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Analyse macroéconomique du secteur de l’industrie et du secteur public en Valais de 1997 à nos jours
Le produit intérieur brut (PIB) est l’outil principal de mesure de la production économique d’un pays. Il a comme objectif de représenter sa croissance économique. Dans ce travail, un modèle de simulation permet d’expliquer la dynamique du PIB à partir de différents indicateurs et ainsi de pouvoir effectuer des prévisions pour l’avenir. Elles permettront d’analyser l’influence des différents indicateurs économiques sur le PIB de l’industrie et de l’administration publique. Afin de pouvoir créer ce modèle de simulation, il faut se poser la question suivante : Quels sont les indicateurs explicatifs de l’évolution du secteur de l’industrie et du secteur public
L’analyse macroéconomique des secteurs de l’hôtellerie & restauration et commerce en Valais de 1997 à nos jours
Ce travail de Bachelor a été établi à la demande de l’Institut du Tourisme de Sierre. Le mandant s’intéresse au développement d’un modèle macroéconomique valaisan basé sur le PIB. L’économie étant relativement complexe, il a fallu séparer le PIB par plusieurs branches selon leurs codes NOGA. Ainsi, nous sommes trois étudiants à s’être réparti le travail : Mauricio Freitas a analysé le secteur de la construction, Marianna Paiano les secteurs de l’administration publique et de l’industrie, et pour ma part je me suis intéressée aux secteurs de l’hôtellerie & restauration et commerce. Le but du travail est de rechercher des indicateurs qui influenceraient le PIB valaisan pour ensuite construire un modèle et effectuer des simulations de scénarios économiques. J’ai donc concentré mes recherches autour de trois variables essentielles à la réalisation de mon modèle : la population, le PIB de l’hôtellerie & restauration et le PIB du commerce
The appropriate management of persisting pain after spine surgery: a European panel study with recommendations based on the RAND/UCLA method
Purpose: Management of patients with persisting pain after spine surgery (PPSS) shows significant variability, and there is limited evidence from clinical studies to support treatment choice in daily practice. This study aimed to develop patient-specific recommendations on the management of PPSS. Methods: Using the RAND/UCLA appropriateness method (RUAM), an international panel of 6 neurosurgeons, 6 pain specialists, and 6 orthopaedic surgeons assessed the appropriateness of 4 treatment options (conservative, minimally invasive, neurostimulation, and re-operation) for 210 clinical scenarios. These scenarios were unique combinations of patient characteristics considered relevant to treatment choice. Appropriateness had to be expressed on a 9-point scale (1 = extremely inappropriate, 9 = extremely appropriate). A treatment was considered appropriate if the median score was ≥ 7 in the absence of disagreement (≥ 1/3 of ratings in each of the opposite sections 1–3 and 7–9). Results: Appropriateness outcomes showed clear and specific patterns. In 48% of the scenarios, exclusively one of the 4 treatments was appropriate. Conservative treatment was usually considered appropriate for patients without clear anatomic abnormalities and for those with new pain differing from the original symptoms. Neurostimulation was considered appropriate in the case of (predominant) neuropathic leg pain in the absence of conditions that may require surgical intervention. Re-operation could be considered for patients with recurrent disc, spinal/foraminal stenosis, or spinal instability. Conclusions: Using the RUAM, an international multidisciplinary panel established criteria for appropriate treatment choice in patients with PPSS. These may be helpful to educate physicians and to improve consistency and quality of care. Graphical abstract: These slides can be retrieved under Electronic Supplementary Material. [Figure not available: see fulltext.
Audit de l’organisation des destinations touristiques à fin d’optimisation
Que ce soit pour son cadre idyllique, son calme, ses parcours pédestres, ses activités de loisirs, son histoire, sa gastronomie ou ses vins merveilleux, notre canton est une destination privilégiée pour les touristes de tous bords. C’est donc principalement avec ses paysages majestueux et son climat généreux que le Valais d’antan a su profiter du secteur touristique. A l’heure actuelle, les activités du tourisme, qu’elles soient hivernales ou estivales, occupent toujours une place prépondérante dans l’économie du canton et cela pour des retombées économiques directes à hauteur de 3,3 milliards. A la montagne comme dans la plaine du Rhône, le tourisme permet de faire vivre et de maintenir une population dans certaines régions qui, sans lui, seraient rapidement abandonnées. Le tourisme en Valais est donc une branche primordiale, que ce soit pour les populations montagnardes, l’emploi, le produit intérieur brut valaisan ou encore l’amélioration notable des infrastructures à caractère public (Ex : installations sportives, etc.). Le tourisme valaisan sort de deux années record. Effectivement, lors de l’exercice 2008/2009, le tourisme valaisan peut se targuer d’enregistrer 11'804’311 nuitées. Ces chiffres-là représentent une baisse légère d’1.8% par rapport à l’exercice précédent et cela malgré la mauvaise conjoncture due principalement à la crise financière ayant touché la planète entière. Malgré les chiffres plutôt positifs de ces dernières années, le tourisme valaisan ne peut pas se reposer sur ses lauriers. La concurrence, qu’elle soit nationale ou venant de l’étranger, est bien présente. Notre canton est en retard. Avec une enveloppe budgétaire destinée à la commercialisation de la région de 5,4 millions de francs suisses, le Valais ne fait pas le poids face aux ogres que sont en comparaison des organisations touristiques régionales telles que Südtirol Marketing (23,5 millions), Tirol Werbung (22 millions) ou Graubünden Ferien (11 millions). Au-delà de ces quelques chiffres, là ou ailleurs, de véritables restructurations ont eu lieu avec succès pour créer de véritables destinations ; certaines régions de notre canton sont toujours réticentes au rassemblement des forces dans des destinations d’envergure. Pire, certaines destinations établies jadis, volent en éclat, en même temps que leur mise en commun des forces. Toutefois, le Valais ne pourra pas éternellement compter sur son cadre phénoménal et sa bonne réputation comme destination de vacance. Effectivement, sur le marché du tourisme de plus en plus disputé, des petites structures n’ont que peu de chance de tirer leur carte du jeu. Les enjeux des années à venir pour la branche du tourisme seront le management, la réflexion et l’organisation. Pour mon travail, six destinations touristiques de notre canton ont été analysées, en particulier leurs structures, ainsi que leurs travaux opérationnels. Ces destinations préfèrent-elles le conservatisme ? Sont-elles dans la norme ? Ou, au contraire, font-elles preuve d’audace pour faire évoluer leurs organisations touristiques ? Les réponses à ces questions sont finalement les enjeux du tourisme valaisan de demain