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    Merkel cell carcinoma of skin-current controversies and recommendations

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    The review covers the current recommendations for Merkel cell carcinoma (MCC), with detailed discussion of many controversies. The 2010 AJCC staging system is more in-line with other skin malignancies although more complicated to use. The changes in staging system over time make comparison of studies difficult. A wide excision with margins of 2.5–3 cm is generally recommended. Even for primary </= 1 cm, there is a significant risk of nodal and distant metastases and hence sentinel node biopsy should be done if possible; otherwise adjuvant radiotherapy to the primary and nodal region should be given. Difficulties of setting up trials owing to the rarity of the disease and the mean age of the patient population result in infrequent reports of adjuvant or concurrent chemotherapy in the literature. The benefit, if any, is not great from published studies so far. However, there may be a subgroup of patients with high-risk features, e.g. node-positive and excellent performance status, for whom adjuvant or concurrent chemotherapy may be considered. Since local recurrence and metastases generally occur within 2 years of the initial diagnosis, patients should be followed more frequently in the first 2 years. However delayed recurrence can still occur in a small proportion of patients and long-term follow-up by a specialist is recommended provided that the general condition of the patient allows it. In summary, physician judgment in individual cases of MCC is advisable, to balance the risk of recurrence versus the complications of treatment

    Facteurs pronostiques des métastases cérébrales irradiées (étude rétrospective portant sur 250 patients traités au CHU d'Amiens entre 2001 et 2006)

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    Introduction. Les métastases cérébrales sont une complication fréquente des cancers et leur survenue représente un tournant évolutif dans l histoire de la maladie. La connaissance des facteurs pronostiques des patients atteints de métastases cérébrales est fondamentale car elle permet de proposer à ces patients une prise en charge thérapeutique adaptée selon les cas et peut aboutir à une amélioration de leur survie ainsi que de leur qualité de vie. Matériel et Méthodes. 250 patients atteints de métastases cérébrales secondaires à des cancers du poumon, du sein ou de mélanomes, traités par radiothérapie dans le service d Oncologie - Radiothérapie du CHU d Amiens de 2001 à 2006, ont été l objet d une analyse rétrospective. Les caractéristiques cliniques de ces patients, les facteurs pronostiques des métastases cérébrales irradiées ainsi que les différentes modalités thérapeutiques employées ont été étudiés. Les survies ont été calculées selon la méthode de Kaplan-Meier. Les courbes de survie ont été comparées en utilisant le test du log-rank en analyse univariée tandis que le modèle de Cox a été employé pour l analyse multivariée. Résultats. Notre série de patients comprenait 176 hommes et 74 femmes âgés en moyenne de 61,5 ans. Le suivi moyen était de 10,3 mois. La répartition des tumeurs primitives était la suivante : 82,4% de cancers bronchiques, 9,2% de cancers du sein, et 8,4% de mélanomes. Les patients présentaient, outre les métastases cérébrales, d autres localisations métastatiques dans 58,4% des cas. 37,2% des patients ne présentaient qu une seule métastase cérébrale alors que 34% avaient plus de 3 métastases cérébrales. 70,4% des patients avaient une symptomatologie neurologique. 47,6% des malades présentaient un état général altéré (score OMS >= 2). Concernant le traitement des métastases cérébrales, seulement 6,4% des patients ont bénéficié d une résection neurochirurgicale de leur(s) métastase(s), suivie d une radiothérapie encéphalique totale, tandis que 93,6% des malades n ont bénéficié que d une radiothérapie cérébrale totale (sans chirurgie) suivie chez 25,6% d entre eux d un complément d irradiation localisé au niveau de la (des) métastase(s) cérébrale(s). Le protocole de radiothérapie le plus employé permettait de délivrer 30 Gray en 10 fractions dans l ensemble de l encéphale (86,4% des cas). Le protocole le plus souvent utilisé pour le complément d irradiation permettait de délivrer 20 Gray en 10 fractions (73,3% des cas) sur la (les) zone(s) où était (étaient) située(s) la (les) métastase(s) cérébrale(s). Ce complément de dose concernait uniquement les patients présentant entre 1 et 3 métastases cérébrales. Concernant les résultats obtenus, l irradiation cérébrale (précédée ou non d une chirurgie d exérèse) permettait d améliorer la symptomatologie neurologique des patients dans 66,5% des cas. La médiane de survie de l ensemble des patients était de 5,6 mois, le taux de survie à 1 an de 22,7% et à 2 ans de 10%. La survie des patients ne présentant qu une seule métastase cérébrale était meilleure dans le groupe ayant bénéficié d une résection chirurgicale de la métastase précédant la radiothérapie cérébrale totale que dans le groupe de patients n ayant eu que de la radiothérapie (p <0,0001). Concernant les patients n ayant eu que de la radiothérapie, la survie n était pas statistiquement différente selon qu ils aient ou non reçu en plus un complément d irradiation. L âge, le performance status, la résection neurochirurgicale, l amélioration neurologique après traitement, et la dose totale équivalente de radiothérapie délivrée sont les facteurs pronostiques indépendants qui ressortent de l analyse multivariée. Le rôle du complément de dose qui ne ressortait pas en analyse univariée apparaît donc en analyse multivariée (rôle de la dose totale équivalente délivrée). Discussion. La survie dans notre série est comparable à celle retrouvée dans les autres études publiées dans la littérature. De même, les facteurs pronostiques qui ressortent de notre série sont comparables à ceux retrouvés dans la plupart des études. Les différentes stratégies thérapeutiques possibles, en fonction de ces facteurs pronostiques, sont discutées. Conclusion. Le complément de dose d irradiation après radiothérapie encéphalique totale semble donc apporter un bénéfice pour le patient. Pour les centres ne disposant pas de technique de radiothérapie stéréotaxique, ce complément de dose délivré par un accélérateur de particules classique peut présenter une alternative raisonnable à un complément de dose délivré par une radiothérapie cérébrale en conditions stéréotaxiques. Mais une étude prospective, randomisée, serait nécessaire pour confirmer le rôle de ce type de complément d irradiation sur la (les) métastase(s) cérébrale(s)AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l'association radiochimiothérapie concomitante dans les carcinomes œsophagiens t1-4, n0-1, m0 (série rétrospective de 92 patients)

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    Cette étude rétrospective, portant sur 92 patients traités entre 1992 et 2003 par radiochimiothérapie concomitante avec escalade de dose par radiothérapie externe ou curiethérapie. La population comportait des patients non métastatiques en majorité T 3 (57,1 %) et N 1 (70,3 %). Nous avons observé une médiane de survie de 10,1 mois, un taux de réponse objective au traitement de 27,1 %, un taux de récidive locorégionale de 23 % et une rechute ou la persistance d'une maladie locorégionale de 56 %. Un boost par curiethérapie a pu être effectué pour 25 patients pour lesquels on retrouve une médiane de survie de 18,1 mois avec une survie à trois ans de 44 %. La médiane de survie constatée pour les patients éligibles pour un protocole d'essai thérapeutique et de 15,6 mois avec une survie à trois ans de 25,1 %. La compliance au traitement a été de 72,8 % pour la radiothérapie et 79,1 % pour la chimiothérapie. La toxicité de grade 3 et 4 de la chimiothérapie a été de 14 % sur le plan hématologique et de 3,3 % sur le plan digestif. Nous avons retrouvé une toxicité œsophagienne aiguë de grade 3 et 4 de 32,4 %. La toxicité tardive œsophagienne a quant à elle été de 13,1 % avec une incidence fistules de 10,8 %. Les facteurs ayant une influence pronostique péjorative sur la survie sont l'existence d'une dysphagie sévère et l'absence d'obtention d'une réponse complète. La perte d'information médicale inhérente au recueil rétrospectif des données médicales constitue un des écueils de cette étude. Notre association radiochimiothérapique concomitante avec escalade de dose donne des résultats encourageants avec une toxicité acceptable. Près de la moitié des décès relevés surviennent du fait du terrain particulièrement fragile des patientsAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Palliative Care for Chest Tumors – Hong Kong, France and Canada

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    In Asia, North America and Europe, lung cancer remains one of the top contributors to cancer-related death. Oncology training programs span 4-5 years and palliative care fellowship is around 2 years. However, the multi-disciplinary conference is increasingly viewed as preferable to assist with decision making in most modern centers. Palliative care for lung cancer likewise differs between regions

    Resensitization to Nivolumab after Intratumoral Chemotherapy in Recurrent Head and Neck Squamous Cell Cancer: A Report of 2 Cases

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    International audienceThe survival of patients with head and neck squamous cancer with locoregional recurrence is short if salvage surgery or radiation cannot be performed. Systemic chemotherapy based on platinum salts and cetuximab produces only partial and transient responses. Immune checkpoint inhibitors (i.e., nivolumab) lead to a low complete response rate of only about 10%, but in some cases the effects can be long-lasting. Intratumoral chemotherapy (ITC) has been proposed for patients with local recurrence of head and neck squamous cell carcinoma with an objective response rate of 27-50%. However, it often leads to peritumoral tissue necrosis, and the duration of local control is limited. Here, we present 2 patients with head and neck squamous cell cancer whose local recurrences were refractory to intravenous chemotherapy and nivolumab. ITC using nonnecrotizing molecules, associated with nivolumab, led to complete stable local and distant response. ITC seems to trigger tumor resensitization to previously ineffective immunotherapy. This combination deserves an evaluation in the framework of a prospective trial

    Impact of dosimetric parameters on local control for patients treated with three-dimensional pulsed dose-rate brachytherapy for cervical cancer

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    International audienceTo investigate the impact of dose-volume histograms parameters on local control of three-dimensional (3D) image-based pulsed dose-rate brachytherapy (BT).METHODS AND MATERIALS:Within a French multicentric prospective study, the data of the 110 patients treated for cervical cancer with external beam radiotherapy followed by 3D image-based and optimized pulsed dose-rate BT were analyzed. Delineation procedures were performed on magnetic resonance imaging in a minority of cases and on CT for the majority of cases, adapted from the Gynaecological Groupe Européen de Curiethérapie-European Society for Therapeutic Radiology and Oncology recommendations. Optimization procedure was left to the discretion of the treating center.RESULTS:At 2 years, local control rate reached 78%. Dose to Point A, total reference air kerma, and intermediate-risk clinical target volume (IR-CTV) V60 were predictive factors for local control (p = 0.001, p = 0.001, and p = 0.013, respectively). Patients with IR-CTV V60 <75% had a relative risk of local recurrence of 3.8 (95% confidence interval, 1.4-11.1). There was no correlation found between the high-risk clinical target volume dosimetric parameters and local control.CONCLUSIONS:This multicentric study has shown that 3D image-based BT provides a high local control rate for cervical cancer patients. The V60 for IR-CTV was identified as an important predictive factor for local control
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