105 research outputs found

    Strong Zonation of Benthic Communities Across a Tidal Freshwater Height Gradient

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    Trade-offs associated with environmental gradients generate patterns of diversity and govern community organisation in a landscape. In freshwaters, benthic community structure is driven by trade-offs along generally orthogonal gradients of habitat permanence and predation—where ephemeral systems are physiologically harsh because of drying stress, but inhabitants are less likely to be under the intense predation pressure of more permanent waterbodies. However, in tidal freshwaters, these two stressors are compounding, and the trade-offs associated with them are decoupled. 2. We investigated benthic community structure in a tidal freshwater habitat. These communities experience a suite of conditions atypical for a freshwater habitat: twice-daily drying; and high predation pressure by mobile fishes. We compared benthic communities at three tidal heights (low, mid, high) and contrasted these with nearby non-tidal freshwaters that varied in their hydrology (permanent, temporary). 3. We found that communities were more strongly differentiated in tidal freshwater habitats than between permanent and temporary inland freshwaters, which was surprising given the high interconnectedness and condensed longitudinal scale of tidal habitats. The differentiation of communities in tidal habitats was probably driven by the combined gradients of desiccation risk at low tide and intense predation by fish at high tide—a combination of pressures that are novel for the evolutionary history of the regional freshwater invertebrate fauna. 4. Our study provides evidence that environmental gradients can produce stronger patterns of community zonation than would be predicted for habitats that are spatially contiguous and have little or no dispersal limitation. These results give insight into how communities might respond if drivers of community structure are altered or reorganised from their regional or evolutionary norms

    Everyday vulnerabilities and ''social dispositions'' in the Malian Sahel, an indication for evaluating future adaptability to water crises?

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    International audienceSince the 1970s, precipitation in the Sahel has decreased and become very irregular, leading to widespread drought, whilst the human need for water has rapidly increased. A new ''dispositions''-based approach was adapted in order to analyse human interactions with environmental hazards and applied to the case of Hombori village in northeastern Mali. This article explores how the population and political stakeholders perceive, live with and respond to the increasing scarcity of water. It also explores how their current vulnerability and ability to cope with variations in available water resources indicate future adaptability to climate shocks. On the one hand, this research shows how the population copes with variations in water resource availability: the population's socio-spatial organisation explains the inhabitants' exposure to this problem and some of the factors affecting vulnerability, the elderly and women being the hardest hit. The water issue is generally managed on a ''day-to-day'' basis and considered a big problem only in the dry season, thus lowering any incentive for self-protection. The main two variables that could explain this kind of risk management are the conflicting local governance and current social rules. On the other hand, the discussion of results, based on a conceptual model of social responses, explains why these current ''social dispositions'' to cope with and even address the water scarcity issue do not guarantee future adaptability to climate change

    Larves pyrénéennes du genre Rhyacophila [TrichoptÚres]

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    Dans ce premier travail sur les larves pyrénéennes du genre Rhyacophila, cinq espÚces vivant dans la région supérieure du bassin de la "Neste d'Aure" sont décrites et figurées : - Rh. martynovi Mosely et Rh. meridionalis Pict. du groupe Rhyacophila S. S. Döhler, - Rh. evoluta McL. que cette nouvelle description range dans le groupe Hyperrhyacophila Döhler, - Rh. angelieri Décamps et Rh. contracta McL. du groupe Pararhyacophila Döhler. Une clé de détermination pour les stades larvaires des Rhyacophila de cette région sera donnée aprÚs la description des autres larves inconnues

    Sur la détermination des femelles de Potamophylax latipennnis (Curt.) Neboiss et Potamophylax cingulatus (Stephens) [Trichoptera]

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    Les diffĂ©rences de l'appareil ♀ interne de Potamophylax cingulatus et P. latipennis sont visibles extĂ©rieurement, par l'ouverture vaginale (fig. 11 et 12) et permettent une distinction rapide des deux espĂšces. Leurs caractĂšres Ă©cologiques sont diffĂ©rents

    Taxonomie des chaetopteryx pyrénéens du groupe major [Trichoptera, Limnephilidae]

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    Les piĂšces gĂ©nitales ♂ et ♀ de Chaetopteryx gonospina et ♂ de Ch. denticulata n. sp. sont dĂ©crites et figurĂ©es

    Nouvelles larves Pyrénéennes du genre Rhyacophila [TrichoptÚres]

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    Cinq nouvelles larves du genre Rhyacophila, rĂ©coltĂ©es dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es, sont dĂ©crites et figurĂ©es. 1. - Rhyacophila relicta McL. est voisine de la larve de Rh. dorsalis et s'en distingue par sa coloration plus foncĂ©e et par la forme globuleuse de sa capsule cĂ©phalique. 2. - Rhyacophila occidentalis McL., du groupe Hyperrhyacophila peut ĂȘtre distinguĂ©e de l'espĂšce voisine Rh. evoluta par sa coloration gĂ©nĂ©rale, son labre blanchĂątre, la morphologie des pattes antĂ©rieures et ses filaments branchiaux pĂąles, gĂ©nĂ©ralement plus nombreux. 3. - Rhyacophila mocsaryi tredosensis SCHM., inconnue en France jusqu'Ă  prĂ©sent, est largement rĂ©pandue sur le versant nord-pyrĂ©nĂ©en. Elle appartient au groupe Hyperrhyacophila et se distingue des deux espĂšces prĂ©cĂ©dentes par sa coloration cĂ©phalique, l'aspect de ses branchies et des dents ventrales courtes aux griffes terminales. 4. - Rhyacophila rupta McL. est du type Pararhyacophila, elle est caractĂ©risĂ©e par des filaments branchiaux longs et boudinĂ©s, un crochet ensiforme trĂšs court aux appendices fixateurs et par l'absence de protubĂ©rance interne aux trochanters des pattes antĂ©rieures. 5. - Rhyacophila eatoni McL. possĂšde une larve du type Hyporhyacophila, caractĂ©risĂ©e par sa coloration rougeĂątre et son aspect gĂ©nĂ©ral voisin d'un Philopotamus. Elle est trĂšs diffĂ©rente de la larve Metarhyacophila atribuĂ©e Ă  l'espĂšce voisine Rh. meyeri. 6. - Les formes pyrĂ©nĂ©ennes des groupes Hyper- et Pararhyacophila Ă©tant dĂ©sormais connues, des clĂ©s de dĂ©termination sont donnĂ©es pour distinguer leurs derniers stades larvaires

    Introduction à l'étude écologique des trichoptÚres des Pyrénées

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    PrĂ©sentation, sous forme de catalogue, des principaux renseignements tirĂ©s de l'Ă©tude des 204 espĂšces et sous-espĂšces de TrichoptĂšres rĂ©coltĂ©s sur le versant nord des PyrĂ©nĂ©es. Ce travail est basĂ© sur des captures d'adultes effectuĂ©es ces derniĂšres annĂ©es, ainsi que sur l'Ă©tude des collections de TrichoptĂšres pyrĂ©nĂ©ens du MusĂ©um d'Histoire Naturelle de Paris et du British Museum. Les principaux travaux de faunistique sont indiquĂ©s, avec les dates et lieux de capture. Pour chaque espĂšce sont signalĂ©s : 1) les citations antĂ©rieures, 2) la classe d'abondance, 3) la rĂ©partition dans les vallĂ©es nord-pyrĂ©nĂ©ennes, 4) les mois de capture des adultes, 5) l'habitat et l'amplitude altitudinale, 6) des remarques d'ordre systĂ©matique. 35 espĂšces — citations douteuses ou inexactes, synonymes — ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es de la liste des TrichoptĂšres pyrĂ©nĂ©ens. Les mois de capture des adultes sont indiquĂ©s dans un tableau concernant l'ensemble des espĂšces. Les formes Ă  longue pĂ©riode de vol sont relativement nombreuses. L'Ă©tude des captures d'adultes dans trois stations diffĂ©rentes montre une contraction des pĂ©riodes de vol en montagne, avec un seul maximum, en juillet-aoĂ»t, au-dessus de 1 400 m. Les modifications subies par les pĂ©riodes de vol en fonction de l'altitude sont diffĂ©rentes pour les espĂšces des faunes prĂ©coce, intermĂ©diaire et tardive. La faune prĂ©coce de haute montagne paraĂźt trĂšs appauvrie dans les PyrĂ©nĂ©es; la faune automnale survit jusqu'en dĂ©cembre Ă  des altitudes Ă©levĂ©es
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