31 research outputs found

    Intérêt et tolérance de la biopsie pulmonaire chirurgicale au lit des patients ventilés porteurs d'une pneumopathie interstitielle diffuse

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Place du médecin généraliste dans la prise en charge des patients en cours de chimiothérapie (enquête auprès des patients de l hôpital de jour du CHR d Annecy)

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    Dans un contexte où la demande de soins en oncologie est de plus en plus forte, le plan cancer 2009-2013 prévoit de mieux impliquer le généraliste dans le parcours de soin du patient cancéreux. L objectif est de faire un état des lieux des relations entre le généraliste et son patient en cours de chimiothérapie et d évaluer les attentes et les réticences des patients envers leur généraliste durant la phase active des traitements. Nous évaluons les patients à l aide d un questionnaire. Pour être inclus dans l étude les patients doivent avoir réalisé plus de 3 cures et doivent être diagnostiqués depuis plus de 3 mois. 29% des patients diagnostiqués depuis moins de 6 mois n ont pas consulté leur généraliste depuis le début de la chimiothérapie. 49% ne le consultent pas plus fréquemment. 44% estiment que leur généraliste ne participe pas au suivi spécifique oncologique. Cependant, 67% affirment souhaiter un suivi partagé entre oncologue et généraliste. L attente principale des patients est la gestion par le généraliste des effets secondaires liés aux traitements. Parmi les patients ne souhaitant pas un suivi partagé entre oncologue et généraliste, 66% pensent qu il est inutile de consulter un généraliste à cette période de la maladie. Il apparaît ainsi que le généraliste est mal intégré durant la phase thérapeutique active. L élaboration de protocoles de suivi partagé entre oncologues et généralistes permettrait une meilleure intégration de ces derniers dans le parcours de soin des patients cancéreux.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Utilisation de l index de masse corporelle par le médecin généraliste dans le suivi des patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive (enquête auprès des médecins généralistes du bassin annécien)

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    Manger mieux, bouger plus , deux principes simples qui néanmoins font partis des piliers de la réhabilitation respiratoire chez le patient BPCO. La dénutrition est un facteur de mauvais pronostic dans la BPCO. Intervenir dès les premiers stades permet d améliorer la qualité de vie des patients et l évolution de la maladie. Le médecin généraliste, interlocuteur privilégié au plus près du domicile des patients, peut jouer un rôle clef dans le dépistage, la prévention et la prise en charge de la dénutrition chez ces patients. Dans ce contexte, une étude à partir de questionnaires auprès de 215 généralistes du bassin annécien a permis d évaluer si l IMC et l état nutritionnel des patients atteints de BPCO sont des items utilisés et surveillés en pratique courante. Bien que simple et reproductible, le calcul de l IMC n est pas réalisé de façon systématique. Par ailleurs face à une obésité, tous les médecins reconnaissent prodiguer des conseils alimentaires ou proposer un suivi diététique alors que seulement la moitié agit face à un patient dénutri. Méconnaissance ou manque de formation sont peut être à l origine de ce constat. Dans un second temps, nous avons tenté de dresser un profil des patients BPCO du bassin annécien. Ces derniers, eux aussi, semblent peu préoccupés par leur état nutritionnel. Moins de la moitié pratiquent une activité physique régulière et la plupart refusent un suivi spécifique. Sensibiliser et éduquer les patients, former ou reformer les médecins, développer les moyens techniques et humains permettant de placer la réhabilitation pulmonaire au centre de la prise en charge de la BPCO, semblent des points essentiels.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Epidemiology and treatment costs of bone metastases from lung cancer: a French prospective, observational, multicenter study (GFPC 0601).

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    International audienceINTRODUCTION: The aim of this prospective, observational, multicenter study was to examine the epidemiology and management costs of bone metastatic disease (BMD) in patients with lung cancer. METHODS: The analysis included all patients with BMD from lung cancer diagnosed between May 2006 and May 2007 in 40 centers. We analyzed their management and the direct costs of BMD from the health care provider's perspective, using a Markov model. Skeletal-related event (SRE) was defined as pathological fractures, spinal cord compression, or hypercalcemia (clinical SRE [cSRE]) for an initial analysis; a second analysis included palliative radiotherapy and surgery (therapeutic SRE [tSRE]). RESULTS: Among the 554 patients enrolled (62 ± 11 years, 76.5% males, 69.3% performance status 0/1, 91% non-small cell lung cancer), 24.7% had a cSRE and 26.7% a tSRE at baseline and 9% and 39% during follow-up, respectively; 81.8% received at least one chemotherapy cycle. The median survival time was 5.8 months, and the 1- and 2-year survival rates were 22% and 7%, respectively; there was no significant difference in overall survival between the patients with and without SRE at enrollment. The main BMD treatments were opiate therapy (77.7%), biphosphonates (52.3%), radiotherapy (42.1%), and surgery (9.2%). The mean monthly BMD treatment costs in euros were €190, €374, and €4672 for asymptomatic patients, symptomatic patients, and patients with SRE, respectively. The average first-year BMD management cost in euros was €3999 ± 4135 (95% confidence interval: 374-15,886), and 49.5% of this cost was attributable to patients with SRE. CONCLUSIONS: This analysis confirms the poor prognosis of BMD from lung cancer and underlines the burden of SRE in overall treatment costs

    MĂ©tastases osseuses du cancer du poumon : un paradigme de la prise en charge pluridisciplinaire onco-rhumatologique

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    International audienceL’os est la troisième localisation métastatique par ordre de fréquence après le foie et le poumon. Les métastases osseuses intéressent un cancer bronchopulmonaire sur trois et sont généralement ostéolytiques. Les métastases osseuses ostéolytiques sont à l’origine de fractures pathologiques du rachis et des os longs qui entraînent une restriction de la mobilité, le recours à la chirurgie et un risque de compression médullaire. Les métastases osseuses s’accompagnent d’une altération marquée de la qualité de vie et de surcoûts de santé importants. Au cours des dernières années, la RCP métastases osseuses ou RCP d’oncologie osseuse secondaire (RCP-OOS) a été mise en place dans le but de proposer, pour chaque patient, une prise en charge optimale des métastases osseuses en harmonie avec la prise en charge antitumorale. Dans cette revue, nous allons évoquer les différents aspects de la prise en charge des métastases osseuses regroupant le diagnostic et l’évaluation (TDM, scintigraphie osseuse au Technétium 99 m, TEP-FDG-(18F) et biopsie osseuse permettant le diagnostic moléculaire), les traitements osseux systémiques (acide zolédronique et dénosumab) et les traitements locaux (radiologie interventionnelle et radiothérapie). Les stratégies chirurgicales seront abordées dans un autre travail. À partir des référentiels Auvergne Rhône-Alpes en oncologie thoracique, édition 2017, nous présentons ici un arbre décisionnel pour aider les médecins dans la mise en place d’une stratégie personnalisée locomotrice pour chaque patient
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