Effet de differentes sources de phosphate sur le rendement du riz sur sols acides

Le rendement du riz paddy reste faible ( 2 t ha-1) et l'efficience agronomique relative (> 40 %), par rapport à PT durant les deux premières années. L'usage d'une source de P contenant S, Al et Fe comme le SS à 60 kg P ha-1 combinée à des résidus de matière organique a été recommandée pour une riziculture plus productive et durable.Mots clés : Sols acides, hyperdystric ferralsol, engrais phosphatés, riziculture, Man

Optical pattern formation with a 2-level nonlinearity

We present an experimental and theoretical investigation of spontaneous pattern formation in the transverse section of a single retro-reflected laser beam passing through a cloud of cold Rubidium atoms. In contrast to previously investigated systems, the nonlinearity at work here is that of a 2-level atom, which realizes the paradigmatic situation considered in many theoretical studies of optical pattern formation. In particular, we are able to observe the disappearance of the patterns at high intensity due to the intrinsic saturable character of 2-level atomic transitions.Comment: 5 pages, 4 figure

Effet de la fertilisation azotée et phosphorée sur le développement de la Panachure jaune en riziculture aquatique en Côte d’Ivoire

La crise mondiale du riz survenue en 2008 a montré l’impérative nécessité pour les pays tributaires des importations comme la Côte d’Ivoire, d’assurer leur autosuffisance. La fertilisation minérale figure parmiles cinq axes stratégiques définis pour l’accroissement de la production rizicole en Côte d’Ivoire. Sachant l’effet stimulateur de l’engrais azoté sur le développement de certaines maladies telle que la Pyriculariose duriz, un essai a été conduit dans le but de savoir l’influence d’une application optimale de l’azote sur l’épidémie de la Panachure jaune du riz ou Rice Yellow Mottle Virus (RYMV). L’étude a été réalisée selon un dispositif expérimental en SPLIT-PLOT comportant quatre niveaux d’azote (0 kg N Ha-1, 30 kg N Ha-1, 60 kg N Ha-1, 120 kg N Ha-1), trois niveaux de phosphore (0 kg P Ha-1, 13 kg P Ha-1, 26 kg N Ha-1) et 10 génotypes de riz irrigué. Les résultats ont montré que le phosphore et l’interaction NxP n’ont aucun effet significatif sur l’épidémie de RYMV. A l’opposé, les analyses ont mis en évidence un effet significatif de l’azote sur l’incidence de la Panachure jaune à des doses comprises entre 0 et 30 Kg N Ha-1. Cet intervalle de doses étant en deçà de celui des doses recommandées en Côte d’Ivoire, l’intensification de la riziculture aquatique par unefertilisation azotée optimale, n’aura pas d’incidence significative sur le développement de la Panachure jaune. Il faudra cependant sensibiliser les riziculteurs sur l’intérêt d’appliquer des doses d’engrais recommandées dans la lutte contre la virose.Mots clés: Riz irrigué, fertilisation minérale, épidémie, RYMV, incidence

Effet du paillage par des residus de pois d’angole (cajanus cajan l.) sur le rendement du riz (oryza sativa) pluvial en zone forestiere de Côte d’Ivoire

La riziculture pluviale, en zone forestière de la Côte d'Ivoire, est confrontée à plusieurs contraintes, dont, notamment la baisse de fertilité du sol et l'enherbement excessif. L'effet du paillage de Cajanus cajan comme engrais organique pour le riz pluvial, NERICA 1(Bonfani), a été évalué, en termes de rendement du riz. Cette étude a été conduite de 2003 à 2005 à la station de recherche du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) de Gagnoa. Deux rotations, à base de riz, avec les jachères à C. cajan de 6 mois et de 12 mois ont été testées et comparées, à celle avec la jachère naturelle. La biomasse des précédentes jachères est restée sur le sol comme mulch. Les résultats montrent que C. cajan âgé de 12 mois a produit une biomasse sèche de 17 t ha-1, en moyenne sur deux ans contre 1,7 t.ha-1 en 6 mois. La rotation riz avec C. cajan de 12 mois a amélioré significativement le rendement du riz, avec un gain de paddy qui a varié entre 700 et 900 kg ha-1, par rapport à la jachère naturelle. En plus, cette jachère à cajanus de 12 mois a permis de maintenir un minimum de rendement 1t ha-1. Cette technique offre une alternative de gestion durable des systèmes traditionnels de riziculture pluviale

The use of carbon dioxide in big bags and containers for the control of pest in food products

Modified atmospheres (MA) based on high carbon dioxide (CO2) contents offer an alternative to synthetic chemical fumigation for insect pest control in food commodities during storage and shipment processes. The present study aimed to establish the efficacy of using CO2 in big bags and containers to prevent pests’ development. Four trials were conducted with gastight big bags (900 x 900 x 1000 or 1600 cm). Two of these trials were conducted with polished rice and samples of Sitophilus oryzae, one trial with chamomile infested with Lasioderma serricorne and one trial with cocoa and samples of Tribolium confusum and Ephestia kuehniella. Initial contents of CO2 were higher than 75%, which decreased depending on exposure time (13 to 90 d) and food product. In all four trials the insects present in the infested samples were controlled with the MA. An additional trial was conducted in a 9 m container containing dried herbs in boxes, big bags and other pacaging formats. Twelve infested samples of L. serricorne and Plodia interpunctella were distributed uniformly at the bottom and top of the container. A concentration between 70% and 15% CO2 was maintained for an exposure time of 18 d. In spite of the decrease in CO2 content, the treatment was also effective to control all insects present in the samples. Our results confirmed that CO2 could be applied to food products during the storage in big bags and containers to control the occurrence of pests. Keywords: Modified atmosphere, Carbon dioxide, Pest control, Stored-product pests

Glycerol electrooxidation on platinum-tin electrodeposited films: inducing changes in surface composition by cyclic voltammetry

In this work, PtSn binary electrodeposits were prepared in three compositions and submitted to successive voltammetric cycles in presence of glycerol (1.0 mol L−1) in acidic media. Catalysts were characterized by energy dispersive X-ray analysis and X-ray photoelectron spectroscopy before and after the cycles being performed, in order to check eventual changes in their compositions during the process. Spectroscopic results show that surface compositions are sensibly richer in Sn than their bulk counterparts. Overall, PtSn catalysts show a poor initial catalytic activity toward glycerol electrooxidation. However, as the cycles succeed, the voltammetric responses increasingly resemble that of Pt, while the oxidation currents increase. Results are rationalized in terms of a continuous enrichment of the surface by Pt at the expenses of a loss of Sn. Moreover, when the electrochemical surface area (ECSA) is estimated by stripping of CO, it becomes evident that electrooxidation currents remain growing, even when the ECSA is decreased, which makes the gain in catalytic activity particularly relevant. Ultimately, from a broader perspective, our results suggest that catalytic surfaces with tunable features (such as surface composition and catalytic response) can be obtained by the application of easily executable electrochemical protocols.Instituto de Investigaciones Fisicoquímicas Teóricas y Aplicada