Magnetic resonance imaging in osteoarthritis: which method best reflects synovial membrane inflammation? Correlations with clinical, macroscopic and microscopic features

SummaryObjectives: To study synovial membrane (SM) inflammation near the patella with different magnetic resonance imaging (MRI) approaches performed using a T1-injected sequence in knee osteoarthritis (OA), and to compare MRI results with macroscopic, microscopic and clinical findings.MethodsFifteen patients fulfilling American College of Rheumatology (ACR) criteria for knee OA and requiring joint lavage completed a functional index (Lequesne's functional index) and a pain visual analog scale (VAS). SM inflammation near the patella was assessed on axial fat saturation post-injected T1 MRI images using three different methods: (1) semi-quantitative score=MRI synovitis score; (2) synovial membrane volume (SMV) analysis; (3) SMV with low (SMVL) (<0.3%/s−1), intermediate (SMVI) (0.3%/s−1 to 1%/s−1) and high (SMVH) (≥1%/s−1) speed of enhancement. Chondral lesions and SM inflammation were macroscopically graded and SM biopsies performed for microscopic scoring.ResultsAll MRI approaches exhibited excellent intra- and inter-observer reproducibility. MRI synovitis score correlated well with macroscopic (r=0.61, P=0.003) and total microscopic scores (r=0.55, P=0.03). Correlations between SMV and macroscopic (r=0.60, P=0.02) and microscopic congestion (r=0.63, P=0.01) were good. SMVH was correlated only with microscopic congestion (r=0.79, P=0.01). Low SMV was associated with neither macroscopic nor microscopic scores. However, it did correlate well with pain-VAS score (r=0.61, P=0.03) and moderately with a functional index (r=0.46, P=0.10).ConclusionThe three MRI approaches used here provided highly reproducible information on SM inflammation near the patella in knee OA. Compared to SMV, MRI synovitis score seems sufficient to assess synovial inflammation but high SMV is an appropriate indicator of vascular congestion, and low SMV reflects pain in knee OA

La truite commune (Salmo trutta L.) dans le Redon, un petit affluent du lac Léman : caractéristiques des géniteurs de truite de lac (1983-1988) et premières données sur l'impact des relâchers d'alevins nourris

L'étude précise les caractéristiques (âge, croissance) des géniteurs de truite de lac échantillonnés cinq années consécutives sur le Redon, un petit affluent (10 km) du lac Léman (58.240 ha). Les jeunes géniteurs de 2 ou 3 ans représentent 73 % des mâles contre seulement 33 % des femelles. L'examen des écailles montre l'existence de 1 (type 1 : 56 %), 2 (type 2 : 43%) ou 3 ans (type 3 :1 %) de croissance initiale lente "type rivière". La longueur totale rétromesurée à 1 an est significativement plus élevée (129 mm) pour les géniteurs de type 1 que celle (100 mm) des géniteurs de type 2. Un lot de 6.000 alevins, nourris en pisciculture jusqu'à 4 cm, issus de géniteurs de truite de lac et marqués, a été déversé en août 1983 dans la partie aval du Redon. Les géniteurs de truites de lac issus de ce petit lot représentaient une part importante (46 % des femelles et 22 % des mâles) de la cohorte d'adultes correspondante remontant frayer dans le Redon

Genetic polymorphisms and expression of Rhesus blood group RHCE are associated with 2,3-bisphosphoglycerate in humans at high altitude

Red blood cell (RBC) metabolic reprogramming upon exposure to high altitude contributes to physiological human adaptations to hypoxia, a multifaceted process critical to health and disease. To delve into the molecular underpinnings of this phenomenon, first, we performed a multi-omics analysis of RBCs from six lowlanders after exposure to high-altitude hypoxia, with longitudinal sampling at baseline, upon ascent to 5,100 m and descent to sea level. Results highlighted an association between erythrocyte levels of 2,3-bisphosphoglycerate (BPG), an allosteric regulator of hemoglobin that favors oxygen off-loading in the face of hypoxia, and expression levels of the Rhesus blood group RHCE protein. We then expanded on these findings by measuring BPG in RBCs from 13,091 blood donors from the Recipient Epidemiology and Donor Evaluation Study. These data informed a genome-wide association study using BPG levels as a quantitative trait, which identified genetic polymorphisms in the region coding for the Rhesus blood group RHCE as critical determinants of BPG levels in erythrocytes from healthy human volunteers. Mechanistically, we suggest that the Rh group complex, which participates in the exchange of ammonium with the extracellular compartment, may contribute to intracellular alkalinization, thus favoring BPG mutase activity

A922 Sequential measurement of 1 hour creatinine clearance (1-CRCL) in critically ill patients at risk of acute kidney injury (AKI)

Meeting abstrac

Physiology and pathophysiology of the vasopressin-regulated renal water reabsorption

To prevent dehydration, terrestrial animals and humans have developed a sensitive and versatile system to maintain their water homeostasis. In states of hypernatremia or hypovolemia, the antidiuretic hormone vasopressin (AVP) is released from the pituitary and binds its type-2 receptor in renal principal cells. This triggers an intracellular cAMP signaling cascade, which phosphorylates aquaporin-2 (AQP2) and targets the channel to the apical plasma membrane. Driven by an osmotic gradient, pro-urinary water then passes the membrane through AQP2 and leaves the cell on the basolateral side via AQP3 and AQP4 water channels. When water homeostasis is restored, AVP levels decline, and AQP2 is internalized from the plasma membrane, leaving the plasma membrane watertight again. The action of AVP is counterbalanced by several hormones like prostaglandin E2, bradykinin, dopamine, endothelin-1, acetylcholine, epidermal growth factor, and purines. Moreover, AQP2 is strongly involved in the pathophysiology of disorders characterized by renal concentrating defects, as well as conditions associated with severe water retention. This review focuses on our recent increase in understanding of the molecular mechanisms underlying AVP-regulated renal water transport in both health and disease

Nurses' perceptions of aids and obstacles to the provision of optimal end of life care in ICU

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Note technique : marquage des salmonidés de petite taille par ablation de l'adipeuse ou des nageoires pelviennes

Une technique de marquage par cautérisation de la nageoire adipeuse est décrite Elle a été testée sur des salmonidés de petit taille ( 28 mm ≤ longueur totale ≤ 55 mm) pour trois espèces : omble chevalier (Salvelinus alpinus), truite fario (Salmo trutta) et corégone (Coregonus Sp.). Le type de marquage décrit s'avère performant ( 500 à 600 juvéniles marqués/personne/heure) comparativement à la technique d'ablation des deux pelviennes (300 à 350 ind/personne/heure) testée sur des truitelles de 28 à 42 mm. Après un mois, en conditions d'élevage, les deux types de marquage ont peu affecté la croissance et la survie. Bien que réalisable à des tailles plus faibles, la technique de cautérisation est recommandée à partir de 33 mm de longueur totale

Marquage d'ombles chevalier (Salvelinus alpinus) de petite taille par injection de micromarques magnétisées

La technique de marquage de poissons par injection, dans le cartilage nasal, de micromarques magnétisées codées est présentée. Ce type de marquage a été testé avec succès sur des ombles chevalier (Salvelinus alpinus) de très petite taille (22-55 mm). Quand la technique est bien maîtrisée, le taux de rétention des marques est élevé ( ≥ 98%). La vitesse de marquage a été de 250- 300/personne/heure pour des ombles de 2-3 cm et de 400-450/personne et par heure pour ceux de 4-5 cm. La mortalité au cours du marquage est très faible. La survie et la croissance, évaluées après un mois, en conditions d'élevage, n'ont pas été significativement affectées par le marquage magnétique. Des recommandations sont faites

L'exploitation des salmonidés à la ligne sur le Scorff, rivière de Bretagne sud

L'exploitation de la population de Salmonides par pêche à la ligne sur le bassin versant du Scorff est étudiée à l'aide d'enquêtes et des caractéristiques des captures échantillonnées durant la saison de pêche. Elle montre que : — la pression de pêche à la ligne est relativement faible. Elle se distribue différemment selon l'espèce recherchée avec principalement une concentration des pêcheurs de saumon en aval. Enfin la pression de pêche diminue fortement au cours de la saison ; — la majorité des truites capturées (81 à 97 %) est âgée de 2 et 3 ans et le rapport des sexes semble en moyenne équilibré ; — les saumons capturés sont âgés de un à deux ans d'eau douce, le nombre de poissons d'un an d'eau douce augmentant annuellement dans l'échantillon. La très grande majorité des saumons pris à la ligne (90,6 %) est constituée de poissons de printemps (deux et trois ans de mer)