Coexpressed subunits of dual genetic origin define a conserved supercomplex mediating essential protein import into chloroplasts

In photosynthetic eukaryotes, thousands of proteins are translated in the cytosol and imported into the chloroplast through the concerted action of two translocons-termed TOC and TIC-located in the outer and inner membranes of the chloroplast envelope, respectively. The degree to which the molecular composition of the TOC and TIC complexes is conserved over phylogenetic distances has remained controversial. Here, we combine transcriptomic, biochemical, and genetic tools in the green alga Chlamydomonas (Chlamydomonas reinhardtii) to demonstrate that, despite a lack of evident sequence conservation for some of its components, the algal TIC complex mirrors the molecular composition of a TIC complex from Arabidopsis thaliana. The Chlamydomonas TIC complex contains three nuclear-encoded subunits, Tic20, Tic56, and Tic100, and one chloroplast-encoded subunit, Tic214, and interacts with the TOC complex, as well as with several uncharacterized proteins to form a stable supercomplex (TIC-TOC), indicating that protein import across both envelope membranes is mechanistically coupled. Expression of the nuclear and chloroplast genes encoding both known and uncharacterized TIC-TOC components is highly coordinated, suggesting that a mechanism for regulating its biogenesis across compartmental boundaries must exist. Conditional repression of Tic214, the only chloroplast-encoded subunit in the TIC-TOC complex, impairs the import of chloroplast proteins with essential roles in chloroplast ribosome biogenesis and protein folding and induces a pleiotropic stress response, including several proteins involved in the chloroplast unfolded protein response. These findings underscore the functional importance of the TIC-TOC supercomplex in maintaining chloroplast proteostasis

Luxury brands consumption: The segment of “Chandlers”

The purpose of this paper is to introduce the segment of “chandlers” to the Russian academic society and to describe the specifics of their contemporary consumer behavior. The term “chandler” for this study was borrowed from American classical literature and applied to marketing. The study was conducted in April 2016 and comprised of two stages. The first stage was a series of in-depth interviews with seven representatives of the target audience from Moscow. It allowed to formulate the hypotheses which were proved/disproved by these hypotheses during the online survey. 117 relevant respondents were chosen for the study (72 — from Moscow, 45 — from regional city Ufa). The results allowed to formulate a preliminary conclusion there are no сhandlers in Ufa now. The most popular luxury brands for the Moscow сhandlers and specifics of their consumption were determined. This research is the first descriptive step to understanding the specifics of contemporary сhandlers — how they manage to consume luxury in the form of material artefacts and services, while being kept on a shoestring budget. The research entails a few limitations. The investigation comprised only a limited numbers of the respondents from Russian cities as Moscow and Ufa. In future, more consumers will be involved in the sample to cover more cities in Russia and respondents from other countries will be included. Upon the research completion a range of the recommendations has been provided to the luxury producers whose brands are already presented in Moscow and also for those who are planning to open their stores there. The results may serve as a guide for marketing tools development in the luxury industry. The originality of the paper lies in the term “chandlers’ segment” which is introduced in marketing theory for the first time

Le Maraudage Occasionnel Tendance au Cleptoparasitisme Chez Divers Psammocharidae (Hym.)

J\u27ai attiré précédemment l\u27attention (1927, p. 307) sur le fait que les Psammochares (Pompilus) plumbeus F. se livrent fréquemment bataille pour la possession de la proie capturée par l\u27un d\u27eux. FERTON (1923-1891, p. 54), ainsi que je l\u27ai déjà rappelé, avait fait remarquer l\u27empressement qu\u27ils mettent à s\u27emparer des proies capturées qu\u27on leur offre. Dans les intéressants travaux d\u27ADLERZ, malheureusement écrits en suédois, langue peu connue, on trouve la relation (1906, p. 9), pour cette espèce, d\u27un cas de rapt de la proie, mais non accompagné de violence. Un P. plumbeus ayant déposé près de soi son araignée paralysée, pendant le creusement hâtif de la cachette provisoire ( skyddsgrop = fossette de refuge), se voit enlever son araignée par un congénère qui s\u27enfuit avec elle à une couple de mètres, où il creusa dans le sable une fossette dans laquelle il cacha provisoirement sa proie volée (1)

Les Osmies de la Belgique

Ainsi que le fait remarquer SCHMIEDEKNECHT, la plupart des espèces D’Osmies sont très pauvres en individus et, partant, mal représentées dans les collections. Aussi est-il fort difficile, en ce qui concerne ce genre, d\u27établir avec certitude la faune complète d\u27un pays ou même d\u27une région. JACOBS, dans son Catalogue des Apides de Belgique, signale la présence dans notre pays de 11 espèces d\u27Osmia. Il résulte de l\u27examen des collections que le Musée d\u27Histoire Naturelle de Bruxelles a bien voulu mettre à ma disposition, ainsi que de la détermination d\u27un matériel nouveau, que le nombre des espèces authentiquement belges doit être porté à 18. Les tables de détermination ci-dessous sont suivies d\u27une liste systématique et biologique des espèces belges. Les données biologiques qui s\u27y trouvent reprises ont été revues el notablement augmentées par M. MARÉCHAL, Professeur à l\u27Athénée de Liége. Je le remercie vivement pour sa collaboration aussi précieuse que bienveillante

Societe Entomologique de Belgique

Si l\u27on admet que l\u27instinct est la tendance de l\u27animal à accomplir le comportement normal de son espèce, il constitue une évidente réalité, tout aussi indubitable que la forme qui lui sert de substratum. On peut même dire que l\u27instinct représente dans ces conditions un des caractères distinctifs de l\u27espèce, de valeur comparable aux caractères morphologiques ou anatomiques. Qu\u27on l\u27appelle « mémoire spécifique » ou « chimisme de l\u27individu », qu\u27on lui applique la notion cartésienne, aujourd\u27hui abandonnée, d\u27un « mécanisme monté », qu\u27avec RABAUD, on le ramène à des réflexes et qu\u27on le présente comme un « ensemble complexe de réponses du système nerveux aux multiples influences du dehors » (1949, II, p. 171), qu\u27avec Maurice THOMAS on le considère comme la « connaissance virtuelle héréditaire d\u27un plan de vie spécifique» (1935, p. 103), ou qu\u27avec VERLAINE enfin on n\u27y voie que la manifestation de la seule intelligence animale, les définitions dont on affuble l\u27instinct, ne changent rien à la chose. Les âpres controverses, pas toujours très scientifiques, qui . se sont élevées au sujet de l\u27instinct, ont d\u27ailleurs particulièrement traità sa nature. Il n\u27entre pas dans mes intentions d\u27aborder ici l\u27 examen de cet aspect du problème. Je me propose uniquement au cours de cette causerie d\u27essayer de vous montrer par quelques cas concrets puisés dans l\u27observation des Hyménoptères supérieurs, Pompilides, Vespides, Sphégides ou Apides, la remarquable faculté que possèdent ces insectes, grâce au discernement, d\u27adapter leur comportement normal spécifique aux circonstances du milieu, et d\u27autre part de mettre en évidence et de discuter l\u27un ou l\u27autre exemple de variabilité dûment constatée des phénomènes instinctifs. Par l\u27extrême variété de leur industrie nidifiante, par l\u27extraordinaire complexité de certains de leurs comportements, par le psychisme élevé dont ils font preuve, par les sociétés organisées que forment certains d\u27entre eux, les Hyménoptères supérieurs se prêtent admirablement à l\u27étude de ce délicat problème et constituent un matériel de choix, tant pour l\u27observation que pour l\u27expérimentation

Biologie de l\u27Oxybelus Bipunctatus

L\u27Oxybelus bipunclaius Ouv. est un Hyménoptère commun dans notre pays. On le trouve surtout dans les endroits sablonneux de la Basse et de la Moyenne Belgique. Il montre une préférence marquée pour les terrains plats ou pour les talus à pentes douces où il constitue fréquemment d\u27importantes colonies

Note sur la nidification de Megachile pyrenea Pérez

La biologie de Megachile pyrenea PÉREZ a été fort peu étudiée Jusqu’ici. FERTON (1896, p. 9 et 1908, p. 550) relate avoir découvert à Château-Thierry, dans une tige sèche d\u27une plante herbacée, un nid de 3 ou 4 cellules faites chacune de deux sortes de feuilles: l\u27acacia et une rosacée du groupe du sanguisorbier. GRANDI (1928, VI, p. 9) a constaté dans les nids desséchés qu\u27il a examinés, que les cellules étaient construites de morceaux de feuilles de Rosa pomifera? Enfin, NIEMELÄ (1936, p. II) signale qu\u27en Finlande M. pyrenea niche dans la terre, sous les pierres, etc. et qu\u27elle exploite les feuilles du bouleau