6 research outputs found

    Vivre la mémoire espagnole

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    Saint-Thibéry, une petite commune de l'Hérault où, depuis la fin du XIXe siècle, des Espagnols viennent chercher du travail. C'est là qu'un ethnologue et des plasticiens se sont réunis autour d'une problématique commune : faire revivre dans une exposition la mémoire de ces familles espagnoles.Besombes-Vailhé Jean-Pierre. Vivre la mémoire espagnole. In: Hommes et Migrations, n°1184, février 1995. D'Espagne en France. Itinéraires migratoires en Languedoc et ailleurs. pp. 41-43

    Itinéraire urbain d'une famille algérienne

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    L'itinéraire d'une famille, d'origine algérienne, qui s'est installée par vagues successives — sept ménages ont émigré entre 1952 et 1970 — à Montpellier. Cette reconstitution, à partir d'entretiens menés sur une année, de son itinéraire urbain est révélatrice de la relation qu'établissent les migrants à la société d'accueil. Ainsi, si la dimension monolithique de la famille s'est maintenue au cours des vingt premières années, progressivement la ville a transformé les rapports des individus entre eux, dénaturant de fait l'ordre originel des lois familiales.Besombes-Vailhé Jean-Pierre. Itinéraire urbain d'une famille algérienne. In: Hommes et Migrations, n°1169, octobre 1993. Le Languedoc Roussillon. pp. 13-18

    Données anciennes et bilan de l’occupation protohistorique du Fort à Saint-Thibéry (Hérault)

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    International audienceDespite being discovered in the XIXth century et investigated since, the site of 'Fort' in Saint-Thibery remains one of the least known protohistorical settlement of the Languedoc-Roussilon region. It is however, a rare exemple amongst the Iron Age sites, to be associated with a specialised activitiy : basalt extaction et probably grinding stone production, throughout several centuries. The latest archeaological investigations were lead by J.-P. Besombes-Vailhé, between 1984 and 1986. Several sondages done in the western part of the site allowed the observation of archaeological layers, mainly disturbed by historical activities. This article is proposing an inventory and analyses of the material collected during the recent sondages, unpublished until now. Some characteristic markers can be use to clearly define chronological tendances. Firstly, thanks to the oldest material, the sondages confirme a settlement on the hill of 'Le Fort' as old as the Late Bronze Age (Bronze final IIIb). The ceramics dating from this period appear in all the identified archaeological layers. A quite long absence of remains, between the VIII and the VIIth centuries seems to be significant for the history of the site. Concerning the end of the first Iron Age, the ceramic study doesn't sustain the idea of an occupation through the VI-Vth century BC, as material evidence of the time is lacking. However, some indicators are prouving, without doubt, the use of the site of 'Le Fort' circa 400 BC until the last century BC.Bien que connu depuis le XIXe et exploré à plusieurs reprises, le site du Fort à Saint-Thibéry demeure parmi les établissements protohistoriques les plus méconnus du Languedoc-Roussillon. Il s’agit pourtant d’un des rares sites de l’âge du Fer à pouvoir être associé de façon explicite à une activité spécialisée, l’extraction de roche basaltique, et probablement la production d’instruments de mouture, et cela durant une période de plusieurs siècles. Les dernières interventions archéologiques ont été effectuées entre 1984 et 1986 par J.-P. Besombes-Vailhé. Une série de sondages pratiqués dans la partie orientale du Fort a permis d'observer des couches archéologiques, très perturbées par des niveaux d’époque historique. Dans le cadre du présent article, nous proposons un inventaire et une analyse du mobilier exhumé lors de ces sondages, resté jusque-là inédit. Des éléments caractéristiques permettent de dégager des tendances chronologiques assez nettes. Tout d’abord, parmi le mobilier le plus ancien, ces sondages confirment l’implantation d’un habitat sur la butte du Fort au Bronze final IIIb. Les céramiques se rapportant à cette époque sont présentes dans quasiment toutes les couches archéologiques mises en évidence. Un hiatus assez long, entre le VIIIe s. et le VIIe s., semble ensuite caractériser les lieux puisqu’aucun élément relevant de cette période n’est décelé. En ce qui concerne la fin du premier âge du Fer, l’examen de la céramique incite à écarter définitivement l’hypothèse de l’existence d’un habitat au cours au cours des VIe et Ve s. av. n. è. faute de mobilier. En revanche, les témoins les plus explicites indiquent sans équivoque une présence sur la butte du Fort autour de 400 av. n. è. et jusqu’au changement d’ère

    Données anciennes et bilan de l’occupation protohistorique du Fort à Saint-Thibéry (Hérault). In Vie quotidienne, tombes et symboles des sociétés protohistoriques de Méditerranée nord-occidentale. Mélanges offerts à Bernard Dedet, Monographies d’Archéologie Méridionale, hors-série n°7, 2 volumes, p. 176-203.

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    International audienceDespite being discovered in the XIXth century et investigated since, the site of 'Fort' in Saint-Thibery remains one of the least known protohistorical settlement of the Languedoc-Roussilon region. It is however, a rare exemple amongst the Iron Age sites, to be associated with a specialised activitiy : basalt extaction et probably grinding stone production, throughout several centuries. The latest archeaological investigations were lead by J.-P. Besombes-Vailhé, between 1984 and 1986. Several sondages done in the western part of the site allowed the observation of archaeological layers, mainly disturbed by historical activities. This article is proposing an inventory and analyses of the material collected during the recent sondages, unpublished until now. Some characteristic markers can be use to clearly define chronological tendances. Firstly, thanks to the oldest material, the sondages confirme a settlement on the hill of 'Le Fort' as old as the Late Bronze Age (Bronze final IIIb). The ceramics dating from this period appear in all the identified archaeological layers. A quite long absence of remains, between the VIII and the VIIth centuries seems to be significant for the history of the site. Concerning the end of the first Iron Age, the ceramic study doesn't sustain the idea of an occupation through the VI-Vth century BC, as material evidence of the time is lacking. However, some indicators are prouving, without doubt, the use of the site of 'Le Fort' circa 400 BC until the last century BC.Bien que connu depuis le XIXe et exploré à plusieurs reprises, le site du Fort à Saint-Thibéry demeure parmi les établissements protohistoriques les plus méconnus du Languedoc-Roussillon. Il s’agit pourtant d’un des rares sites de l’âge du Fer à pouvoir être associé de façon explicite à une activité spécialisée, l’extraction de roche basaltique, et probablement la production d’instruments de mouture, et cela durant une période de plusieurs siècles. Les dernières interventions archéologiques ont été effectuées entre 1984 et 1986 par J.-P. Besombes-Vailhé. Une série de sondages pratiqués dans la partie orientale du Fort a permis d'observer des couches archéologiques, très perturbées par des niveaux d’époque historique. Dans le cadre du présent article, nous proposons un inventaire et une analyse du mobilier exhumé lors de ces sondages, resté jusque-là inédit. Des éléments caractéristiques permettent de dégager des tendances chronologiques assez nettes. Tout d’abord, parmi le mobilier le plus ancien, ces sondages confirment l’implantation d’un habitat sur la butte du Fort au Bronze final IIIb. Les céramiques se rapportant à cette époque sont présentes dans quasiment toutes les couches archéologiques mises en évidence. Un hiatus assez long, entre le VIIIe s. et le VIIe s., semble ensuite caractériser les lieux puisqu’aucun élément relevant de cette période n’est décelé. En ce qui concerne la fin du premier âge du Fer, l’examen de la céramique incite à écarter définitivement l’hypothèse de l’existence d’un habitat au cours au cours des VIe et Ve s. av. n. è. faute de mobilier. En revanche, les témoins les plus explicites indiquent sans équivoque une présence sur la butte du Fort autour de 400 av. n. è. et jusqu’au changement d’ère

    Murviel-Les-BĂ©ziers, Roujan et Servian: Prospection-inventaire

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    International audienc

    Murviel-Les-BĂ©ziers, Roujan et Servian: Prospection-inventaire

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