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    Engraissement de taurillons de race française frisonne pie noire en Guadeloupe. Utilisation comparée d'aliments à base de son et de céréales

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    En Guadeloupe, 2 groupes de 12 et 9 taurillons frisons ont reçu entre le sevrage et l'abattage à 15 mois de l'herbe hachée (Pangola) en quantité limitée et un aliment concentré ad libitum, soit hautement énergétique (66 p. 100 céréales, 10 p.100 tourteau d'arachide, 21 p. 100 luzerne déshydratée), soit moins énergétique (85 p. 100 son de blé, 10 p. 100 mélasse de canne à sucre, 1,5 p. 100 urée). Les gains moyens journaliers (888 et 854 g) et les consommations journalières d'aliment concentré (6,2 et 6,0 kg) n'ont pas été significativement différentes. Le régime moins énergétique a donc été utilisé plus efficacement. Les consommations et croissances obtenues avec le régime riche en énergie sont inférieures à celles qui ont été enregistrées avec ce même régime sur le même génotype en milieu tempér

    Les cannes de maïs dans l'alimentation des ruminants : Utilisation des cannes traitées à l'ammoniac et à l'urée par des bovins à besoins modérés

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    Les cannes de maïs récoltées en balles rondes derrière la moissonneuse-batteuse et conservées par injection de 3 kg d’ammoniac pour 100 kg de matière sèche de canne peuvent constituer l’essentiel (80 %) de la ration hivernale de génisses laitières à viande en croissance modérée et de vaches à viande en gestation-lactation. Distribuées à volonté en l’état (elles sont déjà grossièrement hachées à la récolte), les quantités qui en sont ingérées, toutefois moins élevées que les spathes traitées (UEB de 1,60 contre 1,30), permettent : - à des génisses laitières et à viande, recevant 1,5 kg de céréales et 100 g de CMV (15-15) soufré par jour, de réaliser des croîts de l’ordre de 400 g/j lorsqu’elles ont 2 ans et de 500 à 600 g/j lorsqu’elles ont un an. Si l’objectif de croissance est plus élevé, il conviendra d’ajouter une source d’azote peu fermentescible (300 à 500 g/j de tourteau de soja) ; - à des vaches à viande en fin de gestation - début lactation recevant 1,5 puis 2 kg de céréales à partir du vêlage et 180 g du même CMV de limiter leur perte de poids entre le vêlage et la mise à l’herbe à 30 kg, perte tout à fait acceptable dans le cas de vêlages précoces. Les performances de reproduction enregistrées sur 3 années d’observation, les conditions de vêlage, le poids des veaux à la naissance et leur vitalité ne sont pas affectés.Maize stovers, round baled after grain harvesting and preserved by the injection of 3 kg ammonia per 100 kg stovers, can contribute to the major part (80 %) of the diet of wintering dairy and beef heifers and gestating-lactating beef cows. Fed ad-libitum as such (they are already coarsely chopped at harvest) their intake, which is slightly lower than that of husks (1.60 vs 1.30 UEB), enables: - dairy and beef heifers, fed with 1.5 kg cereals and 100 g sulfur-supplemented minerals (15- 15) per day, to achieve liveweight gains of 400 g/d when two years-old and of 500 to 600 g/d when one year-old. When the growth target is higher it is advised to resort to a slow fermentable protein source (e.g. 300 to 500 g/d soybean meal), - beef cows around calving, fed with 1.5 kg - then 2.0 kg after calving - and 180 g/d of the same mineral mixture, to limit their body weight loss to 30 kg between calving and pasturing. Such losses are entirely acceptable in the case of early calving. The reproductive performances, recorded over a three year observation period, as well as the calving conditions, the body weight of calves at birth and their vitality are not affected

    Rapport de la mission à l'Ile de la Réunion

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    La production laitière à la Réunion est en plein essor avec, en 1995, près de 11 millions de litres de lait collectés. Pour pallier le déficit fourrager lié à un accroissement de cheptel, la filière envisage l'utilisation des sous-produits fibreux de la canne à sucre (bagasse, feuilles et têtes de canne). Ce sont effectivement les seules sources fourragères disponibles en quantité en dehors des fourrages classiques et des pâturages dont la superficie est de toutes façons maintenant limitée. Cette étude porte surles aspects de la conservation voire du traitement à l'amoniac (via l'utilisation de l'urée), le conditionnement sous forme de balles rondes, le transport et les modalités d'introduction de ces fourrages dans les rations des animaux laitiers. Les aspects de la gestion, du conditionnement et de la conservation des sous-produits sont abordés ainsi que l'alimentation et la valorisation par l'anima

    Perspectives d'utilisation des fourrages grossiers dans les zones méditerranéennes et tropicales

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    Introduction : Utilisation des ressources fourragères par les ruminants en région chaude

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