3,546 research outputs found

    Taking Writing On-Line: The Intersections Of Rhetoric, Technology, And Community In The Composition Classroom

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    Discourse constructs individuals in community and by analogy constructs students (and teachers) in the networked-writing classroom. This work of constructing subjects moves us alternately toward the group (centripetal) and away toward becoming more individual (centrifugal). In order to understand this coordinate but opposite movement within on-line communication, the dissertation brings together the two strands (within the social) of technology and rhetoric. This rhetoric of technology is defined as the invention, arrangement, and delivery of computer-mediated language for the purpose of evoking action upon the part of an audience. The dissertation presents—among others—the discourse theory of Patricia Bizzell, Joseph Harris\u27s ideas concerning the usefulness of the term “community,” the “political unconscious” of Fredric Jameson, Jacques Derrida\u27s notion of différance and dissemination, and Hawisher and Selfe\u27s “rhetoric of technology.” It argues that these ideas and those of Susan Wells, especially her “rhetoric of intersubjectivity,” allow us to examine technology within community and see how it reduces multiple discourses while it creates new solidarities between individuals. The dissertation examines the uses on-line language may be put to in networked classroom communities. It recognizes this language as highly volatile and susceptible to manipulation. It presents two case studies of networked classroom practice that profile students\u27 and teachers\u27 work in the new milieu of the on-line writing classroom. The first case study examines the classroom listserv and presents an analysis of its discourse that acts to motivate both the individual and the group. This technology must, however, be let to build community within the forms of the face-to-face classroom. The second case study examines the laptop classroom where students combine resistance and creativity to manage the oppression of the technology\u27s instrumentalism. In a more personal vein, the author reflects on Freud\u27s dream analysis, the cyborg, and one intransigent student that highlight his own uses of technology to discover the work of the network-writing teacher. The challenge to teaching in these on-line virtual environments is to make them more richly inhabited and not to take them for granted or let them be subsumed into the ubiquitous rhetoric of corporate e-commerce

    Alien Registration- Archibald, Amasa C. (Masardis, Aroostook County)

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    https://digitalmaine.com/alien_docs/34074/thumbnail.jp

    Geology and Ore Deposits of the Golden Messenger MIne, Lewis and Clark County, Helena, Montana.

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    The Golden Messenger Mine which is approximately twenty-three miles northeast of Helena, Montana, near York, on Trout Creek, has long presented several problems of both theoretical and practical interest

    The use of contemporary and historic diatom assemblages in the derivation of reference state communities for rivers in KwaZulu-Natal, South Africa

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    Reference state conditions of minimally disturbed headwaters were identified from present-day and historic diatom data of key rivers within the selected study area, with the main purpose of establishing diatom reference state communities

    Integral-field studies of the high-redshift Universe

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    We present results from a new method of exploring the distant Universe. We use 3-D spectroscopy to sample a large cosmological volume at a time when the Universe was less than 3 billion years old to investigate the evolution of star-formation activity. Within this study we also discovered a high redshift type-II quasar which would not have been identified with imaging studies alone. This highlights the crucial role that integral-field spectroscopy may play in surveying the distant Universe in the future.Comment: From proceedings of Euro3D Spectroscopy annual RTN network meeting (ed. J. Walsh). 5 pages, accepted for publication in Astron. Nach

    Geology and drilling history of the Ashida #1 geothermal test, Opihikao prospect, Hawaii

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    Discussion of the drilling program and interpretation of downhole geology based on cuttings samples from the Barnwell Ashida #1 well.For Barnwell Industries, Inc., Honolulu, Hawaii

    On the X-ray variability of magnetar 1RXS J170849.0-400910

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    We present a long-term X-ray flux and spectral analysis for 1RXS J170849.0-400910 using Swift/XRT spanning over 8 years from 2005-2013. We also analyze two observations from Chandra and XMM in the period from 2003-2004. In this 10-yr period, 1RXS J170849.0-400910 displayed several rotational glitches. Previous studies have claimed variations in the X-ray emission associated with some of the glitches. From our analysis we find no evidence for significant X-ray flux variations and evidence for only low-level spectral variations. We also present an updated timing solution for 1RXS J170849.0-400910, from RXTE and Swift observations, which includes a previously unreported glitch at MJD 56019. We discuss the frequency and implications of radiatively quiet glitches in magnetars.Comment: 9 pages, 2 figures, accepted for publication in Ap

    Geology and drilling history of Lanipuna #1/sidetrack, Tokyo lands prospect, Hawaii

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    Discussion of the drilling program and interpretation of downhole geology based on cuttings samples from the Barnwell Lanipuna #1 sidetrack well.For Barnwell Industries, Inc., New York, New York

    The Labor Market Experience of Engineers in North America

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    Bien des motifs, qui vont des valeurs qu'ils incarnent au rôle qui leur est dévolu dans la croissance économique, ont incité les spécialistes des relations professionnelles à s'intéresser aux catégories de salariés de haute qualification, ingénieurs et hommes de science principalement. Aussi les études sur cette question se sont-elles multipliées au cours des derniers dix ans. Mais, toutefois, on les a presque toujours présentées dans une optique étroite qui ne faisait guère de place à la perspective historique et à l'évolution d'ensemble. Les travaux destinés à éclairer les changements survenus dans le temps et les variations d'un pays à l'autre sont peu nombreux. De plus, l'analyse s'avère parfois contradictoire. Les uns parlent de pénurie de main-d'oeuvre ; d'autres, d'excédent.À la lumière de ce qui précède, nous avons fait une étude comparative des expériences vécues par les ingénieurs du Canada et des États-Unis sur les divers marchés du travail. Nous espérons pouvoir en faire bientôt autant pour les scientifiques. Nous avons considéré les sujets suivants : ( 1 ) l'arrière-plan de la scolarité ; (2) l'état de l'offre et de la demande; (3) la répartition et l'étalement; (4) les traitements ; (5) la mobilité et les migrations ; et (6) l'utilisation. Les résultats se fondent à la fois sur la recherche de première et de seconde main, y compris les thèses de doctorat des auteurs.Trois caractéristiques communes fondamentales se retrouvent chez les ingénieurs diplômés tant canadiens qu'américains. Celles-ci donnent des indices très nets en ce qui concerne le choix de cette discipline. D'abord, plus que pour les autres diplômés d'université, il y a de bonnes chances que ces hommes — il y a peu de femmes parmi les diplômés en génie — soient fils d'ouvriers qualifiés ou d'apparentés. De plus, les diplômés en génie donnent l'impression d'être ambitieux et intelligents, d'avoir des centres d'intérêt variés. Enfin, ils voient dans leur formation d'ingénieur une préparation appropriée et rigoureuse menant à une grande diversité d'emplois. L'interaction des facteurs précédents débouche sur une insuffisance de forte motivation dans le choix d'une carrière ou d'une vocation vraiment marquée. Si la satisfaction laisse à désirer au plan technique, le diplômé en génie n'hésitera pas à chercher ailleurs, souvent du côté des carrières administratives.Depuis 1900, tant au Canada qu'aux États-Unis, le nombre des ingénieurs s'est accru plus rapidement que la population, que la main-d'oeuvre et que les autres travailleurs professionnels en général. Pendant cette période, l'immigration a joué un rôle plus marqué au Canada qu'aux États-Unis quand il s'est agi de répondre à la demande. De même, il y a beaucoup plus d'ingénieurs canadiens que d'ingénieurs américains qui détiennent un diplôme collégial. Ces divergences peuvent s'expliquer par des politiques d'immigration et des concepts statistiques différents, la rapidité des changements techniques et l'accession des sans-diplôme à la profession.Les éléments déterminants de la demande d'ingénieurs se ressemblent d'un pays à l'autre. Les changements dans la structure économique ont joué un rôle prédominant ici comme là-bas. Les industries qui avaient et ont toujours le plus recours au savoir de l'ingénieur se trouvent être celles qui se développent le plus vite, du moins jusqu'à maintenant. En réalité, la demande ne provient que d'un nombre de sources relativement restreintes : les industries chimiques et électriques, certaines entreprises d'utilité publique, le gouvernement fédéral et quelques institutions appartenant au secteur tertiaire.Une analyse sommaire de la demande d'ingénieurs entre 1930 et 1960 indique que l'offre l'emportait dans les deux économies durant les années '30 et '40. Au cours des années '50 et au début des années '60, grâce à l'expansion de l'une et de l'autre dans le domaine technique, la situation s'est inversée. L'écart paraît assez tranché pour parler d'excédent dans les deux premières décennies et de pénurie par après. Les rapports provisoires des recensements laissent voir que l'équilibre s'établit à peu près entre l'offre et la demande dans les deux pays vers la fin des années '60.D'une façon générale, il y a beaucoup plus de ressemblance que de différence dans la répartition des ingénieurs dans l'un et l'autre pays, qu'il s'agisse de la concentration territoriale ou industrielle ou de la spécialité (génie civil, génie électrique, etc). À cause des besoins de l'industrie et des sociétés, les divergences sont beaucoup plus accusées quand il s'agit du premier emploi. Il ne fait pas de doute que la spécialisation des ingénieurs américains et le rôle relativement important qu'ils jouent dans les travaux de recherches et de développement constituent un double avantage. Par ailleurs, pour les ingénieurs canadiens diplômés, la recherche et le développement reste une activité de départ attrayante, mais elle est insaisissable.Comparés à l'ensemble, les traitements des ingénieurs ont baissé aux États-Unis et au Canada entre 1930 et 1950, mais, depuis la demie du siècle, ils ont pris une courbe ascendante et même dépassé le taux de croissance de rémunération de toutes les autres catégories de salariés. Depuis 1950, le pourcentage annuel du taux d'accroissement des salaires parmi les ingénieurs s'établit entre 4 et 9 pour cent par année tant au Canada qu'aux États-Unis, ceux des débutants dans la carrière s'élevant beaucoup plus rapidement que ceux des ingénieurs d'expérience. Reflet dela demande et d'un éventail plus grand de choix, c'est chez les débutants que la disparité dans les salaires est la plus prononcée entre les deux pays. Résultat jusqu'ici : un nombre important de jeunes ingénieurs canadiens émigrent aux États-Unis pour revenir plus tard quand ils ont pris de l'âge.Dans l'un et dans l'autre pays, les ingénieurs diplômés ont tendance à s'orienter vers les carrières administratives. Cette tendance est plus forte au Canada où la spécialisation offre moins de choix et où les ingénieurs subissent moins la concurrence des diplômés en sciences de l'administration. Les ingénieurs diplômés canadiens sont tout aussi mobiles que leurs collègues américains. Les jeunes ingénieurs changent en moyenne deux fois d'emploi tous les dix ans sur le marché du travail. Le taux de mobilité décroît avec l'âge, mais plus lentement que parmi les cols bleus. Les occasions de changer de travail ou de fonction à l'intérieur même des sociétés deviennent plus nombreuses et, souvent, elles freinent les déplacements d'un employeur à l'autre. Le chômage ne fait pas problème et, en dépit des coupures dans les contrats de la Défense aux États-Unis, vues en longue période, les perspectives d'emploi pour les ingénieurs sont bonnes. La tendance à l'immigration d'un côté à l'autre de la frontière se continuera. Jusqu'ici, des considérations d'ordre économique sont principalement à la source des mutations d'emploi et de l'immigration, mais on décèle également d'autres facteurs.L'éventail des postes occupés par les ingénieurs reflète les caractères de leur personnalité, leur formation scolaire et leurs expériences professionnelles. Si l'on considère l'élasticité du marché du travail comme critère d'une saine utilisation, il y a plusieurs indices encourageants : liberté de déplacement, grande amplitude de déplacement, présence d'une grande diversité d'emploi, adaptation aux conditions économiques et fréquemment, augmentation de salaire dès la mutation. D'une façon générale, les exigences de la fonction et les qualifications individuelles s'équilibrent bien. Mais que les employeurs réclament la possession d'un diplôme dans une spécialité, c'est quelque peu manquer de réalisme et se montrer faussement exigeant, surtout si l'on considère la proportion des ingénieurs diplômés qui déclarent n'utiliser que leurs connaissances de base dans leur travail.Les États-Unis, dont l'industrie est diverisfiée et avancée, peuvent offrir un meilleur choix aux ingénieurs qui recherchent un milieu de travail spécialisé et une activité professionnelle déterminée. Mais cette situation comporte comme conséquences le danger d'une spécialisation trop poussée et la possibilité de chômage. Les ingénieurs diplômés canadiens ont moins d'occasions de travailler toujours dans la branche de leur spécialité, mais ils trouvent à utiliser fort bien leur formation universitaire de base. On remarque que, dans les deux pays, à mesure que le temps passe, il y a progrès en ce qui concerne l'utilisation des connaissances en génie. Aussi, la majorité des ingénieurs diplômés estiment leur profession et ne se font pas faute de la recommander à qui veut poursuivre une carrière intéressante.The authors have undertaken a major project which they envision ultimately as an on-going analysis of the labor market behavior of technical and scientific manpower in highly developed economies. Their paper represents a first step in this direction
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