118 research outputs found

    La Bibliothèque et les archives de M.-A. Macciocchi à la bibliothèque de l'Université Paris-8

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    Histoire du dépôt des archives et de la bibliothèque parisiennes de Maria Antonietta Macciocchi à l'Université Paris-8. Cette présentation est l'occasion de faire un point sur le dépôt des archives scientifiques dans les universités françaises, leur enjeu et les difficultés

    Au regard des métiers du patrimoine

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    Les 12, 13 et 14 mai 2014, les Archives nationales, la direction générale des Patrimoines, l’université Paris-8-Vincennes-Saint-Denis et Médiadix (université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense) ont organisé un colloque consacré aux « Métiers du patrimoine en France : identités, formations, interrelations professionnelles au service du patrimoine, XIXe-XXIe siècles » (fig. 1). Nous avons souhaité prolonger cette réflexion via la revue In Situ. Figure 1 Affiche du colloque « Métiers du patrimoine..

    Livres d'Histoire, lectures de l'Histoire

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    Textes rassemblés par Stéphane HAFFEMAYER et Benoit MARPEAUPublication en ligne du CRHQ - Il s'agit du Cahier n°3 du CRHQ intitulé : Livres d'Histoire, lectures de l'Histoire. Le cahier n°3 du CRHQ est en ligne à l'adresse suivante : http://www.crhq.cnrs.fr/cahiers/page-cahier.php?id_num=8 consulté le 18 juillet 2012.Les textes constituant cette troisième livraison des Cahiers du CRHQ sont noués de plusieurs liens. L'un peut paraître formel mais n'est pas le moins important. Il concerne les relations entre le centre de recherches et l'un de ses partenaires privilégiés : l'Institut-Mémoires de l'Édition Contemporaine (IMEC). La première partie du présent Cahier, " Éditer et lire l'histoire ", est directement issue de communications prononcées dans le cadre du séminaire pluridisciplinaire - historiens, littéraires, spécialistes des Arts du spectacle ou des Études cinématographiques y collaborent - d'histoire culturelle lancé en 2007. Le Séminaire est accueilli par l'IMEC, à raison de six journées par année universitaire, dans le cadre enchanteur de l'Abbaye d'Ardenne. Les deux premières années du séminaire avaient pour thème : " Éditer, lire et représenter l'histoire ". La deuxième partie vient quant à elle d'une journée d'étude, organisée en juin 2009 dans le même lieu à l'initiative de Benoit Marpeau et intitulée : " L'historien et son éditeur, travaux sur les fonds de l'IMEC ". Seul l'article de Bruno Auerbach, dont l'optique nous a paru remarquablement complémentaire de celle de la journée d'étude, n'en provient pas et est venu s'y ajouter. Au-delà d'un cadre de travail aussi stimulant que convivial, l'Abbaye d'Ardenne est devenue pour l'axe d'histoire culturelle du CRHQ un lieu de formation pour les étudiants de la licence au doctorat, l'asile de rencontres scientifiques. Et par ses très riches collections centrées sur l'édition et la création intellectuelle, une ressource inappréciable pour la recherche. L'autre fil qui parcourt ces textes est plus évidemment intellectuel. Tous veulent articuler analyse du discours historien et compréhension du monde du livre. Cette articulation est saisie à diverses échelles et dans une large amplitude chronologique, les études rassemblées ici s'ordonnant sur une échelle de temps allant du XVIIe siècle à la fin du XXe siècle. Si le cadre national français est privilégié, l'Allemagne nazie et le monde ibérique et latino-américain sont aussi abordés. Dans la première partie, " Éditer et lire l'histoire ", Jean-Dominique Mellot brosse un tableau complet du segment particulier du monde du livre consacré à l'histoire dans la France du XVIIe siècle. Il privilégie l'analyse des structures éditoriales complexes et variées qui le portent et le modèlent, mais consacre aussi des pages éclairantes à la place des ouvrages d'histoire dans les bibliothèques ecclésiastiques ou laïques. L'idée reçue d'une crise profonde de l'histoire au XVIIe siècle s'en trouve singulièrement nuancée. Marie-Cécile Bouju, au cœur d'un XXe siècle où la production et la circulation du livre ont changé d'échelle, s'intéresse à la place faite aux livres d'histoire dans la culture militante des communistes français de l'entre-deux-guerres. Et cette étude passe par celle de l'activité des maisons d'édition alors directement liées au Parti, comme par l'analyse du rôle des historiens au sein de la structure militante. Enfin, Johann Chapoutot met en évidence les relations existant entre dispositifs institutionnels et éditoriaux d'une part, implication des historiens universitaires allemands spécialistes de l'Antiquité dans la guerre totale voulue par le pouvoir nazi de l'autre. La deuxième partie s'attache à l'étude des relations entre les historiens et leurs éditeurs au cours du second XXe siècle. Elle s'ouvre sur une étude de la place accordée au monde éditorial dans les récits autobiographiques d'historiens qui fleurissent dans les années 1980 et 1990. Benoit Marpeau y relève, pour tenter de l'expliquer, l'écart fréquent entre la valorisation extrême du livre et le rôle annexe concédé aux éditeurs. Alain Hugon éclaire ensuite la situation particulière de l'éminent spécialiste de l'Espagne moderne que fut Marcel Bataillon. L'auteur d'une thèse majeure sur Erasme et l'Espagne soutenue en 1937 dut en effet publier l'essentiel de son œuvre en contournant un système éditorial inséré dans une Espagne de la dictature franquiste qu'il réprouvait profondément. Enfin, deux cas d'historiens emblématiques de la " Nouvelle histoire " française triomphante des années 1970 et 1980, Georges Duby et Emmanuel Le Roy Ladurie, viennent clore ces Cahiers. Benoit Marpeau, en s'appuyant comme Alain Hugon sur les remarquables fonds de l'IMEC, essaie de montrer la place des sollicitations et des interventions éditoriales dans la trajectoire intellectuelle de Georges Duby. Bruno Auerbach se penche sur le remarquable succès éditorial que fut Montaillou, village occitan (1975). Pour en rendre compte, il montre la nécessité de prendre en considération la coexistence de logiques scientifiques et de logiques éditoriales qui président à la mise en texte de l'histoire. Texte intégral du document http://www.crhq.cnrs.fr/cahiers/page-cahier.php?id_num=8 consulté le 18 juillet 2012

    The "Batailles du Livre" of the French communist Party, 1920-1970s

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    The 20th annual SHARP conference : The Battle for Books 26-29 June 2012 (Trinity College Dublin, Ireland)The French Communist Party planed the first event in France about books and reading. For two years, from 1950 to 1952, the "Bataille du Livre" - Battle for books - was carried on in many towns, bringing together writers and readers, in the name of the Defence of Peace, an important subject of propaganda used by the USSR during the Cold War. This event also shows the ambiguous relationship between books, reading and the French Communist Party since its foundation in December 1920. Actually, in this respect, the "Bataille du Livre" (and its failure) marks a breaking point in the communist cultural policy. Basically, reading was a weapon for the communist movement: a true communist had to read the right texts (speeches and essays by Marx, Engels and the main communist leaders) to become a professionnal revolutionary. During the 1920s, in the official communist discourse, there was no reference to the pleasure of reading and the real reading practices of the french working classes didn't matter. This position changed in 1930, when the Komintern decided to use all forms of media against its ennemies. So reading had to be transformed into a weapon, as if it did aim at changing the workers in political fighters. Thus, conversely, reading got dangerous: the communists had to fight bad books, in particular popular novels, which were turning the workers into class ennemies. It was the first time the PCF considered the real cultural practices of French people. This war against bad books was at its height during the "Bataille du Livre" in 1950-1952. The end of the Cold War at the end of the 1950s and the failure of the Battle for Books emphazised the cultural isolation of the French Communists. Then, the FCP changed his discourse and began to fight for a new cause : reading as a human right and - which was really new - a pleasure. This change might be analysed as a significant political evolution of the FCP. But it could be studied also as the loss of force and influence of books in political life

    Presse et édition clandestine

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