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    Obesity, inflammatory markers, and endometrial cancer risk: a prospective case–control study

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    Obesity, a major risk factor for endometrial cancer, is a low-grade inflammatory state characterized by elevated concentrations of cytokines and acute phase reactants. The current study had two aims: first to investigate the associations of C-reactive protein (CRP), interleukin 6 (IL6), and IL1 receptor antagonist (IL1Ra) with endometrial cancer risk and second to examine to which extent these markers can influence the association between obesity and endometrial cancer. We conducted a case–control study, nested within the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition, which comprised 305 incident cases of endometrial cancer and 574 matched controls. CRP, IL6, and IL1Ra were measured in prospectively collected blood specimens by immunoassays. Data were analyzed using conditional logistic regression. All statistical tests were two-sided, and P values <0.05 were considered statistically significant. We observed a significant increase in risk of endometrial cancer with elevated levels of CRP (odds ratio (OR) for top versus bottom quartile: 1.58, 95% confidence interval (CI): 1.03–2.41, Ptrend=0.02), IL6 (OR for top versus bottom quartile: 1.66, 95% CI: 1.08–2.54, Ptrend=0.008), and IL1Ra (OR for top versus bottom quartile: 1.82, 95% CI: 1.22–2.73, Ptrend=0.004). After adjustment for body mass index (BMI), the estimates were strongly reduced and became non-significant. The association between BMI and endometrial cancer was also substantially attenuated (∼10–20%) after adjustment for inflammatory markers, even when the effects of C-peptide or estrone had already been taken into account. We provided epidemiological evidence that chronic inflammation might mediate the association between obesity and endometrial cancer and that endometrial carcinogenesis could be promoted by an inflammatory milieu

    Les ligands modulateurs du récepteur de la progestérone (PRMs) (mécanismes d'action et applications thérapeutiques)

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    La progestérone est une hormone stéroïde ayant un rôle fondamental pour la fonction reproductive chez la femme. Elle agit essentiellement en se fixant sur un récepteur nucléaire. Il existe deux isoformes du récepteur de la progestérone humain (PR), PRA et PRB, dont la localisation tissulaire et les fonctions ne sont pas identiques. Une nouvelle famille de ligands de PR se développe actuellement, les Modulateurs du Récepteur de la Progestérone (PRMs), dont l'activité est agoniste ou antagoniste en fonction du contexte cellulaire. Ces molécules sont des ligands des deux isoformes, capables d'induire l'" activation " de PR, sa dimérisation, et sa liaison à l'ADN. La première partie de ce travail a pour but d'évaluer les connaissances actuelles sur le mode d'action des ligands du récepteur de la progestérone. La seconde partie du travail consiste en une revue de la littérature sur les applications cliniques potentielles de ligands du récepteur de la progestérone. La progestérone et les différents ligands agonistes du récepteur de la progestérone sont utilisés en pratique clinique dans de diverses applications. L'effet antigonadotrope de ces molécules est utilisé en contraception, leur effet antiprolifératif sur l'endomètre est utilisé dans le cadre du traitement substitutif de la ménopause, en association aux estrogènes. Différents ligands antagonistes sont décrits et le chef de file de cette classe est la mifépristone. Ce composé a plusieurs applications cliniques notamment pour la prise en charge de l'interruption médicale de grossesse. Enfin en position intermédiaire dans le spectre se trouvent des molécules dont l'activité est agoniste ou antagoniste en fonction du tissu ou du type cellulaire étudié, de la dose administrée et de la présence ou non d'une imprégnation progestative parallèle. Certaines de ces molécules sont actuellement en cours de développement dans le traitement du fibrome, de l'endométriose, et en contraception oralePARIS6-Bibl.Pitié-Salpêtrie (751132101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Effets des modulateurs sélectifs du récepteur de la progestérone dans l'endomètre humain

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    La progestérone contrôle l ovulation, et la maturation de l endomètre, via un récepteur nucléaire (PR). L activation de la transcription dépend de l isoforme (A ou B) de PR et de la conformation adoptée par le récepteur lié au ligand. Le recrutement par ce complexe de coactivateurs ou de corépresseurs peut induire des effets agonistes ou antagonistes en fonction du contexte cellulaire. La connaissance précise des effets endométriaux des PRMs est nécessaire à leur développement clinique. Au cours de ce travail nous avons évalué les effets chez la femme d un nouveau PRM et montré que ce composé peut inhiber l ovulation sans réprimer les niveaux d estradiol. Au niveau endométrial un aspect sécrétoire particulier, compartiment spécifique, est induit. Nous avons également montré dans des lignées cellulaires humaines stables qu un ligand antagoniste de l isoforme B pourrait avoir une activité agoniste partielle sur l isoforme A. Enfin nous avons caractérisé un nouveau coactivateur de PR B, qui potentialise l effet du coactivateur SRC-1. Ces données produisent de nouvelles pistes dans la compréhension des effets des PRMS, notamment dans l endomètre humain.PARIS-BIUSJ-Thèses (751052125) / SudocPARIS-BIUSJ-Physique recherche (751052113) / SudocSudocFranceF

    Prévention de l'infertilité (pratiques des médecins généralistes, déterminants et perspectives de mise en oeuvre par la méthode du focus group)

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    La fertilité du couple est mise en danger par les perturbateurs environnementaux (tabac, alcool, autres toxiques, obésité, stress, médicaments), les Infections Sexuellement Transmissibles et le recul de l âge parental. La communauté scientifique estime essentiel de sensibiliser les couples à ces facteurs de risque d infertilité.Nous nous sommes intéressés aux pratiques actuelles des médecins généralistes français concernant la prévention de l infertilité et à leurs déterminants. La méthode du focus group nous a permis d étudier leurs représentations, connaissances ainsi que leurs comportements et motivations. Les pratiques de prévention primaire et secondaire de l infertilité diffèrent chez les médecins interrogés. La méconnaissance des facteurs de risque d infertilité et des recommandations, le manque de conviction sur l efficacité d une telle prévention et des difficultés à cibler la population à informer, les questionnements éthiques sur le rôle du médecin traitant, et certains freins pratiques semblent influencer leurs démarches de prévention.Les informations collectées ont permis d identifier les obstacles à la prévention de l infertilité en médecine générale et ont fait naître des pistes de réflexion pouvant permettre de la faciliter. Une sensibilisation des professionnels de santé sur la problématique de l infertilité et ses facteurs de risque, une formation aux techniques de communication, une information globale des jeunes patients en médecine générale et médecine scolaire, une valorisation des actes de prévention par la création d une consultation de prévention dédiée au couple, pourraient permettre d améliorer la prévention de l infertilité en soins primaires.PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocSudocFranceF

    Fertility-Sparing Surgery for Ovarian Cancer

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    International audience(1) Background: although most patients with epithelial ovarian cancer (EOC) undergo radical surgery, patients with early-stage disease, borderline ovarian tumor (BOT) or a non-epithelial tumor could be offered fertility-sparing surgery (FSS) depending on histologic subtypes and prognostic factors. (2) Methods: we conducted a systematic review to assess the safety and fertility outcomes of FSS in the treatment of ovarian cancer. We queried the MEDLINE, PubMed, Cochrane Library, and Cochrane (“Cochrane Reviews”) databases for articles published in English or French between 1985 and 15 January 2021. (3) Results: for patients with BOT, FSS should be offered to young women with a desire to conceive, even if peritoneal implants are discovered at the time of initial surgery. Women with mucinous BOT should undergo initial unilateral salpingo-oophorectomy, whereas cystectomy is an acceptable option for women with serous BOT. Assisted reproductive technology (ART) can be initiated in patients with stage I BOT if infertility persists after surgery. For patients with EOC, FSS should only be considered after staging for women with stage IA grade 1 (and probably 2, or low-grade in the current classification) serous, mucinous or endometrioid tumors. FSS could also be offered to patients with stage IC grade 1 (or low-grade) disease. For women with serous, mucinous or endometrioid high-grade stage IA or low-grade stage IC1 or IC2 EOC, bilateral salpingo-oophorectomy and uterine conservation could be offered to allow pregnancy by egg donation. Finally, FSS has a large role to play in patients with non- epithelial ovarian cancer, and particularly women with malignant ovarian germ cell tumors
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