285 research outputs found

    Direct contributions of dry forests to nutrition: a review

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    Globally, micronutrient deficiencies are more prevalent than calorie and protein deficiencies. In order to address global micronutrient deficiencies, increasing attention is being paid to the nutritional quality of people’s diets. While conventional agriculture is key for ensuring adequate calories, dietary quality depends on the consumption of a diverse range of micronutrient rich foods. Many wild foods are rich in micronutrients, particularly fruits, vegetables, and animal source food. As a result there has been increasing interest in the value of wild foods to meeting nutritional requirements. We review literature on the consumption of wild foods in dry forest areas to assess the current state of knowledge as to how dry forests may contribute to nutrition. We focus on papers that quantify consumption of wild forest foods. Although there is a great deal of literature that lends weight to the notion that dry forests are important for food security and nutrition, we find surprisingly little evidence of direct contributions to diets. Of 2514 articles identified by our search, only four quantify the consumption of wild foods from dry forests, and only one of these puts this consumption in the context of the entire diet. There is a need for research on the nutritional importance of dry forest foods which combines methodologies from nutrition science with an understanding and appreciation of the ecological, social, cultural and economic context

    Integrating ecology and technology to create innovative pest control devices

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    Blackie, H., MacMorran, D., Shapiro, L., Woodhead, I., Diegel, O., Murphy, E., Eason, C.T

    Investigating the veracity of self-reported post-traumatic growth: a profile analysis approach

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    Research into posttraumatic growth—positive psychological change that people report in their relationships, priorities in life, and self-perception after experiences of adversity—has been severely critiqued. We investigated the degree to which community members’ friends and relatives corroborated targets’ self-perceived positive and negative changes as measured by the Posttraumatic Growth Inventory-42. We found corroboration only for negative changes when we examined overall (averaged) scores. However, using a profile analysis procedure, we found significant participant–informant agreement on the domains of change that had relatively higher scores in the target’s profile and those that had relatively lower scores. Our results demonstrate that informants were able to observe that targets had changed and were sensitive to the idiosyncratic ways in which these changes had manifested in targets’ behavior

    Retrieving and retaining older and advancing novel rodenticides-as alternatives to anticoagulants

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    Eason, C.T., Henderson, R., Murphy, E., Shapiro, L., MacMorran, D., Blackie, H., Brimble, M., Conole, D., Rennison, D., Gibson, T.J., Gregory N.G

    The development of a light-weight, long-life diphacinone rodent bait

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    Ross, J.G., Eason, C.T., Sam, S., Shapiro, L., Blackie, H., MacMorran, D., Aylett, P., Tucker, N., Razzaq, H

    Dynamics of the attractive 1D Bose gas: analytical treatment from integrability

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    The physics of the attractive one-dimensional Bose gas (Lieb-Liniger model) is investigated with techniques based on the integrability of the system. Combining a knowledge of particle quasi-momenta to exponential precision in the system size with determinant representations of matrix elements of local operators coming from the Algebraic Bethe Ansatz, we obtain rather general analytical results for the zero-temperature dynamical correlation functions of the density and field operators. Our results thus provide quantitative predictions for possible future experiments in atomic gases or optical waveguides.Comment: 26 pages, 5 figure

    Paysans de tous les pays, unissez-vous !

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    Les paysans ont domestiquĂ© les plantes et les animaux, inventĂ© l’agriculture, bĂąti des systĂšmes durables. Ils ont aussi supportĂ© les coĂ»ts des rĂ©volutions agricoles et industrielles. Mais ce sont des forces et des intĂ©rĂȘts extĂ©rieurs au secteur qui commandent l’évolution de leur production et de leur richesse. Jusqu’à quand ? M. Mazoyer et L. Roudart ont magistralement analysĂ© dans leur livre la saga des paysans. Tout commence il y a 10 000 ans, quand l’invention de l’agriculture et de l’élevage fait franchir Ă  l’HumanitĂ© des pas dĂ©cisifs. Alors naissent les systĂšmes culturels et techniques qui coexistent encore aujourd’hui. Une Ă©volution aveugle et dĂ©sĂ©quilibrĂ©e Dans les pays dĂ©veloppĂ©s, l’agriculture est favorisĂ©e par des conseils techniques, du crĂ©dit, des subventions, des prix garantis, des barriĂšres douaniĂšres et des marchĂ©s proches. Dans les pays les plus pauvres, au contraire, tout manque aux paysans : conseils, intrants, crĂ©dit, voies de communication, transports, organisation commerciale, parfois mĂȘme la terre et, souvent, des gouvernements vraiment intĂ©ressĂ©s Ă  les dĂ©fendre et Ă  les soutenir. Quelques grandes exploitations, situĂ©es dans certaines rĂ©gions du monde, accumulent continuellement des ressources qui profitent aux productions vĂ©gĂ©tales et animales les plus compĂ©titives et permettent de lancer des produits Ă  bas prix sur tous les marchĂ©s. Dans le reste du monde, la plupart des paysans se trouvent incapables de produire de façon concurrentielle, sont exclus de leur propre terre et souvent conduits Ă  l’indigence. Cette Ă©volution aveugle et dĂ©sĂ©quilibrĂ©e du systĂšme agricole et alimentaire mondial est une tragĂ©die. Cette affreuse distorsion est Ă  l’origine des inĂ©galitĂ©s qui sĂ©parent les pays. La crise de la paysannerie sous-Ă©quipĂ©e et peu productive est Ă  l’origine de la pauvretĂ© rurale et urbaine croissante qui rend impossible le dĂ©veloppement des pays agricoles. Cette crise conduit Ă  une rĂ©duction accentuĂ©e de la demande solvable au niveau local et mondial, au ralentissement de la croissance Ă©conomique, Ă  l’augmentation du chĂŽmage, Ă  la pauvretĂ© et Ă  l’exclusion. Des consĂ©quences qui viennent frapper Ă  la porte des pays dĂ©veloppĂ©s : elles compromettent leurs dĂ©bouchĂ©s sur les marchĂ©s des pays en dĂ©veloppement. Les pays dĂ©veloppĂ©s sont aussi affectĂ©s, directement ou indirectement, par les autres aspects de cette crise globale et complexe du tiers-monde oĂč la misĂšre, la stagnation et le dĂ©sespoir font le lit des grandes migrations, du terrorisme et des conflits armĂ©s. Pas de solution miracle ! La libĂ©ralisation et la mondialisation du commerce et de l’économie sont Ă  la mode. Cela nous rappelle l’histoire de ce savant qui pose une puce sur une table et lui crie : ' Saute ! ' Et la puce saute. Il lui arrache ensuite les pattes et crie de nouveau : ' Saute ! '. Mais elle ne saute pas. Conclusion du savant : sans pattes, la puce n’entend pas ! Les paysans des pays pauvres ne sauteront dans le train de la mondialisation que si on leur restitue leurs jambes, c’est-Ă -dire les moyens nĂ©cessaires Ă  leur dĂ©veloppement ! Les mĂ©canismes actuels du commerce international ne rĂ©soudront pas le problĂšme du dĂ©sĂ©quilibre des pouvoirs et modifieront peu le scĂ©nario de pauvretĂ© et de fragilitĂ© des Ă©conomies des pays et des rĂ©gions pauvres. Il ne suffit pas que chaque pays libĂ©ralise son systĂšme de changes et qu’il offre de bonnes conditions aux investisseurs Ă©trangers : s’il ne rĂ©sout pas la question de la rĂ©partition interne des richesses, il risque de connaĂźtre un nouveau dĂ©sĂ©quilibre structurel et donc un frein au dĂ©veloppement Ă©conomique et social. Pour surmonter les inĂ©galitĂ©s entre les peuples, il faut dans le monde un systĂšme monĂ©taire, financier et commercial plus Ă©quitable, qui puisse corriger, pendant le temps nĂ©cessaire, les grandes diffĂ©rences de productivitĂ©, enracinĂ©es dans l’histoire et dans la disponibilitĂ© inĂ©gale des ressources. Mais revenons Ă  l’histoire de la puce sans pattes. À quoi bon la distribution d’argent, l’effacement des dettes ou toutes sortes de projets de dĂ©veloppement, si les populations des pays pauvres ne sont pas prĂ©parĂ©es pour affronter la libĂ©ralisation et la mondialisation imposĂ©es d’en haut par les pays riches, qui protĂšgent d’abord leurs intĂ©rĂȘts Ă  l’aide de taxes douaniĂšres et de subventions aux agriculteurs ? Éduquer pour dĂ©velopper Si l’on accepte que le fondement du dĂ©veloppement est la connaissance ou, mieux, la capacitĂ© de l’acquĂ©rir, de l’utiliser et de l’augmenter, il semble logique que l’enseignement et la formation professionnelle soient la prioritĂ© des prioritĂ©s de la mondialisation. Pour dĂ©passer la crise mondiale actuelle, les pays riches doivent renoncer au profit Ă  court terme, Ă  la croissance inĂ©gale non durable, et favoriser un dĂ©veloppement global harmonieux, participatif et durable. N’est-ce pas l’objectif affichĂ© par l’Union EuropĂ©enne au sein de l’Europe, ou par le Plan Marshall aprĂšs la derniĂšre guerre mondiale ? * Histoires des agricultures du monde du nĂ©olithique Ă  la crise contemporaine par M Mazoyer & L Roudart, Seuil, Paris, 1997. 533 pp. ISBN 02-032397-4 [caption] Agronome, Álvaro Soares de Melo, a une grande expĂ©rience en formation rurale et projets de dĂ©veloppement avec des pays africains. De 1993 Ă  2000, il a assurĂ© la coordination d’Esporo, l’édition en langue portugaise de Spore. Les opinions exprimĂ©es dans ce Point de vue sont celles de l’auteur, et ne reflĂštent pas nĂ©cessairement les idĂ©es du CTA.Les paysans ont domestiquĂ© les plantes et les animaux, inventĂ© l’agriculture, bĂąti des systĂšmes durables. Ils ont aussi supportĂ© les coĂ»ts des rĂ©volutions agricoles et industrielles. Mais ce sont des forces et des intĂ©rĂȘts extĂ©rieurs au..
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