26 research outputs found

    Prise en charge du malade parkinsonien (rĂ´le du pharmacien d'officine)

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    CAEN-BU Médecine pharmacie (141182102) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Alimentation de l'enfant de 0 à 24 mois (évaluation des pratiques en médecine générale dans le département du Puy-de-Dôme)

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    L'objectif est de comparer les pratiques et conseils des médecins généralistes du Puy-de-Dôme aux recommandations actuelles concernant l'alimentation du nourrisson. Il s'agit d'une enquête épidémiologique descriptive auprès de 300 médecins généralistes, contactés par téléphone. Les questions portent sur 3 thèmes : l'allaitement maternel, artificiel, et la diversification alimentaire. Trois à 4 questions sont considérées comme représentatives de chaque thème et déterminent la conformité de son ensemble. 116 médecins ont répondu sur 300 (39 femmes et 77 hommes). 28% ont répondu correctement pour l'allaitement maternel, 25% pour l'allaitement artificiel et 35% pour la diversification. Les recommandations relatives à l'allaitement maternel sont davantage suivies par les généralistes féminins, les jeunes médecins, ceux récemment installés et voyant plus de 5 nourrissons par semaine. Les recommandations sur l'allaitement artificiel sont observées par les praticiens ayant suivi une FMC et ceux ayant plus de 2 enfants. Les recommandations concernant la diversification sont mieux connues des jeunes généralistes et ceux voyant plus de 5 nourrissons par semaine. Tous les généralistes reconnaissent au moins un avantage à l'allaitement au sein. Les qualités immunitaires et nutritionnelles viennent en premier. L'inconvénient majeur évoqué est l'incommodité de ce type d'allaitement. La reprise du travail inciterait au sevrage précoce. 63% des médecins contre-indiquent l'allaitement maternel à bon escient, mais les a priori résistent. Les conseils prodigués lors d'une sécrétion lactée insuffisante, pour le sevrage ou la prescription des vitamines K, D et le fluor rejoignent les recommandations à plus de 60% des cas. La quantité de préparation pour nourrisson est adaptée à l'âge et au poids de l'enfant dans 50% des réponses. Les préparations de suite font relais à point nommé, dans 88% des cas. En revanche, le lait de vache natif est introduit prématurément dans 44% des réponses et le lait de croissance n'est pas suffisamment conseillé. Les préparations "HA" et "AR", sont utilisées à bon escient. La diversification est débutée à l'âge approprié (en moyenne à 5,3 mois) et adapté en cas de risque allergique. En revanche, les farines sans gluten sont introduites trop précocement et des a priori subsistent au sujet des poissons, œufs, viandes rouges, et préparations industrielles. En conclusion, les pratiques des généralistes peuvent s'améliorer. Le besoin de formation est donc réel et les séances de FCM sont plébiscitées.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Introduction

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    L’ethnomusicologie s’est développée au début du siècle dernier par l’analyse de productions musicales dont l’essentiel émanait de groupes spécifiques encore peu marqués par la modernité. Les mutations profondes des sociétés contemporaines obligent les chercheurs à considérer de nouvelles réalités et à en mesurer les impacts sur les pratiques musicales. Parmi ces phénomènes, la mondialisation, le développement fulgurant des communications, la création et l’étalement de l’espace musical virtuel..

    Factors associated with screening for glucose abnormalities after gestational diabetes mellitus: Baseline cohort of the interventional IMPACT study

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    Introduction. - Although it is important to screen women who have had gestational diabetes mellitus (GDM) for abnormal post-partum glucose levels, such testing is rarely performed. The aim of this study was to use data from the first observational phase of the IMPACT study to determine rates of screening within 6 months of delivery in a multiethnic cohort, focusing in particular on the effects of social deprivation and the risk of future diabetes. Patients and methods. - To investigate the frequency of post-partum screening, charts were analyzed, and all women attending four centres located in a deprived area who had had GDM between January 2009 and December 2010 were contacted by phone. The Evaluation of Precarity and Inequalities in Health Examination Centres (EPICES) deprivation index and Finnish Diabetes Risk Score (FINDRISK) questionnaire were also evaluated. Results. - Data were evaluable for 589 of the 719 women contacted (mean age: 33.4 +/- 5.2 years; mean body mass index: 27.6 +/- 5.4 kg/m(2)), and 196 (33.3%) reported having been screened. On multivariate analysis, factors associated with a lack of screening were smoking [odds ratio (OR): 0.42 (0.20-0.90), P<0.05], low consumption of fruit and vegetables [OR: 0.58 (0.39-0.82), P<0.01] and heavier offspring birth weight (P<0.05), although there were no differences in FINDRISK and EPICES scores between screened and unscreened women. Conclusion. - One-third of women who had had GDM reported having been screened for dysglycaemia at 6 months post-partum. However, it is expected that the interventional phase of the IMPACT study will increase screening rates, especially in women with the risk factors associated with lower screening rates during this observational phase

    Vingt-cinq ans d'études féministes

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     Cette publication rassemble une grande partie des communications présentées lors du colloque « Vingt-cinq ans d'études féministes : l'expérience Jussieu » qui s'est tenu le 14 novembre 1997 à l'Université Paris 7 - Denis Diderot

    Les organisations utopiennes

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    Ce dossier, coordonné par Céline Bryon-Portet et Daniel Keller, est consacré aux utopies caractéristiques qui traversent la modernité et la postmodernité, à partir d’essais théoriques ou d’études de cas empiriques. Les textes rassemblés ici privilégient la présentation de ce type d’utopies « pratiquées » ou « concrètes » chères à Jean Séguy et à Ernst Bloch, et dont nous pouvons relever la présence au sein de certaines technopoles, entreprises, institutions publiques, ONG, organisations religieuses et sociétés secrètes, mais aussi à travers des mouvements sociopolitiques, des pratiques culturelles ou professionnelles, des réseaux numériques, des dispositifs techniques ou encore des aménagements urbains… Ils questionnent leurs enjeux et leurs finalités, leurs acteurs et leurs outils, leurs principes fondateurs, leurs discours et leur image, leurs modes d’organisation et de communication… La notion d’utopie a connu un formidable succès depuis 1516, date à laquelle Thomas More publia son célèbre ouvrage, dépeignant le gouvernement et le mode de vie des habitants d’une île imaginaire, baptisée Utopia. Nombreux furent les auteurs qui emboitèrent le pas de l’écrivain anglais et offrirent au public des récits décrivant des sociétés parfaites : Francis Bacon (La Nouvelle Atlantide), Tommaso Campanella (La Cité du Soleil), Étienne Cabet (Voyage en Icarie), et tant d’autres, se plurent ainsi à exploiter l’ambiguïté du néologisme forgé par More à partir du grec latinisé « u-topia », lequel renvoie autant à un « ou topos », c’est-à-dire un « lieu de nulle part » ou un « lieu qui n’existe pas », qu’à un « eu topos », un « lieu de bonheur ». Si bien que le mot « utopie » en vint à désigner, dans le langage courant, un idéal inaccessible, et qu’au regard de cette nature chimérique, il prit une connotation parfois négative. La dimension utopique ne saurait donc s’épuiser dans le seul champ du rêve et de l’évasion, ce pour quoi nous préférons, pour notre part, utiliser l’adjectif « utopien » plutôt que le terme « utopique » chaque fois qu’il s’agit de qualifier un modèle de pensée et d’action alternatif, possédant une composante imaginaire mais ne revêtant pas nécessairement un caractère irréaliste. Le propre de l’utopie, en effet, n’est-il pas d’effectuer avant tout une contestation de l’existant, ainsi que le soulignait Karl Mannheim (1956), et à sa suite Paul Ricœur (1997), lesquels lui opposaient l’idéologie, soucieuse de maintenir l’ordre établi ? Les contributions de ce dossier montrent des facettes sensiblement différentes d’un même objet d’étude, attestent de l’incroyable diversité de l’utopie et contribueront sans doute à faire progresser l’état de la recherche autour de ce thème protéiforme

    Les organisations utopiennes

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    Ce dossier, coordonné par Céline Bryon-Portet et Daniel Keller, est consacré aux utopies caractéristiques qui traversent la modernité et la postmodernité, à partir d’essais théoriques ou d’études de cas empiriques. Les textes rassemblés ici privilégient la présentation de ce type d’utopies « pratiquées » ou « concrètes » chères à Jean Séguy et à Ernst Bloch, et dont nous pouvons relever la présence au sein de certaines technopoles, entreprises, institutions publiques, ONG, organisations religieuses et sociétés secrètes, mais aussi à travers des mouvements sociopolitiques, des pratiques culturelles ou professionnelles, des réseaux numériques, des dispositifs techniques ou encore des aménagements urbains… Ils questionnent leurs enjeux et leurs finalités, leurs acteurs et leurs outils, leurs principes fondateurs, leurs discours et leur image, leurs modes d’organisation et de communication… La notion d’utopie a connu un formidable succès depuis 1516, date à laquelle Thomas More publia son célèbre ouvrage, dépeignant le gouvernement et le mode de vie des habitants d’une île imaginaire, baptisée Utopia. Nombreux furent les auteurs qui emboitèrent le pas de l’écrivain anglais et offrirent au public des récits décrivant des sociétés parfaites : Francis Bacon (La Nouvelle Atlantide), Tommaso Campanella (La Cité du Soleil), Étienne Cabet (Voyage en Icarie), et tant d’autres, se plurent ainsi à exploiter l’ambiguïté du néologisme forgé par More à partir du grec latinisé « u-topia », lequel renvoie autant à un « ou topos », c’est-à-dire un « lieu de nulle part » ou un « lieu qui n’existe pas », qu’à un « eu topos », un « lieu de bonheur ». Si bien que le mot « utopie » en vint à désigner, dans le langage courant, un idéal inaccessible, et qu’au regard de cette nature chimérique, il prit une connotation parfois négative. La dimension utopique ne saurait donc s’épuiser dans le seul champ du rêve et de l’évasion, ce pour quoi nous préférons, pour notre part, utiliser l’adjectif « utopien » plutôt que le terme « utopique » chaque fois qu’il s’agit de qualifier un modèle de pensée et d’action alternatif, possédant une composante imaginaire mais ne revêtant pas nécessairement un caractère irréaliste. Le propre de l’utopie, en effet, n’est-il pas d’effectuer avant tout une contestation de l’existant, ainsi que le soulignait Karl Mannheim (1956), et à sa suite Paul Ricœur (1997), lesquels lui opposaient l’idéologie, soucieuse de maintenir l’ordre établi ? Les contributions de ce dossier montrent des facettes sensiblement différentes d’un même objet d’étude, attestent de l’incroyable diversité de l’utopie et contribueront sans doute à faire progresser l’état de la recherche autour de ce thème protéiforme
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