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    Synergy Modelling and Financial Valuation : the contribution of Fuzzy Integrals.

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    Les mĂ©thodes d’évaluation financiĂšre utilisent des opĂ©rateurs d’agrĂ©gation reposant sur les propriĂ©tĂ©s d’additivitĂ© (sommations, intĂ©grales de Lebesgue). De ce fait, elles occultent les phĂ©nomĂšnes de renforcement et de synergie (ou de redondance) qui peuvent exister entre les Ă©lĂ©ments d’un ensemble organisĂ©. C’est particuliĂšrement le cas en ce qui concerne le problĂšme d’évaluation financiĂšre du patrimoine d’une entreprise : en effet, en pratique, il est souvent mis en Ă©vidence une importante diffĂ©rence de valorisation entre l’approche « valeur de la somme des Ă©lĂ©ments » (privilĂ©giant le point de vue financier) et l’approche « somme de la valeur des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments » (privilĂ©giant le point de vue comptable). Les possibilitĂ©s offertes par des opĂ©rateurs d’agrĂ©gation comme les intĂ©grales floues (Sugeno, Grabisch, Choquet) permettent, au plan thĂ©orique, de modĂ©liser l’effet de synergie. La prĂ©sente Ă©tude se propose de valider empiriquement les modalitĂ©s d’implĂ©mentation opĂ©rationnelle de ce modĂšle Ă  partir d’un Ă©chantillon d’entreprises cotĂ©es ayant fait l’objet d’une Ă©valuation lors d’une OPA.Financial valuation methods use additive aggregation operators. But a patrimony should be regarded as an organized set, and additivity makes it impossible for these aggregation operators to formalize such phenomena as synergy or mutual inhibition between the patrimony’s components. This paper considers the application of fuzzy measure and fuzzy integrals (Sugeno, Grabisch, Choquet) to financial valuation. More specifically, we show how integration with respect to a non additive measure can be used to handle positive or negative synergy in value construction.Fuzzy measure; Fuzzy integral; Aggregation operator; Synergy; Financial valuation;

    La « rémunération étudiante » (1950) : une proposition de loi à la croisée des solidarités salariales et de la réforme universitaire

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    International audienceThe article focuses on a legislative bill in favour of stipends for students that was introduced in 1950 and discussed in 1951. The author, who regards such a bill as a result of the reform of higher education initiated by the Langevin-Wallon plan (1947), shows that the legitimacy of stipends increased following the said reform and additional pay rights for students on the one hand and that its eventual rejection by the government is rooted in the possible counter-power opportunities provided by the fund in charge of pay management.L’article prend pour objet une proposition parlementaire en faveur d’une « rĂ©munĂ©ration Ă©tudiante » dĂ©posĂ©e en 1950 et discutĂ©e en 1951. Voyant dans une telle proposition un soubresaut de la rĂ©forme de l’enseignement supĂ©rieur proposĂ©e par le plan Langevin-Wallon (1947), il dĂ©montre, d’une part que la rĂ©munĂ©ration Ă©tudiante construit, comme le plan, sa lĂ©gitimitĂ© autour d’une rĂ©forme de l’enseignement supĂ©rieur et d’une extension des droits salariaux aux Ă©tudiants, et d’autre part que son rejet final par le gouvernement s’enracine dans les possibles ouverts par le contre-pouvoir qu’aurait constituĂ© la caisse gestionnaire de la rĂ©munĂ©ration

    Àlex Casta, Responsable de TransferĂšncia TecnolĂČgica i InnovaciĂł de Biocat

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    Les ciĂšncies de la vida Ă©s un dels sectors amb mĂ©s futur a Catalunya. En els Ășltims anys, la biotecnologia, la biomedicina i les tecnologies mĂšdiques s'han convertit en un motor de creixement econĂČmic per al paĂ­s i, com a tal requereixen de professionals amb nous coneixements, capacitats i habilitats. Biocat i la Facultat de BiociĂšncies de la UAB van organitzar a finals de maig la jornada "Un mĂłn mĂ©s enllĂ  de l'acadĂšmia: perspectives professionals en el sector biomĂšdic", en quĂš es va aprofundir en les opcions professionals del sector. Àlex Casta, doctor en Biologia Molecular i Responsable de TransferĂšncia TecnolĂČgica i InnovaciĂł de Biocat -entitat que coordina i promou el sector a Catalunya-, hi va participar com a conferenciant

    Pulmonary atresia with intact ventricular septum

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    Data aproximada entre els anys 1998 a 2000Primer pla relatiu a un edifici d'habitatges al carrer Ample, 54. El seu nivell de catalogaciĂł Ă©s el C

    Des bourses aux prĂȘts : retour sur la privatisation de la politique sociale des Ă©tudiants anglais

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    La crĂ©ation en 1990 de la " Student loans company " (SLC) par le gouvernement conservateur britannique a marquĂ© le dĂ©but d'une hausse concomitante des frais d'inscription et des prĂȘts Ă  la charge des Ă©tudiants anglais. Elle constitue une rupture avec la politique antĂ©rieure garantissant la gratuitĂ© des Ă©tudes supĂ©rieures et des bourses d'entretien Ă  la majoritĂ© des Ă©tudiants britanniques. Elle initie aussi de nouveaux rapports de pouvoir dans ce domaine entre des autoritĂ©s locales jusqu'ici responsables de ces questions et le gouvernement britannique. Si la gestion des autoritĂ©s locales revient Ă  des reprĂ©sentants politiques locaux Ă©lus au suffrage universel, la SLC est une agence financĂ©e par le gouvernement mais au fonctionnement indĂ©pendant du ministĂšre ou de toute autre institution politique. Les gouvernements travaillistes ont par la suite confirmĂ© cette tendance au dessaisissement des acteurs publics. Le rĂŽle de la SLC a en effet Ă©tĂ© accru depuis 1997 puisqu'elle s'est vue confiĂ©e la distribution de nouvelles ressources et une nouvelle agence, l' " Office for fair access " (OFFA) a Ă©tĂ© lancĂ©e en 2006 afin de mettre en place dans les Ă©tablissements universitaires des politiques locales de soutien aux Ă©tudiants. Cette recomposition de la distribution des ressources monĂ©taires dĂ©volues aux Ă©tudiants s'inscrit dans une politique publique d'enseignement supĂ©rieur entamĂ©e Ă  la fin des annĂ©es 80 par les conservateurs et poursuivie par les gouvernements de Tony Blair Ă  partir de 1997. AudelĂ  des Ă©lĂ©ments de rupture qui la traversent, cette politique publique a eu pour objectif constant depuis 1987 l'augmentation des effectifs Ă©tudiants et l'Ă©largissement de l'accĂšs Ă  l'enseignement supĂ©rieur aux Ă©tudiants dits " non traditionnels " issus des groupes socioĂ©conomiques dĂ©favorisĂ©s (classes populaires, femmes cĂ©libataires, minoritĂ©s ethniques, ...). Si cette volontĂ© d'expansion du systĂšme Ă©ducatif n'est pas nouvelle, les impĂ©ratifs Ă©conomiques qui lui sont associĂ©s le sont davantage. Ils ont contribuĂ© Ă  mettre en doute la nature et la rĂ©alitĂ© de la politique d'accĂšs prĂ©conisĂ©e depuis 1987. En focalisant notre attention sur le dĂ©veloppement concomitant des frais d'inscription et de l'endettement Ă©tudiant et en le considĂ©rant comme un Ă©lĂ©ment fondamental de l'expansion de l'enseignement supĂ©rieur britannique depuis 1987, nous entendons mettre en question la capacitĂ© de la nouvelle politique sociale Ă©tudiante par-delĂ  ses ruptures et ses continuitĂ©s, Ă  reconfigurer dans le temps les rĂ©alitĂ©s sociales Ă©tudiantes. Il ne s'agit pas ici de savoir si la crĂ©ation de la SLC et le dessaisissement progressif des autoritĂ©s locales d'Ă©ducation est un moyen de dĂ©politiser le dĂ©bat sur les questions Ă©tudiantes, mais plutĂŽt de savoir si cette privatisation modifie les rapports que les Ă©tudiants anglais entretiennent avec les Ă©tudes supĂ©rieures, leur famille ou le marchĂ© du travail, ainsi que d'Ă©valuer le poids du groupe socioĂ©conomique d'appartenance dans ces Ă©volutions. Le rapport Dearing publiĂ© en 1997, les livres blancs sur l'enseignement supĂ©rieur publiĂ©s en 1987, 1991 et 2003, illustrent les ruptures et les continuitĂ©s des objectifs assignĂ©s par les conservateurs et les travaillistes depuis une vingtaine d'annĂ©es. L'Ă©largissement et l'augmentation des effectifs Ă©tudiants ont Ă©tĂ© financĂ©s via la distribution de plus en plus massive par la SLC de prĂȘts et autres ressources afin de soulager les Ă©tudiants des augmentations successives des frais d'inscription. Si la composition des revenus en fonction des groupes socio-Ă©conomiques d'appartenance met en lumiĂšre des inĂ©galitĂ©s entre Ă©tudiants, un mouvement gĂ©nĂ©ral et durable conditionne dĂ©sormais l'accĂšs aux Ă©tudes supĂ©rieures Ă  un endettement croissant et Ă  l'exercice d'une activitĂ© salariĂ©e

    Intangibles mismeasurements, synergy, and accounting numbers : a note.

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    For the last two decades, authors (e.g. Ohlson, 1995; Lev, 2000, 2001) have regularly pointed out the enforcement of limitations by traditional accounting frameworks on financial reporting informativeness. Consistent with this claim, it has been then argued that accounting finds one of its major limits in not allowing for direct recognition of synergy occurring amongst the firm intangible and tangible items (Casta, 1994; Casta & Lesage, 2001). Although the firm synergy phenomenon has been widely documented in the recent accounting literature (see for instance, Hand & Lev, 2004; Lev, 2001) research hitherto has failed to provide a clear approach to assess directly and account for such a henceforth fundamental corporate factor. The objective of this paper is to raise and examine, but not address exhaustively, the specific issues induced by modelling the synergy occurring amongst the firm assets whilst pointing out the limits of traditional accounting valuation tools. Since financial accounting valuation methods are mostly based on the mathematical property of additivity, and consequently may occult the perspective of regarding the firm as an organized set of assets, we propose an alternative valuation approach based on non-additive measures issued from the Choquet's (1953) and Sugeno's (1997) framework. More precisely, we show how this integration technique with respect to a non-additive measure can be used to cope with either positive or negative synergy in a firm value-building process and then discuss its potential future implications for financial reporting.Financial reporting; accounting goodwill; assets synergy; non-additive measures; Choquet’s framework;

    Value relevance of comprehensive income and its components: Evidence from major European capital markets.

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    This study investigates the extent to which three key summary accounting income figures, namely operating income, net income and comprehensive income, provide value-relevant information to investors in Germany, France, Italy, Spain and the UK. Using a large sample over the pre-IAS-compliance period 1992-2004, we find that all these three accounting income measures are statistically associated with share returns in any of the countries under analysis although our results show some disparities in the degree of ‘usefulness’ across country samples. Our main results are then threefold. We first provide evidence that comprehensive income is less value-relevant than both the bottom-line and operating income figures in all the sample countries. Second, our results show that aggregate other comprehensive income (or dirty surplus flow) is value-relevant and provides incremental price-relevant information beyond net income in most of the sample countries. This finding is rather different from the existing literature based in the US and UK that suggests other comprehensive income is generally not value-relevant especially when it is not separately disclosed in financial statements. Finally, we find that increased transparency on reporting other comprehensive income in financial statements as required by the UK (FRS3) and US (SFAS130) accounting standards may have warranted a stronger statistical association between firm share returns and comprehensive income. This last finding therefore strongly supports the ideology underlying the IASB/FASB joint project on ‘Performance Reporting’, and also provides evidence supporting Beaver’s (1981) and Hirst and Hopkins’ (1998) psychology-based financial reporting theory.performance reporting; other comprehensive income; comprehensive income; Value-relevance;

    Intangible investments & accounting numbers : usefulness, informativeness, and relevance on the European stock markets.

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    This study investigates whether European domestic GAAPs used for intangibles recognition prior to the IFRS adoption exhibit major differences while examining the relationship between a firm's economic (financial, operating and competitive) performance and its recognized intangible investment (RII). Using a five-European-country sample over the pre-IFRS compliance period 1993-2004, we first provide evidence that, independently of the intangibles accounting recognition practices, investors adopt a short-term perspective or "myopic view" while constructing their portfolios by penalizing firms with high RII. Secondly, contrary to the resource-based view, our results suggest that RII do not underpin under any accounting treatment better competitive position inside a specific industry. Finally, our findings clearly support the idea that EU continental accounting standards, while opposed to Anglo-Saxon settings, ease the relationship existing between RII and firm operating performance. This last result would suggest that IFRS adoption could lead to disconnect operating margins from RII and subsequently challenge the widespread claim that IFRS help produce higher-quality reporting about a firm's operating activities.R&D; Intangible investments; accounting numbers; informativeness; usefulness; value-relevance;

    Double beta decay of 100Mo^{100}Mo: the deformed limit

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    The double beta decay of 100Mo^{100}Mo to the ground state and excited states of 100Ru^{100}Ru is analysed in the context of the pseudo SU(3) scheme. The results of this deformed limit are compared with the vibrational one based on the QRPA formalism. Consistency between the deformed limit and the experimental information is found for various ÎČÎČ\beta\beta transitions, although, in this approximation some energies and B(E2) intensities cannot reproduced.Comment: 16 pages, revtex, no figures. Submmitted to Phys. Rev.
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