19 research outputs found

    Gender and class in Britain and France

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    This article examines the treatment of women's oppression in feminist theory, focusing on the engagement of second wave feminists with the concept of class and its relation to gender. This examination is carried out with reference to British and French feminisms, identifying the main trends and shifts that have developed over the last 35 years and noting that while these are undoubtedly influenced by a particular national context they are also shaped by increasing European integration and social, political and cultural exchanges at a global level. The authors find evidence of a number of similarities in the questions that feminist theorists have asked in Britain and France but also demonstrate that there are significant differences. They conclude that areas of convergent theoretical interests will extend along with cross-border flows of peoples and information

    Philippe Veysset : Le défi des pères séparés

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    Comme on fait sa vie. 2, Des familles sur la corde raide : les femmes O. S. chez Renault à Dreux

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    National audienceL’ouvrage de 1984 intitulé « Comme on fait sa vie, des familles sur la corde raide, les femmes OS, chez Renault à Dreux » ed CSU, est un des volets d’une recherche collective menée à l’époque par quatre équipes de chercheurs engagés dans le Réseau Approches Sociologiques des Modes de Vie (1982…). Ils voulaient étudier à partir des mêmes questions et des mêmes méthodes, les modes de vie de familles récemment arrivés dans quatre bassins d’emplois industriels. Danielle Combes et Monique Haicault (CSU et Université Toulouse-II) ont alors rencontré des femmes ouvrières spécialisées (OS) de l’usine automobile Renault à Dreux; Alain Jeantet et Henri Tiger (GETUR), des familles d’ouvriers de l’usine de matériel électrique Merlin-Gérin à Grenoble ; Michel Pinçon, et Paul Rendu (CSU), des familles de métallurgistes des Aciéries Thomé à Nouzonville dans la Meuse ; Francis Godard et Paul Bouffartigue, des familles de techniciens, ouvriers qualifiés et agents de maîtrise de l’usine de sidérurgie la Solmer de Fos-sur-Mer.La recherche effectuée entre 1982 et 1984 avec Danièle Combes auprès des ouvrières spécialisées (les OS) de Renault à Dreux visait à cerner des régularités et à identifier des différences dans les modes de vie d’un groupe social, significatif de la population d’un pays. L’approche s’appuyait sur les histoires appréhendées sur une période assez longue selon quatre dimensions inter-reliées. L’histoire de la formation et de la vie professionnelle, celle de la vie familiale (couple et enfants), celle du logement et des territoires habités, celle de la santé (maladies, accidents, contraception). Selon quel processus identifiable les histoires singulières présentaient-elles des régularités au point de composer un ensemble ? Comment les femmes OS de l’usine Renault à Dreux avaient-elles réussi à éviter la précarité et le chômage et à compenser les aléas de la vie au cours d’une période nommée déjà crise. Considérée alors comme exceptionnelle on savait pourtant qu’il s’agissait de situations qui seraient durables, engendrées par le système social et économique lui-même, qui commençait à se mondialiser. Comment parvenaient-elles à tenir en équilibre leur mode d’existence au présent ; un présent toujours exposé à l’événement sur lequel il y a peu de prise quand il s’agit d’un accident de santé - élément important des conditions matérielles d’existence- ou encore de la perte de l’emploi. A l’époque de la recherche il avait été possible de saisir que les femmes étaient pour beaucoup conscientes des difficultés auxquelles elles devraient faire face dans la continuité si elles voulaient offrir un avenir meilleur à leurs enfants. Elles savaient dans les années 1980 que « rester chez Renault » serait toujours une chance

    Comme on fait sa vie. 2, Des familles sur la corde raide : les femmes O. S. chez Renault à Dreux

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    National audienceL’ouvrage de 1984 intitulé « Comme on fait sa vie, des familles sur la corde raide, les femmes OS, chez Renault à Dreux » ed CSU, est un des volets d’une recherche collective menée à l’époque par quatre équipes de chercheurs engagés dans le Réseau Approches Sociologiques des Modes de Vie (1982…). Ils voulaient étudier à partir des mêmes questions et des mêmes méthodes, les modes de vie de familles récemment arrivés dans quatre bassins d’emplois industriels. Danielle Combes et Monique Haicault (CSU et Université Toulouse-II) ont alors rencontré des femmes ouvrières spécialisées (OS) de l’usine automobile Renault à Dreux; Alain Jeantet et Henri Tiger (GETUR), des familles d’ouvriers de l’usine de matériel électrique Merlin-Gérin à Grenoble ; Michel Pinçon, et Paul Rendu (CSU), des familles de métallurgistes des Aciéries Thomé à Nouzonville dans la Meuse ; Francis Godard et Paul Bouffartigue, des familles de techniciens, ouvriers qualifiés et agents de maîtrise de l’usine de sidérurgie la Solmer de Fos-sur-Mer.La recherche effectuée entre 1982 et 1984 avec Danièle Combes auprès des ouvrières spécialisées (les OS) de Renault à Dreux visait à cerner des régularités et à identifier des différences dans les modes de vie d’un groupe social, significatif de la population d’un pays. L’approche s’appuyait sur les histoires appréhendées sur une période assez longue selon quatre dimensions inter-reliées. L’histoire de la formation et de la vie professionnelle, celle de la vie familiale (couple et enfants), celle du logement et des territoires habités, celle de la santé (maladies, accidents, contraception). Selon quel processus identifiable les histoires singulières présentaient-elles des régularités au point de composer un ensemble ? Comment les femmes OS de l’usine Renault à Dreux avaient-elles réussi à éviter la précarité et le chômage et à compenser les aléas de la vie au cours d’une période nommée déjà crise. Considérée alors comme exceptionnelle on savait pourtant qu’il s’agissait de situations qui seraient durables, engendrées par le système social et économique lui-même, qui commençait à se mondialiser. Comment parvenaient-elles à tenir en équilibre leur mode d’existence au présent ; un présent toujours exposé à l’événement sur lequel il y a peu de prise quand il s’agit d’un accident de santé - élément important des conditions matérielles d’existence- ou encore de la perte de l’emploi. A l’époque de la recherche il avait été possible de saisir que les femmes étaient pour beaucoup conscientes des difficultés auxquelles elles devraient faire face dans la continuité si elles voulaient offrir un avenir meilleur à leurs enfants. Elles savaient dans les années 1980 que « rester chez Renault » serait toujours une chance

    Comme on fait sa vie. 2, Des familles sur la corde raide : les femmes O. S. chez Renault à Dreux

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    National audienceL’ouvrage de 1984 intitulé « Comme on fait sa vie, des familles sur la corde raide, les femmes OS, chez Renault à Dreux » ed CSU, est un des volets d’une recherche collective menée à l’époque par quatre équipes de chercheurs engagés dans le Réseau Approches Sociologiques des Modes de Vie (1982…). Ils voulaient étudier à partir des mêmes questions et des mêmes méthodes, les modes de vie de familles récemment arrivés dans quatre bassins d’emplois industriels. Danielle Combes et Monique Haicault (CSU et Université Toulouse-II) ont alors rencontré des femmes ouvrières spécialisées (OS) de l’usine automobile Renault à Dreux; Alain Jeantet et Henri Tiger (GETUR), des familles d’ouvriers de l’usine de matériel électrique Merlin-Gérin à Grenoble ; Michel Pinçon, et Paul Rendu (CSU), des familles de métallurgistes des Aciéries Thomé à Nouzonville dans la Meuse ; Francis Godard et Paul Bouffartigue, des familles de techniciens, ouvriers qualifiés et agents de maîtrise de l’usine de sidérurgie la Solmer de Fos-sur-Mer.La recherche effectuée entre 1982 et 1984 avec Danièle Combes auprès des ouvrières spécialisées (les OS) de Renault à Dreux visait à cerner des régularités et à identifier des différences dans les modes de vie d’un groupe social, significatif de la population d’un pays. L’approche s’appuyait sur les histoires appréhendées sur une période assez longue selon quatre dimensions inter-reliées. L’histoire de la formation et de la vie professionnelle, celle de la vie familiale (couple et enfants), celle du logement et des territoires habités, celle de la santé (maladies, accidents, contraception). Selon quel processus identifiable les histoires singulières présentaient-elles des régularités au point de composer un ensemble ? Comment les femmes OS de l’usine Renault à Dreux avaient-elles réussi à éviter la précarité et le chômage et à compenser les aléas de la vie au cours d’une période nommée déjà crise. Considérée alors comme exceptionnelle on savait pourtant qu’il s’agissait de situations qui seraient durables, engendrées par le système social et économique lui-même, qui commençait à se mondialiser. Comment parvenaient-elles à tenir en équilibre leur mode d’existence au présent ; un présent toujours exposé à l’événement sur lequel il y a peu de prise quand il s’agit d’un accident de santé - élément important des conditions matérielles d’existence- ou encore de la perte de l’emploi. A l’époque de la recherche il avait été possible de saisir que les femmes étaient pour beaucoup conscientes des difficultés auxquelles elles devraient faire face dans la continuité si elles voulaient offrir un avenir meilleur à leurs enfants. Elles savaient dans les années 1980 que « rester chez Renault » serait toujours une chance

    Les droits et les devoirs parentaux ou l’appropriation des enfants

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    La reproduction de la vie humaine est considérée ici comme une production sociale, organisée et gérée par les rapports sociaux de sexe. À partir d'une recherche sur les pratiques par lesquelles hommes et femmes se définissent socialement comme parents, dans le cadre de la loi française, les auteures formulent l'hypothèse d'une appropriation des enfants, la décomposent et définissent son rapport théorique à l'appropriation des femmes par les hommes dans les rapports sociaux de sexe. Puis, elles suivent le fil directeur du partage des droits et des devoirs parentaux pour montrer comment, dans l'établissement de la filiation et l'exercice de la parentalité, s'élaborent des processus d'appropriation des enfants par les hommes.The reproduction of human life is considered here as a social production organised and managed by gender relations. Results from research on the practices by which men and women define themselves as parents in the framework of French law have been used. The authors formulate the assumption of an appropriation of children, analyse it and show its theoretical relationship with the appropriation of women by men through gender relations. Using as their main thread the division in parental rights and duties they show how the appropriation of children by men is constructed through filiation and parenthood

    Neurotensin type 1 receptor-mediated activation of krox24, c-fos and Elk-1: preventing effect of the neurotensin antagonists SR 48692 and SR 142948

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    AbstractStimulation of neurotensin (NT) type 1 receptors (NT1-R) in transfected CHO cells is followed by the activation of mitogen-activated protein kinases and the expression of the early response gene krox24. By making point mutations and internal deletions in the krox24 promoter, we show that proximal serum responsive elements (SRE) are involved in transcriptional activation by NT. In addition, we show that the related early response gene c-fos and the Ets protein Elk-1 are also induced by NT. The involvement of NT1-R in NT-mediated activation of krox24, c-fos and Elk-1 was demonstrated by the preventing effect of the specific antagonists SR 48692 and SR 142948. Finally, we show that the activation of krox24 and Elk-1 on the one hand, and that of c-fos on the other hand, result from independent transduction pathways since the former are pertussis toxin-sensitive whereas the latter is insensitive to pertussis toxin
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