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    Orius albidipennis (Heteroptera: Anthocoridae): Intraguild predation of and prey preference for Neoseiulus cucumeris (Acari: Phytoseiidae) on different host plants

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    A widespread interaction in natural enemy populations is intraguild predation (IGP), the intensity and outcome of which may be influenced by several factors. This study examined the influence of host plant characteristics on IGP between Orius albidipennis (Reuter) and Neoseiulus cucumeris (Oudemans) in laboratory experiments. The intraguild predation between the two predators was bi-directional, but predation by N. cucumeris on O. albidipennis is presumably of negligible importance. Orius albidipennis preyed uponmite eggs and adults in the absence of Thrips tabaci (Lindeman) (Thysanoptera: Thripidae), but in its presence predation on mite eggs was abandoned and predation on adult mites unchanged (sweet pepper) or reduced (eggplant, cucumber). The IGP-level of O. albidipennis on N. cucumeris was highest on sweet pepper and lowest on cucumber. Inclusion of host plant aspects in evaluations of the IGPpotential between predators intended for simultaneous applications for biocontrol is thus of importance

    Interactions among Varroa jacobsoni mites, acute paralysis virus, and Paenibacillus larvae larvae and their influence on mortality of larval honeybees in vitro

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    The mortality of honey bee larvae and pupae reared in vitro caused by various combinations of oral inoculation with Paenibacillus larvae larvae spores, acute paralysis virus (APV), and infestation with Varroa jacobsoni was studied. The effect of the mite itself and the mite acting as a vector of APV on the mortality of larvae and pupae was investigated. Mortality caused by P. l. larvae ranged from 25 to 55% depending on spore dose. Oral inoculation with APV caused 9% mortality, which was not additive to the mortality caused by P. l. larvae. P. l. larvae did not induce the activation of APV infection. The mortality caused by V. jacobsoni itself was 25% , and by mites transmitting APV, 55% . Neither the mites themselves or the mites transmitting APV had an additive effect on mortality caused by P. l. larvae. The study suggests that APV transmitted by mites is the most significant cause of mortality of the treatment combinations tested. The results do not suggest that the mite itself or the mites transmitting APV act as a stress factor provoking clinical symptoms of American foulbrood (AFB) in individual larvae in the in vitro rearing system.Interactions entre l'acarien Varroa jacobsoni, le virus de la paralysie aigüe et Paenibacillus larvae larvae et leur influence sur la mortalité des larves d'abeilles in vitro. La mortalité des larves et des nymphes d'abeilles (Apis mellifera L.) élevées in vitro a été étudiée après plusieurs combinaisons d'inoculation par voie orale de spores de P. larvae larvae, d'inoculation par voie orale de virus de la paralysie aigüe (APV) et d'infestation par V. jacobsoni. Les acariens ont été soit débarrassés des pathogènes, soit infectés par l'APV. La procédure de nettoyage consistait à transférer les acariens à quatre lots successifs de nymphes d'abeilles saines à trois jours d'intervalle (Fig. 1). L'infection des acariens avec l'APV a été faite de la façon suivante : on a injecté de l'APV purifié aux nymphes d'abeilles du 4e\rm 4^e lot avant de transférer les acariens. La relation a été étudiée in vitro afin d'exclure toute influence de la part des abeilles nourrices ou nettoyeuses. Les résultats suggèrent que l'infection par la loque américaine (AFB) est sévère avec des mortalités allant de 25 à 55 % selon la dose d'infection. Les effets de l'inoculation par voie orale de l'APV, qui a provoqué une mortalité de 9 % , ne s'additionnent pas à ceux de l'infection par P. larvae larvae et P. larvae larvae ne peut activer une infection par l'APV passée inaperçue. La mortalité provoquée par V. jacobsoni seul a été de 25 % , ce qui laisse penser que l'acarien lui-même a une influence sur la mortalité larvaire au moins en élevage in vitro. Pourtant, il n'y a pas eu de différence de mortalité dans les groupes inoculés avec trois ou huit spores de P. larvae larvae et infestés par un acarien par rapport aux groupes correspondants non infestés. La mortalité provoquée par V. jacobsoni infecté par l'APV a été de 55 % . Il n'y a pas eu de différence significative de mortalité entre le groupe infesté uniquement avec des acariens et l'APV et les groupes également inoculés avec des spores de P. larvae larvae, mais les différences étaient significatives avec les groupes inoculés correspondants mais non infestés. Les résultats suggèrent que l'infestation par les acariens n'a pas eu d'effet s'additionnant à la mortalité causée par P. larvae larvae. Ils suggèrent que les acariens vecteurs de l'APV ne sont pas le facteur de mortalité le plus élevé parmi les combinaisons testées. Mais les acariens eux-mêmes ou les acariens vecteurs de l'APV agissent comme facteur de stress, provoquant les symptômes cliniques de la loque américaine chez les larves élevées in vitro. Cela n'exclut pas néanmoins que l'acarien V. jacobsoni est un facteur de stress pour la colonie d'abeilles

    Response of in vitro reared honey bee larvae to various doses of Paenibacillus larvae larvae spores

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    The relationship between the number of Paenibacillus larvae larvae spores fed individually to 24-28, 48-52 and 72-76 h old Apis mellifera ligustica larvae and the number of larvae dying from the P. l. larvae infection was investigated as well as the effect of sublethal infection with P. l. larvae on larval development time and adult weight. The larvae were laboratory reared, thus, excluding the influence of nurse bees. The results show that larvae 24-28 h old are most susceptible to infection with P. l. larvae with a clear dose-response relationship (LD50 = 8.49). Older larvae become more and more resistant to infection with P. l. larvae so that no significant dose-mortality relationship exists in the 48-52 and 72-76 h age groups. Furthermore, a significant negative correlation exists between the development time and emergence weight for the adult bees in both the non-inoculated group and the inoculated group. There was no difference in development time between non-inoculated larvae and those that survived the inoculation. © Inra/DIB/AGIB/Elsevier, Pari
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