17 research outputs found

    Evaluation of culture media for growth and sporulation of Phytophthora colocasiae Racib., causal agent of taro leaf blight

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    Phytophthora colocasiae was recently the most important pathogen of taro (Colocasia esculenta) in Cameroon and no information is yet available on its culture on common media. Six artificial media, V6 juice agar, V8 juice agar, V8m juice agar, potato dextrose agar, onion agar and taro leaf agar were assessed in vitro to determine the growth characteristics of the pathogen. After isolation of the pathogen on V6 juice agar, mycelial disks from pure culture were placed on each culture media and incubated at 24 oC for up to 21 days. After 7 days, colony diameter was highest on V6 juice agar (64 mm), followed by V8-m juice agar (57 mm), onion agar (55 mm), V8 juice agar (54 mm) and potato dextrose agar (54 mm). Sporulation was highest on V6 juice agar (18 x106 sporangia/ml) and V8 juice agar (17 x 106sporangia/ml) after 21 days of incubation. P. colocasiae grows for 3-7 days in all the media tested and produces sporangia in some of the media after two to three weeks under laboratory conditions. V6 juice agar and V8 juice agar were the best media for isolation, growth and sporulation of the pathogen and can be recommended for the culture of the pathogen

    Efficacité in vitro et in vivo des extraits de plantes contre le mildiou (Phytophthora infestans) de la morelle noire

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    La lutte contre les maladies des plantes par l’utilisation des fongicides de synthèse, lorsqu’ils sont appliqués sur les fruits et légumes pose le plus souvent de problèmes de toxicité aux consommateurs. La présente étude a pour objectif de tester l’efficacité in vitro et in vivo des extraits de plantes (substances naturelles) contre le mildiou de la morelle noire, un légume très consommé dans la sous-région Afrique centrale. L’évaluation de l’activité antifongique des extraits de plantes a été faite par la méthode de dispersion sur milieu gélosé. Les concentrations équivalentes pour l’inhibition de 50% et 90% de la croissance du pathogène (CE50 et CE90), les concentrations minimales inhibitrices (CMI), et les aires standardisées sous la courbe de progression de la maladie (ASSCPM) ont été utilisées pour évaluer l’efficacité des extraits. L’extrait à l’acétone des feuilles de Syzygium aromaticum a donné la CMI la plus faible (60 μg/ml). Aucune différence significative n’a été observée entre l’extrait de Callistemon viminalis (ASSCPM=11,5%) et le manèbe (ASSCPM=7,3%). L’extrait de S. aromaticum a perdu son efficacité in vivo. L’étude montre que l’extrait de C. viminalis peut davantage être étudié pour ses propriétés antifongiques dans un programme de lutte contre le mildiou.Mots clés: substance naturelle, contrôle du mildiou, Phytophthora infestans, Solanum scabru

    Effet variétal et du traitement fongicide sur la sévérité de la maladie des taches angulaires et le rendement du haricot commun (Phaseolus vulgaris L.) à l’Ouest-Cameroun

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    Au Cameroun, la maladie des taches angulaires (MTA) due à Phaeoisariopsis griseola constitue la contrainte pathologique majeure de la culture du haricot commun (Phaseolus vulgaris L.). Les pertes de rendements et les stratégies de lutte sont peu étudiées. L’objectif de cette étude est d’améliorer la production du haricot commun dans l’Ouest-Cameroun. A cet effet, 12 variétés ont été évaluées dans un dispositif expérimental en Split-Plot. Le stade de remplissage des gousses (R8) a été le plus sensible quelle que soit la variété. Les variétés volubiles ont été moins sensibles à la MTA que les variétés naines. Parmi les variétés volubiles, la variété exotique MEX 142, bien que sensible, a donné le rendement le plus élevé (2 517 kg.ha-1). Le fongicide manèbe a réduit significativement (P ˂ 0,05) la sévérité de la MTA (6,25%) quel que soit le port de la variété et son origine. Les gains de rendements dus au manèbe ont atteint 158%. L’étude montre que la variété exotique MEX 142 est tolérante à la MTA et que l’utilisation intégrée des variétés moins sensibles (PNG, PNN et TY 3396-12), des variétés fortement productives (MEX 142 et MAC 33) et du fongicide manèbe améliore la production du haricot commun.Mots clés : Variétés, taches angulaires, sévérité, lutte intégrée (génétique et chimique), gain de rendemen

    Opportunités et contraintes agroforestières de Ricinodendron heudelotii au Cameroun

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    Ricinodendron heudelotii est une essence endémique des forêts tropicales humides d’Afrique, très prisée pour ses graines comestibles. Sa régénération naturelle reste difficile à cause principalement de la dormance tégumentaire de ses graines. Elle possède de nombreuses vertus ethnobotaniques et d’opportunités agroforestières pour les peuples des forêts du bassin du Congo. Au nombre de ces vertus, on cite des propriétés médicinales, agroalimentaires, agronomiques, écologiques et industrielles. Des programmes de domestication de R. heudelotii sont en cours dans les stations du Centre Mondial de l’Agroforesterie (CMAF) au Cameroun. L’essentiel des travaux déjà réalisés sur cette essence a porté sur ses propriétés ethnobotaniques, l’analyse de la composition chimique de l’huile des graines et sa domestication. Les tentatives de domestication de R. heudelotii se heurtent par ailleurs à diverses contraintes phytosanitaires encore à identifier. Sur la base des observations réalisées en forêts, dans les pépinières et au laboratoire, les dégâts observés seraient d’origine fongique et entomologique. À ce jour, aucun programme de lutte ou d’amélioration génétique n’est envisagé. Pourtant, l’existence de deux sous-espèces (heudelotii et africanum) chez R. heudelotii et d’une espèce apparentée (R. rautanenii) constitue un atout exploitable pour d’éventuels travaux d’amélioration génétique. Cette étude suggère que R. heudelotii pourrait être considérée comme une essence modèle d’avenir pour l’agroforesterie au Cameroun, avec au premier plan un moyen de lutte prometteur contre la pauvreté, et propose quelques pistes de recherche en vue de contribuer au succès des programmes de  domestication de l’espèce. © 2013 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés : Ricinodendron heudelotii, intérêt agroécologique, contraintes agroforestières, amélioration génétique

    Yield of Potato as Influenced by Crop Sanitation and Reduced Fungicidal Treatments

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    The effects of crop sanitation and reduced sprays of "Ridomil plus®" (12 % metalaxyl + 60 % cuprous oxide) on the control of potato (Solanum tuberosum) late blight caused by Phytophthora infestans were evaluated in two field experiments in 1993 in Dschang, Cameroon. In the first experiment, sanitation (five weekly removals of blighted leaves) and two fungicidal treatments were initiated from first symptoms. In the second experiment, both fungicidal sprays were made at varying rates. Marketable yields increased by 50 % in sanitation-treated plots, by 94 % in plots sprayed with Ridomil plus (2.24 kg a. i./ha), or by 55 % in those exposed to both control methods. The fungicide equivalence of the sanitation treatment was two sprays of Ridomil plus at 0.76 kg a. i./ha. These results suggest that proper removal of diseased leaves or reduced fungicidal protection may be an effective late blight control method in potato farming

    Quantitative Effects of Early and Late Blights on Tomato Yields in Cameroon

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    Early blight caused by Alternaria solani and late blight caused by Phytophthora infestans are the major diseases of tomato (Lycopersicon esculentum) in Cameroon. The effect of both diseases on fruit yield was evaluated during the 1995 growing season in Dschang, Cameroon.Ten varieties were planted in the first trial (March-July) and nine in the second (July- November). In both trials, plots were sprayed weekly with Ridomil Plus (2.0 kg/ha) before flowering and with maneb (1.6 kg/ha) after flowering. Early blight was more severe in the early part of the first trial, while late blight caused most damage during the second. Marketable yields varied according to variety. High yields in sprayed plots were obtained in Dona F1 (61.63 t/ha) and Heinz 1370 (68.24 t/ha) during the first trial, and in Fline (58.35 t/ha), Mecline (64.25 t/ha), and Moboline (55.16 t/ha) during the second trial. Percent fruit infection in sprayed plots caused by both diseases varied according to variety from 12 to 65% in the first season and from 14 to 52% in the second, while losses in marketable yields for both blights were as high as 100% in unsprayed plots

    Biological Constraints in Tomato Production in the Western Highlands of Cameroon

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    Tomato (Lycopersicon esculentum) production is handicapped by damage due to pests and pathogens. Farmers' fields in the western highlands of Cameroon were surveyed during 1993 to 1996 to identify biological constraints in production. Diseases and insect pests are the most important biological limitations in tomato production. Late blight caused by Phytophthora infestans and early blight caused by Alternaria solani are the most severe diseases, while the melon fruitfly (Dacus cucurbitae) is the most prevalent insect pest. Yield losses due to pest damage are high and reach 100 % when the crop is not treated in the wet season. Pest-resistant varieties are not available to farmers. Consequently, growers practise intensive pesticidal spray programmes to limit losses caused by pests and diseases. Results indicate the necessity for the adoption of integrated pest management strategies in tomato production in Cameroon

    Suitability of culture media on the growth and sporulation of Phytophtora infestans (Mont.)

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    No Abstract. Agro-Science Vol. 3(1) 2002: 9-1
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