Poverty and respectability in early twentieth-century Cape Town

Cape Town's black population of the early twentieth century actively pursued lifestyles that might be described as respectable. But respectability was expensive, and poverty —characterised by poor housing, ill health and shortened lifespans — stood in the way of some of its most essential elements: cleanliness, sexual restraint, sobriety, and the creation of nuclear and gendered households. Black respectability, therefore, could not simply replicate that of the dominant white bourgeoisie. Most challenging was the development of rampant black criminality, often seen by contemporary observers as the result of the failure of black women to realise respectable households. Even attempts on the part of the state to create respectable citizenries floundered, partly because these initiatives were incompatible with the policies of racial segregation. The state and the dominant bourgeoisie put their faith in the black elite as the standard-bearers of respectability, but the reality was that the respectability of the ‘superior’ class was frequently indistinguishable from those below, a consequence of the fact that the boundary between these classes was highly porous

Voyage d'Espagne : contenant entre plusieurs particularitez de ce royaume, trois discours politiques sur les affaires du protecteur d'Anglaterre, la Reine de Suede, & du Duc de Lorraine

Sign.: *6, A-O12, P-Q6, A-F12En Palau nos indica que según Barbier el autor es François d'Aerssen van Sommerdyck, A.P. Faugere y Charles Claverie lo atribuyen a Antoine de Brunel y el autor de Relation de Madrid es Robert-Alcide de BonnecaseSegún Faulché-Delbosc, Brunel sería el autor del relato atribuido erroneamente a Aerssen y en cuanto a la autoría de Relation de l'estat & gouvernement d'Espagne a Antoine de Brunel es falsa y su verdadero autor sería François BertautDigitalización. Vitoria-Gasteiz : Fundación Sancho el Sabio, 2008Digitalización. Vitoria-Gasteiz : Archivos y Bibliotecas, Mayo 1997Pie

Les prix de la colère. Une histoire de la vie chère au Burkina Faso

Dans de nombreux pays, la « vie chère » occupe aujourd’hui une place centrale dans les difficultés matérielles et les sentiments d’injustice ressentis au quotidien par les classes populaires. Au Burkina Faso, l’augmentation du prix des biens de consommation courante a suscité des mobilisations parfois violentes depuis le début des années 2000. Elle alimente également un mécontentement diffus à l’encontre des autorités jugées responsables, comme si personne ne pouvait sérieusement croire que les prix résultaient du libre jeu de l’offre et de la demande. À partir d’une longue enquête menée dans les quartiers populaires de villes burkinabè, ce livre aborde un phénomène peu étudié : la place croissante des prix dans l’expression contemporaine de la colère populaire. Car au-delà de ce pays ouest-africain, il s’agit de proposer une réflexion plus générale sur l’évolution des modes de gouvernement et de leurs contestations à l’ère néolibérale

Démocratie et ajustement au Niger. Un conflit de rationalités

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" Langue, musique, image : l'acte IV du Prometheus Unbound. Shelley et la métamorphose de la langue poétique "

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