8 research outputs found

    The Monteggia fracture: series of 20 cases

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    The Monteggia fracture is one of the pitfalls of conventional diagnosis of upper limb trauma. Through a  retrospective study of 20 cases diagnosed at the Department of Orthopaedic Surgery and Traumatology,  University Hospital Center, Ibn Sina, Mohamed V University, Rabat, Morocco, between 2010 and 2014, we have tried to do an update on the management of Monteggia fractures either at of paraclinical exams or the surgical management. We support the idea that the dislocation of the radial head should be sought  systematically to any isolated fracture of the ulna, for not to miss fracture Monteggia authentic. Rehabilitation of the upper limb must be done as soon as possible.Key words: Monteggia fracture, surgical management, uln

    Les fractures luxations du cotyle: prise en charge et pronostic à long terme; étude rétrospective portant sur 40 cas

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    Les fractures luxations du cotyle sont le plus souvent dues à des traumatismes de haute énergie. Elles constituent une urgence thérapeutique, l’association de la luxation à une fracture du cotyle fait apparaître la question du choix thérapeutique entre traitement orthopédique et traitement médical. L’objectif de l’étude est de mettre le point sur l’aspect thérapeutique dans ces lésions mais aussi leurs pronostics à  long terme. Nous rapportons une étude rétrospective portant sur 40 cas colligés au service d’orthopédie  du centre hospitalier universitaire de Rabat. Nous avons évalué les résultats de notre prise en charge mais aussi le pronostic à court et à long terme. Dans notre série, vingt cinq patients ont bénéficié d’un traitement orthopédique alors  que les quinze restants ont été opérés, la voie d’abord la plus utilisée est la voie postérieure. Les résultats fonctionnels ont été évalués, après un recul de 3 à 8 ans, selon la cotation de Merle d’Aubigné. Nous avons  obtenu 90% de résultats satisfaisants. La comparaison de nos résultats à ceux de la littérature montre que le résultat des traitements orthopédiques et chirurgicaux dépend essentiellement du type de fracture. Le  pronostic à long terme reste imprévisible. La survenue des complications tardives telle que la nécrose céphalique et de l'arthrose reste toujours imprévisible, ce qui impose un suivi régulier et prolongé des  patients.Key words: Fracture-luxation, cotyle, traitement orthopédique, traitement chirurgica

    Cubitus varus: l’ostéotomie de soustraction externe a-t-elle toujours sa place? Etude rétrospective à propos de 25 cas

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    Le cubitus varus est cal vicieuxle plus souvent secondaire à des fractures supracondyliennes déplacées de l'extrémité inférieure de l'humérus chez l'enfant. Différentes techniques chirurgicales ont été proposées avec un taux de réussite différents mais aussi un taux de complications rapportées différents. Nous évaluons à travers une étude rétrospective de 25 cas colligés au centre hospitalier universitaire de Rabat, les résultats de la technique de soustraction externe que nous utilisons dans notre formation pour prendre en charge cette déformation.Pan African Medical Journal 2016; 2

    Technique de Blount dans le traitement des fractures supra condyliennes du coude chez l’enfant: à propos de 68 cas

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    La fracture de la palette humérale est la plus fréquente des fractures du coude de l’enfant. La méthode de BLOUNT, constitue une perspective thérapeutique longtemps connue. Elle consiste en une réduction sous  contrôle scopique de la fracture et une contention en hyper flexion du coude. Notre série a porté sur l’étude de 68 cas de fractures supra condyliennes chez des enfants traités dans le service des urgences chirurgicales pédiatriques de l’hôpital d’enfant de Rabat entre janvier 2009 et janvier 2012. Nous comparons nos résultats  avec les données de la littérature.Key words: Humérus, fracture supra condyliennes, enfant, traitement orthopédiqu

    La pseudarthrose du col fémoral traitée par prothèse totale de la hanche: à propos de 15 cas

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    La pseudarthrose du col fémoral est une complication redoutée de la facture du col fémoral, elle est due  soit à une négligence thérapeutique, soit à une  ostéosynthèse imparfaite. Plusieurs facteurs sont   incriminés dans sa genèse, l’âge, les caractéristiques de la fracture, l’état de la tête fémorale, et une  ostéosynthèse non solide. Le diagnostic des pseudarthroses est essentiellement radiologique. Le  traitement reste encore difficile et mal codifié, les limites entre  traitement conservateur et arthroplastie de la hanche ne sont pas encore bien définies. Nous rapportons une série de 15 cas de pseudarthrose du  col fémoral  traités par arthroplastie de la hanche au service de traumato-orthopédie du Centre Hospitalier Universitaire de Rabat de 2008 à 2014 soit un recul de 40 mois en   moyenne. Nos patients ont bénéficié  d’une évaluation clinique et radiologique. L’âge de nos patients varie entre 48 et 81 ans, avec une  moyenne de 69,2 ans. 85% d’entre eux sont âgés de plus de 60 ans. Nous avons dans notre série une  prédominance féminine, soit 8 femmes pour 7 hommes. La négligence thérapeutique est la cause de la majorité des pseudarthroses du col du fémur traitées dans notre série. Par ailleurs, nous avons utilisé exclusivement la voie d’abord postéro externe de Moore. Nous avons mis en place une prothèse totale de couple polyéthylène-métal chez tous les patients, ces prothèses étaient cimentées chez 12 patients. Le résultat fonctionnel a été coté selon la classification de Merle d’Aubigné. Nos résultats ont été jugés bons selon cette cotation. L’arthroplastie totale de la hanche a une place importante dans le traitement des pseudarthroses du col fémoral et peut donner des résultats satisfaisants en permettant de récupérer une hanche mobile et indolore.Key words: Pseudarthrose du col fémoral, nécrose tête fémorale, arthroplastie de la hanch

    Rupture bilatérale des tendons rotuliens chez un sujet jeune sans notion de maladies systémiques ou de traitement par les corticostéroïdes: à propos d’un cas et revue de la literature

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    Les lésions du tendon rotulien sont moins communes que celles du tendon quadricipital. Les lésions  bilatérales sont encore plus rares et sont souvent associées à une notion de tendinopathie, d'injection de corticoïdes ou de maladies systémiques tels que le lupus érythémateux, l'ostéomalacie ou l'insuffisance rénale chronique. Nous rapportons le cas d'un patient de 26 ans victime d'une rupture bilatérale du tendon rotulien suite à une réception de saut. Le patient n'avait pas d'antécédents de tendinopathie ni de  maladies systémiques. Le diagnostic a été suspecté devant une position anormalement haute des deux  rotules avec une impossibilité d'extension active des deux jambes. L'échographie a confirmé le diagnostic. Le patient a été traité par la technique de laçage selon Judet protégée par un cadrage. La  rupture bilatérale du tendon rotulien est rare. La plupart des patients rapportent une notion de maladie systémique ou un antécédents de chirurgie du genou. Nous rapportons le cas d'une lésion rare dans la littérature, une rupture bilatérale des tendons rotuliens sans notions de maladies auto-immunes ni de traitement avec des corticostéroïdes. Les lésions bilatérales présentent certaines particularités  diagnostiques et thérapeutiques.En effet l'objectivation d'une rotule haute peut être rendu difficile par un aspect controlatéral semblable. Concernant le volet thérapeutique, deux difficultés sont à noter la première réside dans l'absence de référence comparative pour la hauteur patellaire. La deuxième difficulté est l'obligation de différer l'appui à 45 jours. Ce qui est contraignant pour le patient. La technique de laçage décrite par judet couplée à un cadrage provisoire protégeant la suture nous a donné des résultats satisfaisants.Key words: Rupture bilatérale, tendon rotulien, maladies systémiques, corticostéroïde

    L’énucléation totale de l'astragale ( à propos de 6 cas ).

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    Le but de notre travail est de tracer le profil physiopathologique, clinique et surtout thérapeutique de l’énucléation astragalienne sur une série de 6 cas rapportés dans le service de traumatologie orthopédie de RABAT sur une période de 24 ans entre 1986 et 2009 avec revue de la littérature. Ainsi, nous essayerons de choisir la meilleure méthode thérapeutique celle qui assurera une reprise de l’activité professionnelle avec un minimum d’handicap. Nos patients sont âgés de 21 à 41 ans et sont revus avec un recul de 1 à 8 ans. Ils sont tous de sexe masculin. La plupart des énucléations dans notre série sont dues à un mécanisme par inversion du pied. Le traumatisme initial est secondaire à un accident de la voie publique (4 cas) ou à un accident de travail (2 cas). Le traitement conservateur a intéressé nos 6 patients: • Dans 2 cas il a donné un bon résultat fonctionnel • Dans 4 cas, une arthrodèse tibio-calcanéenne a été nécessaire, deux fois nécrose astragalienne aseptique très mal tolérée, deux fois pour nécrose septique. Nous considérons donc, qu’il est licite de pratiquer une triple arthrodèse d’emblée dans les énucléations fermées, différée dans les énucléations ouvertes de l’astragale vu l’évolution inéluctable vers la nécrose avasculaire de l’astragale

    Prothèse totale de hanche dans les séquelles de coxalgie: à propos de 10 cas

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    La coxalgie entraine des destructions ostéo-cartilagineuses de l’articulation de la hanche, ces lésions sont responsables de douleurs intenses provoquant des gènes fonctionnelles et des limitations dans la vie quotidienne. Leur traitement chirurgical est encore mal codifié. Notre objectif est de montrer à travers cette étude l’intérêt de l’arthroplastie totale de hanche associée à la chimiothérapie antituberculeuse pour l’amélioration de la qualité de vie des patients. Nous rapportons une étude rétrospective portant sur 10 cas de prothèses totales de hanche posées sur séquelles de coxalgie au service de traumatologie-orthopédie du centre hospitalier universitaire Rabat de 2002 à 2011. L’âge moyen de nos patients est de 38 ans. La découverte de la coxalgie s’est faite dans des circonstances différentes en fonction des patients. La voie d’abord que nous avons utilisé est exclusivement postéro-externe de Moore. Les prothèses posées ont toute été cimentées. Quatre patients ont nécessité la reconstruction du cotyle. La biopsie peropératoire est positive chez un patient, négative chez les neuf restants. Tous les patients ont été mis sous traitement antituberculeux. Aucune récidive n’a été notée après un recul minimal de 3 ans. Les résultats selon la cotation de Merle d’Aubigné sont jugés bons. En cas de destruction osseuse avancée avec retentissement fonctionnel très mal supporté chez le sujet d’âge mûr, l’arthroplastie totale demeure le traitement de choix des séquelles de coxalgie sous couverture systématique d’une chimiothérapie antituberculeuse efficace.Pan African Medical Journal 2016; 2
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