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    Extended Field Laser Confocal Microscopy (EFLCM): Combining automated Gigapixel image capture with in silico virtual microscopy

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Confocal laser scanning microscopy has revolutionized cell biology. However, the technique has major limitations in speed and sensitivity due to the fact that a single laser beam scans the sample, allowing only a few microseconds signal collection for each pixel. This limitation has been overcome by the introduction of parallel beam illumination techniques in combination with cold CCD camera based image capture.</p> <p>Methods</p> <p>Using the combination of microlens enhanced Nipkow spinning disc confocal illumination together with fully automated image capture and large scale <it>in silico </it>image processing we have developed a system allowing the acquisition, presentation and analysis of maximum resolution confocal panorama images of several Gigapixel size. We call the method Extended Field Laser Confocal Microscopy (EFLCM).</p> <p>Results</p> <p>We show using the EFLCM technique that it is possible to create a continuous confocal multi-colour mosaic from thousands of individually captured images. EFLCM can digitize and analyze histological slides, sections of entire rodent organ and full size embryos. It can also record hundreds of thousands cultured cells at multiple wavelength in single event or time-lapse fashion on fixed slides, in live cell imaging chambers or microtiter plates.</p> <p>Conclusion</p> <p>The observer independent image capture of EFLCM allows quantitative measurements of fluorescence intensities and morphological parameters on a large number of cells. EFLCM therefore bridges the gap between the mainly illustrative fluorescence microscopy and purely quantitative flow cytometry. EFLCM can also be used as high content analysis (HCA) instrument for automated screening processes.</p

    Greenwashing : analyse de la catégorie de produits, de l’utilisation d’un label et de l’orientation RSE comme facteurs de crédibilité d’une communication organisationnelle responsable ?

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    Le développement durable est un enjeu majeur du XXIe siècle. En effet, nos sociétés doivent faire face à différents problèmes vis-à-vis desquels elles doivent trouver des solutions. Et pour cause, les experts ne cessent de mettre en avant les difficultés sociales et environnementales auxquelles nous devons faire face. Compte tenu de cet enjeu critique, nous voulions nous intéresser aux réponses que pouvaient apporter les organisations à ces problématiques. Pour ce faire, nous avons constaté que certaines entreprises ont pris ce rôle au sérieux en introduisant la responsabilité sociale des entreprises dans leur stratégie et leurs pratiques. Cependant, certaines d’entre elles, voyant la demande pour des produits plus respectueux des travailleurs et de l’environnement, se sont empressées de communiquer à ce sujet afin de développer leurs parts de marché dans ces secteurs et de bénéficier des marges plus importantes que pouvaient proposer ces produits. Ces pratiques frauduleuses sont le fondement du greenwashing, élément central de notre problématique, qui définit toute tentative de tromperie ou de manipulation de la part d’une entreprise pour améliorer son image auprès des consommateurs et a fortiori de favoriser son intention d’achat. Afin de lutter contre cette pratique mensongère qui pénalise les acteurs responsables du secteur, nous avons décidé de nous intéresser aux facteurs qui permettent de crédibiliser une communication organisationnelle responsable. À cet effet, nous nous sommes concentrés sur trois d’entre eux : la catégorie de produits, l’utilisation d’un label et l’orientation responsable de l’entreprise. Au travers de ces trois facteurs de crédibilité, nous désirons aider les entreprises responsables à avoir une meilleure crédibilité dans leur communication auprès des consommateurs et réduire la perception de greenwashing. Afin de répondre à cette problématique, nous avons identifié trois facteurs de crédibilité. Le premier facteur que nous avons utilisé dans notre étude est la catégorie de produit. Nous nous sommes focalisés sur des produits à faible implication, car ils permettent un besoin d’information assez faible pour le consommateur. À cela, nous avons distingué les catégories de produits utilitaires et les catégories de produits hédoniques. Cette dimension distinguant les produits sur base de l’appréciation du consommateur. Pour les produits de la catégorie utilitaire, l’appréciation du consommateur se fait de manière intellectuelle. Alors que dans le cas de produits de la catégorie hédonique, l’appréciation du consommateur se fait sur base émotionnelle. Le second facteur que nous avons abordé dans notre étude est l’utilisation d’un label dans le message. Pour ce faire, nous avions considéré trois conditions différentes. Dans la première condition, le label est absent du message publicitaire. Dans la seconde condition, le label est auto-décerné, en d’autres termes c’est l’entreprise elle-même qui conçoit et s’attribue ce label. Finalement dans la troisième condition, le label provient d’un tiers parti qui est totalement extérieur et indépendant à l’entreprise. Le troisième et dernier facteur rentré en ligne de compte dans cette étude et l’orientation RSE de la marque. À cet effet, nous avions l’orientation RSE négative d’une entreprise et l’orientation RSE positive de l’entreprise. Afin d’exposer cette orientation aux individus, nous avions présenté une fiche exposant les pratiques plus ou moins responsables de l’entreprise. Afin de confirmer ou d’infirmer la crédibilité de ces facteurs, nous avons entrepris des analyses quantitatives basées sur un questionnaire auquel un ensemble de 360 individus ont répondu. Ces personnes ont été réparties aléatoirement parmi nos douze conditions créées sur base des facteurs exposés ci-dessus. Nous avons exposé les individus à deux stimuli : une fiche RSE et un message publicitaire. Sur base de ces stimuli, nous avons donc interrogé notre panel afin de connaître leur opinion sur différents paramètres relatifs à ces publicités. Ces analyses nous auront permis d’identifier des facteurs de crédibilité ou de manipulation. Commençons par le facteur le plus efficace dans notre étude, il s’agit de l’orientation RSE. En effet, nous avons pu observer que l’orientation RSE négative d’une entreprise augmente le sentiment de manipulation au travers du greenwashing perçu. À l’opposé, l’orientation RSE positive permet de crédibiliser le message d’une organisation. Vis-à-vis de la catégorie de produits, nous constatons que la promotion de produits hédoniques est plus grandement perçue comme de la manipulation que lorsque ce produit est utilitaire. Nous pouvons expliquer cet effet, car les consommateurs ont besoin en priorité de se baser sur leur appréciation avant la prise d’informations pour concevoir leur attitude envers les produits hédoniques. Concernant l’utilisation d’un label. Ce facteur s’est montré assez décevant, car nous n’avons pas constaté de différence significative entre les conditions pour le greenwashing perçu et la crédibilité du message. Néanmoins, nous pouvons tout de même observer que lorsque les individus prêtent attention au label, ils trouvent le label tiers parti crédible, alors que le label auto-décerné est perçu comme non crédible. Pour suivre, nous pouvons confirmer que la crédibilité du message influence positivement l’attitude du consommateur envers la publicité. Tandis que le greenwashing perçu a une influence négative sur l’attitude du consommateur envers la publicité. Ensuite, l’attitude du consommateur envers la publicité a une influence positive sur l’attitude du consommateur envers la marque. Finalement, nous pouvons confirmer que l’attitude du consommateur envers la marque influence positivement l’intention d’achat. Par ailleurs, nous avons développé quelques recommandations managériales sur base de nos résultats. Pour commencer, il faut que les entreprises responsables communiquent en priorité sur leur orientation RSE. Pour ce faire, nous leur conseillons de travailler sur deux fronts dans leurs campagnes de communication. Le premier front vise à l’utilisation d’une autocommunication RSE. Ce type de communication RSE permet de renforcer l’identification des différentes parties prenantes. Nous conseillons aux entreprises responsables de communiquer au travers de campagnes publicitaires orientées en priorité sur les canaux de diffusions classiques comme la radio et la télévision, car ils sont perçus comme plus crédibles. Cependant, il ne faut pas laisser internet et ses réseaux sociaux en reste, car les entreprises peuvent y exposer plus de contenu. À cela, nous pouvons ajouter une bonne gestion de leur communication et de leur communauté au travers des réseaux sociaux, car ce média permet à toutes les parties prenantes de communiquer entre elles et d’échanger leur opinion sur l’organisation. C’est pourquoi l’entreprise responsable doit prendre les devants sur ces réseaux sociaux, en pratiquant d’une part une approche proactive sur leurs pratiques responsables et d’autre part une approche réactive en répondant à sa communauté afin d’éviter que certaines parties prenantes ternissent sa réputation. Le second front de communication que nous recommandons est indirect. En effet, les consommateurs font moins confiance aux organisations elles-mêmes qu’aux experts externes à l’entreprise. C’est pourquoi il est préférable que les organisations pratiquent aussi une communication en deux temps. Pour commencer, elles doivent communiquer leurs actions responsables auprès d’experts du milieu ou d’ONG. Il s’en suivra un processus de communication RSE endossé, où ces ONG communiqueront sur ces entreprises responsables et leur message sera êrçu comme plus crédibles que celui de l’entreprise. En communicant de la sorte, l’entreprise améliorera sa réputation vis-à-vis de ses parties prenantes et a fortiori des consommateurs. Cette bonne réputation améliore la fidélité de la clientèle et la confiance du consommateur. De plus, elle permet aussi de voir toutes ses communications RSE amplifiées. Pour finir avec la réputation d’entreprise, on peut relever aussi qu’elle permet d’améliorer la satisfaction client, la renommée de l’entreprise et enfin la valeur de sa marque. Le second facteur de crédibilité sur lequel les entreprises peuvent travailler est l’utilisation de labels. Bien que nous ayons observé dans notre étude que l’utilisation d’un label tiers parti face à un label auto-décerné n’avait pas d’influence sur la crédibilité du message ou la perception de greenwashing, nous pouvons tout de même considérer que c’est un facteur de crédibilité. En effet, nous avons constaté que le label tiers parti reste un label plus crédible que le label auto-décerné. Dès lors, nous recommandons aux entreprises qui utilisent des labels de privilégier les labels tiers partis. De plus, le label est considéré comme un indice publicitaire, souvent utilisé dans un traitement heuristique de l’information. De fait, ce type de facteur de crédibilité sera efficace en cas de traitement de l’information périphérique de l’individu, en permettant au consommateur distinguer deux produits en magasin sur base du packaging. Enfin, nous recommandons aux entreprises responsables qui communiquent sur des produits hédoniques d’être vigilantes. En effet, nous avons pu observer que les produits de catégorie hédonique avaient une perception de greenwashing plus importante que les produits de catégorie utilitaire. La problématique avec ce type de produit provient du fait que l’individu a besoin d’avoir un ressenti avant d’avoir des informations pour former leur attitude. De plus, ces produits bénéficient de caractéristiques émotionnelles et donc plus abstraites pour le consommateur. Dès lors, nous conseillons à ces entreprises d’employer un message informatif soutenu par une source d’information crédible qui serait extérieure à l’entreprise. Finalement, il est recommandé pour ces produits d’utiliser des échantillons afin que le consommateur puisse former son attitude et mieux lier cet aspect aux informations factuelles de la publicité.Master [120] en sciences de gestion, Université catholique de Louvain, 201

    Crit. Care

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    Aim: Postoperative effusions and edema and capillary leak syndrome in children after cardiac surgery with cardiopulmonary bypass constitute considerable clinical problems. Overshooting immune response is held to be the cause. In a prospective study we investigated whether preoperative immune status differences exist in patients at risk for postsurgical effusions and edema, and to what extent these differences permit prediction of the postoperative outcome. Methods: One-day preoperative serum levels of immunoglobulins, complement, cytokines and chemokines, soluble adhesion molecules and receptors as well as clinical chemistry parameters such as differential counts, creatinine, blood coagulation status (altogether 56 parameters) were analyzed in peripheral blood samples of 75 children (aged 3-18 years) undergoing cardiopulmonary bypass surgery (29 with postoperative effusions and edema within the first postoperative week). Results: Preoperative elevation of the serum level of C3 and C5 complement components, tumor necrosis factor-alpha, percentage of leukocytes that are neutrophils, body weight and decreased percentage of lymphocytes (all P 86% of the patients with postoperative effusions and oedema were correctly predicted using two different classification algorithms. Data mining by both methods selected nine partially overlapping parameters. The prediction quality was independent of the congenital heart defect. Conclusion: Indicators of inflammation were selected as risk indicators by explorative data analysis. This suggests that preoperative differences in the immune system and capillary permeability status exist in patients at risk for postoperative effusions. These differences are suitable for preoperative risk assessment and may be used for the benefit of the patient and to improve cost effectiveness

    Cardiac troponin I release after transcatheter atrial septal defect closure depends on occluder size but not on patient’s age

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    Objective: To examine whether transcatheter closure of secundum atrial septal defect (ASD) with the Amplatzer septal occluder leads to more myocardial injury in children than in adults. Design: In a prospective study with children and adults cardiac troponin I (cTnI) serum concentrations were determined by immunoassay (AxSYM, Abbott Laboratories) before, during, and up to 20 months after surgical or transcatheter ASD closure. Patients: Four groups of patients were studied: transcatheter ASD closure (group 1: 22 children, age range 3.26–14.7 years; group 2: 22 adults, 18.0–67.3 years), surgical ASD closure (group 3: 18 children, 3.12–13.5 years), and diagnostic catheterisation (group 4: 12 children, 2.68–15.0 years). Results: cTnI concentrations were significantly increased after occluder implantation with higher serum concentrations in children than in adults (immediately after implantation: group 1, 3.2 (4.4) μg/l; group 2, 1.1 (4.2) μg/l; four hours after implantation: group 1, 4.8 (5.0) μg/l; group 2, 1.7 (2.3) μg/l; both p < 0.01, group 1 v group 2; one day after implantation: group 1, 3.0 (5.7) μg/l; group 2, 2.2 (5.2) μg/l) but were less than 20% of those after surgical ASD closure (group 3; p < 0.001) where the highest cTnI concentration was found (37.1 (26.3) μg/l). Diagnostic catheterisation (group 4) was not associated with detectable cTnI increase. From the cTnI concentrations the total amount of cTnI released after ASD closure was estimated for each patient. This was dependent on the size of the occluder (p < 0.05) but not on the patient’s age or procedural duration. Conclusion: In regard to interventional ASD closure our data do not provide evidence that the child’s myocardium is more vulnerable. Transcatheter ASD closure induces minor myocardial lesion, the extent of which depends on the size of the Amplatzer septal occluder but is irrespective of the patient’s age
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