51 research outputs found

    The Effect of Structural Complexity, Prey Density, and “Predator-Free Space” on Prey Survivorship at Created Oyster Reef Mesocosms

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    Interactions between predators and their prey are influenced by the habitat they occupy. Using created oyster (Crassostrea virginica) reef mesocosms, we conducted a series of laboratory experiments that created structure and manipulated complexity as well as prey density and “predator-free space” to examine the relationship between structural complexity and prey survivorship. Specifically, volume and spatial arrangement of oysters as well as prey density were manipulated, and the survivorship of prey (grass shrimp, Palaemonetes pugio) in the presence of a predator (wild red drum, Sciaenops ocellatus) was quantified. We found that the presence of structure increased prey survivorship, and that increasing complexity of this structure further increased survivorship, but only to a point. This agrees with the theory that structural complexity may influence predator-prey dynamics, but that a threshold exists with diminishing returns. These results held true even when prey density was scaled to structural complexity, or the amount of “predator-free space” was manipulated within our created reef mesocosms. The presence of structure and its complexity (oyster shell volume) were more important in facilitating prey survivorship than perceived refugia or density-dependent prey effects. A more accurate indicator of refugia might require “predator-free space” measures that also account for the available area within the structure itself (i.e., volume) and not just on the surface of a structure. Creating experiments that better mimic natural conditions and test a wider range of “predator-free space” are suggested to better understand the role of structural complexity in oyster reefs and other complex habitats

    Uranium distribution of a lake sediments in a former mining area

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    During uranium mining activities in Limousin, waters from the mines have been processed and sent back to environment, leading to the deposition of important quantities of radio-elements of uranium series in the sediments of a lake. While the lake was drained, surface and core samples have been collected for analysis using gamma spectrometry. 238U activities as important as 20 000 Bq/Kg have been measured in surface sediments. The mapping of 238U in surface sediments and the analysis of 238U, 226Ra and 210Pb activities in the cores show that the transfer of radio-elements from waters to sediments is mainly due to solid particles carried by the river into the lake

    Uranium distribution of a lake sediments in a former mining area

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    Des traces à l’électronique – Contribution de l’université de Limoges à la détection des rayonnements ionisants

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    Cette contribution décrit les objectifs, méthodes et résultats de plus de vingt années de recherches à l’Université de Limoges sur l’interaction rayonnement-matière. Les aspects fondamentaux et les applications à la détection et la dosimétrie sont abordés. D’autres sujets, tels que la modification des propriétés optiques des matériaux sous irradiation et les applications à l’optique intégrée ne sont que survolés. Sur le sujet de la détection des rayonnements, les auteurs partent de l’utilisation des polymères en tant de détecteurs pour aboutir à l’électronique intégrée. La conception des circuits intégrés silicium dédiés à la détection, la caractérisation et la dosimétrie des neutrons est décrite. On explique également comment la conception et la technologie du circuit intégré (capteur et électronique de traitement du signal) sont fortement dépendantes de l’interaction des neutrons. La nécessité d’associer une spectrométrie à la dosimétrie des neutrons est mise en évidence, et l’étude d’une solution globale basée sur un détecteur sandwich est détaillée car elle n’a jamais été publiée. Finalement, l’implication du laboratoire dans l’étude de la dissémination des radioéléments naturels en environnement liée aux activités passées des mines d’uranium est abordée. Le développement d’activités de mesure et d’expertise de radioactivité et de rayonnements nucléaires dans le cadre de la norme ISO 17025 et sous accréditation COFRAC est enfin décrit

    Spectromètre de mesures diélectriques automatisé dans le domaine de température (77 K - 380 K) et dans l'intervalle continu de fréquence (500 Hz -1 MHz)

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    We describe an automatic apparatus for dielectric measurements ; the samples, either solids or liquids, are studied in the [500 Hz-1 MHz] frequency range and for a temperature varing between 77 K and 380 K. The exploitation of results is particularly easy ; as an example, related to two samples, we give the curves ε = f (T, v) which sum in a three dimensional representation the dielectric parameters (ε' and ε") versus temperature and frequency.Nous décrivons un dispositif de mesures diélectriques automatisé ; les échantillons, solides ou liquides, peuvent être étudiés en fréquence entre 500 Hz et 1 MHz pour une température variant entre 77 K et 380 K. L'exploitation des résultats est particulièrement rapide ; à titre d'exemple, nous donnons pour deux corps les courbes ε = f (T, v) qui condensent dans une représentation à trois dimensions les variations des paramètres diélectriques (ε' et ε") en fonction de la température et de la fréquence

    Exposition aux rayonnements d’origine naturelle tellurique et cosmique : les études franco-tchèques

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    La collaboration de l’Institut de physique nucléaire de l’Académie des sciences de la République tchèque (IPN AS RTch) avec les laboratoires français de recherche en dosimétrie a commencé durant les années 1970. Pendant plusieurs années, elle s’est concentrée sur les sujets liés à la dosimétrie des neutrons. Les premières études concernaient l’utilisation des détecteurs thermoluminescents (DTL) dans les champs mixtes neutron-gamma (Spurný et al., 1976). Par la suite, elles se sont surtout orientées vers l’utilisation des détecteurs solides de traces (Spurný et al., 1987 ; Portal et al., 1986). Toutes ces études ont été menées en collaboration avec le Service de dosimétrie de l’Institut de protection et de sûreté nucléaire et une équipe de l’université de Limoges (Spurný et al., 1995).  Depuis le début des années 1990, la collaboration entre l’IPN et les laboratoires français s’est focalisée sur les problèmes liés à l’exposition aux rayonnements d’origine naturelle cosmique et tellurique
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