of SERV has the largest impact on outcomes.JRC.DDG1.01-Econometrics and applied statistic

    Clinical Heterogeneity in Patients With FOXP3 Mutations Presenting With Permanent Neonatal Diabetes

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    OBJECTIVE—Immune dysregulation, polyendocrinopathy, enteropathy, X-linked (IPEX) syndrome is caused by FOXP3 mutations. We aimed to determine the prevalence, genetics, and clinical phenotype of FOXP3 mutations in a large cohort with permanent neonatal diabetes (PNDM)

    Border Crossing to Inject Drugs in Mexico Among Injection Drug Users in San Diego, California

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    We examined correlates of ever injecting drugs in Mexico among residents of San Diego, California. From 2007 to 2010, injecting drug users (IDUs) in San Diego underwent an interviewer-administered survey. Logistic regression identified correlates of injection drug use in Mexico. Of 302 IDUs, 38% were Hispanic, 72% male and median age was 37; 27% ever injected in Mexico; 43% reported distributive syringe sharing there. Factors independently associated with ever injecting drugs in Mexico included being younger at first injection, injecting heroin, distributive syringe sharing at least half of the time, and transporting drugs over the last 6 months. One-quarter of IDUs reported ever injecting drugs in Mexico, among whom syringe sharing was common, suggesting possible mixing between IDUs in the Mexico-US border region. Prospective studies should monitor trends in cross-border drug use in light of recent Mexican drug policy reforms partially decriminalizing drug possession

    Milestones in the Observations of Cosmic Magnetic Fields

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    Magnetic fields are observed everywhere in the universe. In this review, we concentrate on the observational aspects of the magnetic fields of Galactic and extragalactic objects. Readers can follow the milestones in the observations of cosmic magnetic fields obtained from the most important tracers of magnetic fields, namely, the star-light polarization, the Zeeman effect, the rotation measures (RMs, hereafter) of extragalactic radio sources, the pulsar RMs, radio polarization observations, as well as the newly implemented sub-mm and mm polarization capabilities. (Another long paragraph is omitted due to the limited space here)Comment: Invited Review (ChJA&A); 32 pages. Sorry if your significant contributions in this area were not mentioned. Published pdf & ps files (with high quality figures) now availble at http://www.chjaa.org/2002_2_4.ht

    IN VITRO THYROTROPIN-INDUCED PROTEOLYSIS IN THE THYROID GLAND*

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    Une note de service relative aux conditions de transport en caisse des chevreaux abrogé

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    Cette étude vise à évaluer l’impact de la hauteur des caisses et de la densité des chevreaux sur leur stress lors du transport. Trois types de caisses ont été utilisées : T37-5 (Longueur = 93 cm, largeur = 54, Hauteur = 37), T42-5 (L 110, l 57 H 42), T65-6 (L 110, l 57, H 65). Dans les cages les plus hautes, il y avait soit 5 chevreaux (T65-5), soit 6 (T65-6). La moitié des chevreaux mis en caisse ont été transportés, les autres non. Des indicateurs physiologiques et comportementaux ont été mesurés avant et après la contention dans les caisses. Lorsque les chevreaux peuvent se lever et lever la tête dans les caisses, ils sont aussi souvent debout que lorsqu’ils sont hors des caisses. Lorsque la contention ne le leur permet pas, ils surexpriment ce comportement après la contention. Depuis mars 2013, la Direction générale de l’Alimentation du ministère de l’Agriculture a abrogé une note de service de 2004 qui accordait une dérogation aux obligations du règlement. Le transport des chevreaux en caisses reste possible, sous réserve que celles-ci soient aménagées conformément aux exigences réglementaires, notamment en termes de hauteur

    Pas de bien-être possible pour les animaux élevés dans des conditions intensives

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    International audienceL’état de bien-être de l’animal suppose « un état mental et physique positif lié à la satisfaction de ses besoins physiologiques et comportementaux ainsi que de ses attentes » selon la définition de l’ANSES (2018). Les animaux d’élevage ont de grandes capacités émotionnelles et socio-cognitives. Ils peuvent ressentir de nombreuses émotions telles que la peur, la colère, la déception, l’ennui, le dégoût ou encore le plaisir. Leurs capacités d’évaluation de leur environnement reposent sur de nombreuses compétences cognitives (catégorisation, manipulation de quantités, raisonnement par inférence, etc.) et sociales (reconnaissance des congénères, liens sociaux, etc.).Prendre en compte la sensibilité émotionnelle et les capacités socio-cognitives des animaux d’élevage est indispensable pour mettre en place des conditions de vie favorisant leur bien-être. Cela implique notamment que leur environnement physique et social réponde réellement à leurs besoins et leurs attentes, et que les animaux puissent exercer un contrôle sur cet environnement. Cependant, dans le cas des systèmes d’élevage intensifs, systèmes qui visent une productivité maximale par unité de surface, les conditions de vie des animaux ne leur permettent pas d’exprimer leur répertoire comportemental et sont à l’origine de désordres physiques et psychologiques (https://revue-sesame-inrae.fr/ameliorer-le-bien-etre-des-animaux-delevage-est-ce-toujours-possible/). Il existe donc un grand écart entre les conditions de vie proposées aux animaux et celles qui pourraient être attendues en conséquence de leurs capacités socio-cognitives et émotionnelles.Certains de nos travaux ont permis de proposer des solutions pour améliorer ces conditions de vie, mais celles-ci sont peu ou pas appliquées en raison de leur coût et d’une potentielle baisse de rentabilité. Nos travaux de recherche ont permis de faire avancer les connaissances sur les animaux, de montrer que la sensibilité psychique des animaux d’élevage doit être respectée, mais ils ont aussi parfois servi de caution scientifique à des productions intensives. Il nous appartient donc de nous questionner sur les types d’élevage qui permettent réellement une amélioration de la qualité de vie des animaux, mais aussi des éleveurs et des éleveuses, et ce, dans le respect de l’environnement. Puisque le bien-être des animaux n’est pas possible dans certains systèmes, il s’agit de réfléchir au moyen faire évoluer les pratiques, les systèmes et les filières pour élever les animaux dans des conditions respectueuses de leur bien-être
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