27 research outputs found

    Anaesthesiology in Ruminants: paradoxical effects of législations

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    European Community laws on livestock allow the use of several sedative substances for which maximum residue limits have been defined. The withdrawal periods for these drugs vary from one country to another. Finally, they do not take into account the individual physiology of young animals. The author recommends using recent substances safely, as they reduce the risk to consumers.Chez les animaux de rente, les législations communautaires autorisent l'usage de quelques substances sédatives pour lesquelles des limites maximales de résidus ont été établies. Elles imposent des délais d'attente qui varient d'un pays à un autre. Enfin elles ne tiennent pas compte de la physiologie individuelle des jeunes animaux. L'auteur préconise l'utilisation de substances récentes en toute sécurité. Leur emploi diminue les risques pour le consommateur

    Bovine jluid therapy

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    Bouisset Simon-Paul. Fluidothérapie chez les bovins adultes, intérêt pédagogique. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 150 n°3, 1997. pp. 337-340

    Prélèvements chez les Bovins, Raphaël Guatteo, Éditions du Point Vétérinaire, 2007

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    Bouisset Simon-Paul. Prélèvements chez les Bovins, Raphaël Guatteo, Éditions du Point Vétérinaire, 2007. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 161 n°2, 2008. pp. 192-193

    Transformations territoriales et gestion du risque incendie dans le massif des Landes de Gascogne : une affaire de forestiers ou un enjeu d’aménagement du territoire ?

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    Le massif des Landes de Gascogne figure parmi les régions françaises à risque important d’incendie. Artificielle, cette forêt de production de pins maritimes est très majoritairement privée. Les feux catastrophiques qui avaient ravagé le massif en 1949 ont été à l’origine de la mise en place d’une organisation de DFCI basée sur l’implication des propriétaires forestiers à travers la mise en place d’une redevance et d’associations syndicales autorisées (ASA). La pérennité de ce dispositif est donc étroitement dépendante de l’économie forestière. Or, aujourd’hui, dans un contexte où les changements climatiques risquent de conduire à une aggravation de l’aléa, l’espace landais, entre Bayonne et Bordeaux, est soumis à une forte pression en matière d’urbanisation. Cette urbanisation se fait principalement par étalement urbain sous forme pavillonnaire au détriment des espaces forestiers. Dans les zones concernées, elle conduit à la multiplication des zones d’interface amenant des populations d’origine urbaine au contact de la forêt et fait parfois obstacle à l’exploitation et à l’entretien de la forêt (morcellement, restrictions de circulation, stratégies foncières d’attente de plus value…). Nous nous sommes donc interrogés sur les conséquences de ces processus : comment les responsables de la gestion du risque prennent-ils en compte ces transformations territoriales ? Le risque est-il intégré dans les politiques locales d’aménagement et de planification ?A partir d’un travail d’enquêtes par entretiens semi-directifs et de l’analyse de documents opérationnels et réglementaires (PLU, PPRIF…) dans les départements des Landes et de la Gironde, nous montrerons la lente prise en compte de la question du risque d’incendie dans la gestion des zones d’interface. Les deux départements se sont dotés d’outils différents (PPRIF en Gironde, guide de bonnes pratiques dans les Landes). Nous montrerons que ces outils se heurtent à des difficultés d’application d’ordre technique mais aussi politique en raison de deux obstacles majeurs : 1) la réticence des forestiers à faire évoluer un système qu’ils maîtrisent et qu’ils jugent efficace ; 2) L’absence de prise de conscience des élus locaux et de la population : peu conscients des évolutions à l’œuvre et traditionnellement peu impliqués dans la gestion du risque, ils considèrent toujours celle-ci comme une affaire de forestiers et de pompiers. En l’absence de réel travail de fond sur l’information et la formation, les outils existants ne permettent qu’une prise en compte « théorique » du risque dans les politiques d’aménagement sans réel changement de fond des pratiques et des mentalités sur le terrain

    Pourquoi être résilient quand on est efficace ?

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    L’objectif de cette contribution est d’aborder l’intégration de la notion de résilience à la gestion du risque incendie de forêt sur le territoire du massif des Landes de Gascogne. La résilience est ici définie comme la capacité d’un système social à assurer sa pérennité en accompagnant les changements. Or, la forêt des Landes a connu de nombreuses catastrophes, en particulier des incendies de grande ampleur dans les années 1940. Cet épisode a donné naissance à un dispositif de gestion du risque original. Depuis sa mise en place, ce dispositif basé sur l’équipement des forêts et l’intervention rapide des secours, semble très efficace. Il a cependant pour défaut de s’attaquer aux symptômes et non aux causes d’incendies. En outre, le contexte territorial de la région connaît de profondes mutations avec une importante périurbanisation source d’une vulnérabilité accrue. À partir d’une enquête qualitative basée sur des entretiens semi-directifs, nous montrons que la résilience n’est pas, foncièrement, l’objectif à retenir pour les acteurs de terrain. Bien au contraire, pour une grande majorité, l’efficience de la gestion du risque justifie de ne pas prendre en compte les évolutions territoriales.This paper aims at studying the use of the concept of resilience to analyze forest fires management in the Landes of Gascony (Southwest France). Resilience is defined as the capacity of a social system to ensure its sustainability by accompanying change. However, the Landes forest has experienced many disasters, particularly major fires in the 1940s. This episode led to an original risk management system. Since its creation, this system, based on forest equipment and rapid intervention by firefighters, seems very effective. However, it does address symptoms and not the causes of fires. In addition, the territorial context of the region is undergoing deep changes with significant peri-urbanisation, which is a source of increased vulnerability. Based on a qualitative survey of semi-directive interviewswe show that resilience is not, fundamentally, the objective to be retained for practitioners. On the contrary, for a large majority, the efficiency of risk management justifies not taking territorial changes into account

    Posture, dynamic stability, and voluntary movement.

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    International audienceThis paper addresses the question of why voluntary movement, which induces a perturbation to balance, is possible without falling down. It proceeds from a joint biomechanical and physiological approach, and consists of three parts. The first one introduces some basic concepts that constitute a theoretical framework for experimental studies. The second part considers the various categories of "postural adjustments" (PAs) and presents major data on "anticipatory postural adjustments" (APA). The last part explores the concept of "posturokinetic capacity" (PKC) and its possible applications

    Risk representations and management in urban wildland interfaces in France. The case of Landes of Gascony

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    We aim at analyzing inhabitants’ risks representations and public policies to mitigate risks in wildland urban interfaces in Southwestern France. The studied area is the most important cultivated forest in Europe, mainly planted of maritime pines for industrial purpose in the 19th century on a sparsely inhabited and swampy area. The region is now very attractive with seaside tourism on the Atlantic Coast and spectacular urbanization process whose consequence is the development of wildland urban interfaces with particular landscapes of houses built under trees cover. These processes increase potential land-use conflicts and forest fire risks. Moreover the region was devastated by two major storms in 1999 and 2009 whose consequences are big losses for forestry and numerous damages caused by falling trees in urbanized areas. The first storm was considered as an exceptional event, but the second one was interpreted as the potential symptom of climate change.A survey, based on 60 semi-structured interviews of inhabitants has been carried out to evaluate general public’s practices, knowledge and perceptions. Local authorities’ risk management was also analyzed. The results show that the fear of storm leads to limited trees removal in the gardens. Nevertheless gardens design and inhabitants’ practices seldom take into account fire due to risk underestimation and aesthetic considerations. Local authorities also undervalue fire risk and are not really aware of risk evolution, particularly vulnerability, due to urban development. This explains an important reluctance to accept prevention plans and safety measures promoted by national authorities
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