235 research outputs found

    Highly-multiplexed SNP genotyping for genetic mapping and germplasm diversity studies in pea

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    Background: Single Nucleotide Polymorphisms (SNPs) can be used as genetic markers for applications such as genetic diversity studies or genetic mapping. New technologies now allow genotyping hundreds to thousands of SNPs in a single reaction. In order to evaluate the potential of these technologies in pea, we selected a custom 384-SNP set using SNPs discovered in Pisum through the resequencing of gene fragments in different genotypes and by compiling genomic sequence data present in databases. We then designed an Illumina GoldenGate assay to genotype both a Pisum germplasm collection and a genetic mapping population with the SNP set. Results: We obtained clear allelic data for more than 92% of the SNPs (356 out of 384). Interestingly, the technique was successful for all the genotypes present in the germplasm collection, including those from species or subspecies different from the P. sativum ssp sativum used to generate sequences. By genotyping the mapping population with the SNP set, we obtained a genetic map and map positions for 37 new gene markers. Conclusion: Our results show that the Illumina GoldenGate assay can be used successfully for high-throughput SNP genotyping of diverse germplasm in pea. This genotyping approach will simplify genotyping procedures for association mapping or diversity studies purposes and open new perspectives in legume genomics

    Proteomics of Medicago truncatula

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    Translational Genomics in Legumes Allowed Placing In Silico 5460 Unigenes on the Pea Functional Map and Identified Candidate Genes in Pisum sativum L.

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    To identify genes involved in phenotypic traits, translational genomics from highly characterized model plants to poorly characterized crop plants provides a valuable source of markers to saturate a zone of interest as well as functionally characterized candidate genes. In this paper, an integrated view of the pea genetic map was developed. A series of gene markers were mapped and their best reciprocal homologs were identified on M. truncatula, L. japonicus, soybean, and poplar pseudomolecules. Based on the syntenic relationships uncovered between pea and M. truncatula, 5460 pea Unigenes were tentatively placed on the consensus map. A new bioinformatics tool, http://www.thelegumeportal.net/pea_mtr_translational_toolkit, was developed that allows, for any gene sequence, to search its putative position on the pea consensus map and hence to search for candidate genes among neighboring Unigenes. As an example, a promising candidate gene for the hypernodulation mutation nod3 in pea was proposed based on the map position of the likely homolog of Pub1, a M. truncatula gene involved in nodulation regulation. A broader view of pea genome evolution was obtained by revealing syntenic relationships between pea and sequenced genomes. Blocks of synteny were identified which gave new insights into the evolution of chromosome structure in Papillionoids and Eudicots. The power of the translational genomics approach was underlined

    PeaMUST Introduction – Bilan du projet

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    Présentation de l'UMR Agroécologie et du pÎle GEAPSI

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    L'ADN du petit pois intégralement séquencé !

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    France Inter "le journal de 8h00", Vendredi 5 Septembre 2019Le dĂ©cryptage du gĂ©nome du petit pois, rĂ©alisĂ© pour la premiĂšre fois par huit Ă©quipes de chercheurs pilotĂ©es par l'INRA, ouvre des perspectives trĂšs importantes pour la recherche, tant pour nourrir la planĂšte que pour lutter contre le rĂ©chauffement climatique.Pisum savitum, une lĂ©gumineuse plus connue sous le nom de petit pois, est une espĂšce fĂ©tiche pour les gĂ©nĂ©ticiens du monde entier, car c'est sur un pois que le pĂšre de la gĂ©nĂ©tique moderne, le moine Gregor Mendel, s'Ă©tait basĂ© pour dĂ©terminer les premiĂšres lois de l'hĂ©rĂ©ditĂ© en 1866.Pour reconstituer la sĂ©quence de son gĂ©nome, "il a fallu ordonner plusieurs milliards de courtes sĂ©quences d'ADN", a indiquĂ© Ă  l'AFP Judith Burstin de l'INRA-Dijon, qui a coordonnĂ© l'article publiĂ© lundi dans la revue Nature Genetics, par et avec Jonathan Kreplak (Inra) et Mohammed-Amin Madoui (CEA-CNRS).Alors que le premier sĂ©quençage du gĂ©nome d'une plante a eu lieu en 2000, et que celui du blĂ© est intervenu en 2018, celui du pois a pris plus de temps car "il s'agit d'un "gĂ©nome trĂšs volumineux et trĂšs complexe, avec beaucoup de petites sĂ©quences qui se rĂ©pĂštent", a indiquĂ© Mme Burstin.Deux Ă©quipes françaises, de l'Institut national de la recherche agronomique(INRA) et du Commissariat Ă  l'Energie Atomique (CEA) ont planchĂ© sur le sujet depuis 2013, ainsi que deux Ă©quipes tchĂšques, deux australiennes, une amĂ©ricaine, une canadienne et un chercheur nĂ©o-zĂ©landais, avec aussi l'aide de financements privĂ©s, venant notamment du groupe agroalimentaire français Avril, spĂ©cialisĂ© dans les olĂ©agineux et lĂ©gumineuses."Nous avons recensĂ© 43 +accessions+ du genre pisum", c'est-Ă -dire dĂ©rivĂ©s de la famille des pois: des pois sauvages, des pois fourragers, des variĂ©tĂ©s industrielles modernes, mais aussi des variĂ©tĂ©s anciennes venues d'Auvergne notamment, a indiquĂ© Mme Burstin."Comme l'avait montrĂ© Mendel, entre un pois vert et un pois jaune, il n'y a qu'un gĂšne de diffĂ©rence" a ajoutĂ© la gĂ©nĂ©ticienne, selon laquelle le sĂ©quençage "va donner un gros coup d'accĂ©lĂ©ration Ă  la recherche et Ă  l'amĂ©lioration variĂ©tale de toutes les lĂ©gumineuses Ă  graine".En plein essorUne question d'autant plus importante que les lĂ©gumineuses, considĂ©rĂ©es comme "magiques" par certains agronomes, sont au centre des espoirs de la recherche mondiale aussi bien sur les questions alimentaires que climatiques.L'Agence des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) avait proclamĂ© 2016, "annĂ©e des lĂ©gumineuses" et le GIEC a rĂ©cemment rappelĂ© que l'agriculture devrait s'adapter pour lutter contre le rĂ©chauffement climatique, notamment en rĂ©duisant l'Ă©levage intensif.Les pois, fĂšves, et autres lentilles, domestiquĂ©s il y a environ 10.000 ans dans le croissant fertile de MĂ©sopotamie, font partie de l'adaptation de l'agriculture au rĂ©chauffement climatique.Leur double particularitĂ© est de fixer l'azote de l'air dans le sol, donc d'enrichir la terre qui a besoin de moins de fertilisants chimiques, et d'ĂȘtre riches en protĂ©ines, constituant ainsi une alternative au moins partielle Ă  la viande.Egalement appelĂ©s lĂ©gumes secs, ils contiennent 20 Ă  25% de protĂ©ines, soit deux fois plus que le blĂ© et trois fois plus que le riz, ainsi que de nombreux minĂ©raux et vitamines."Il y a actuellement des progrĂšs Ă©normes dans le dĂ©veloppement de variĂ©tĂ©s d'hiver qui rĂ©sistent au gel" qui devraient permettre d'augmenter les surfaces de ces cultures un peu oubliĂ©es en Europe, a prĂ©cisĂ© Mme Burstin.Son Ă©quipe travaille aussi sur un autre projet de recherche qui doit dĂ©boucher fin 2020, baptisĂ© PEA-MUST, portant sur l'amĂ©lioration de la rĂ©gularitĂ© des rendements et de la rĂ©sistance aux stress hydriques ou de ravageurs.Elle travaille en partenariat avec les sĂ©lectionneurs et semenciers, mais aussi avec les deux principaux industriels europĂ©ens spĂ©cialistes de l'extraction des protĂ©ines de pois pour l'alimentation humaine, le groupe français Roquette, et le belge Cosucra, trĂšs courtisĂ©s par le boom de l'industrie des pĂątĂ©s vĂ©gĂ©taux et autres viandes de synthĂšse aux Etats-Unis
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